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Mon mari a bénéficié du Falun Dafa malgré son opposition initiale

7 novembre 2024 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa à Taïwan

(Minghui.org) Je suis une femme née dans une famille où mes parents préféraient les garçons. J’ai deux sœurs plus âgées et deux frères plus jeunes. Enfant, j’enviais mes frères parce que mes parents les aimaient plus que moi. Mon père aimait les jeux d’argent et a mis fin à ses jours lorsque j’étais en sixième (première année à l’école secondaire).

Je ne me souviens pas d’une enfance très heureuse. Mes parents se disputaient tout le temps. J’espérais avoir un bon mariage quand je serai grande, mais cela ne s’est pas réalisé. Mon mari fumait et buvait, mais il ne jouait pas. Il allait travailler tous les jours, mais ne se souciait pas du tout de notre famille. Nous avions trois enfants. Le plus jeune avait deux ans, notre fils aîné quatre ans et notre fille six ans. La vie était dure pour nous. Mon mari se consacrait au travail pour échapper à ses responsabilités familiales. Je devais m’occuper seule de nos trois enfants.

Je n’ai pas bien récupéré après avoir donné naissance à notre troisième enfant. J’étais faible et j’avais des insomnies. Lorsque j’avais mes règles, je devais m’allonger sur mon lit et je ne pouvais pas me lever pour faire à manger aux enfants. Même dans ces circonstances, mon mari rentrait tard et ivre à la maison. Ma vie était misérable.

Obtenir le Fa

J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en août 1999, à l’âge de 34 ans. Un énorme typhon a frappé ma région en 1998, endommageant gravement les immeubles résidentiels. L’équipe de direction n’était pas disposée à s’occuper des conséquences, si bien que les habitants ont manifesté le jour de l’anniversaire du typhon. Cette manifestation m’a amenée à rencontrer la seule pratiquante de Falun Dafa près de chez moi.

Au départ, je n’étais pas intéressée par le Falun Dafa. D’autres femmes de mon quartier ont vu que la femme qui pratiquait le Falun Dafa était devenue plus jeune et plus belle après avoir commencé à se cultiver, et elles ont voulu assister à un stage de neuf jours. Je les ai suivies et me suis inscrite. Ma motivation était de perdre du poids. Je n’avais aucune idée de ce qu’était la cultivation, mais j’ai connu un changement fondamental après avoir assisté au stage.

Je suis allée tous les jours au stage avec mon fils cadet. Je dormais pendant les conférences vidéo ; c’était comme si je ne savais pas pourquoi j’y allais. J’ai réalisé plus tard que le Maître avait purifié mon cerveau. J’avais un fort karma de pensée à cette époque. Une force à l’intérieur de mon esprit ne voulait pas que j’assiste au stage. J’y suis allée parce que je ne voulais pas perdre la face. Je me suis dit que si mon fils se comportait mal pendant que nous étions là-bas, je pourrais m’en servir comme excuse pour le ramener à la maison, mais il a été très calme.

J’aurais également souhaité que l’une ou l’autre de ces femmes ne vienne pas afin d’avoir une raison de ne pas assister au stage, mais elles sont toutes arrivées à l’heure chaque jour. À mon grand regret, elles ont abandonné l’une après l’autre après avoir participé au stage. Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, a fait tout ce qu’il pouvait pour nous aider à obtenir le Fa.

Après avoir suivi les conférences vidéo de neuf jours, les substances qui constituaient mes rancunes et mes plaintes, et qui me bloquaient souvent la respiration, ont été éliminées. J’ai pleuré à ce moment-là ! Je savais que ma vie ne serait plus jamais la même. Avant, je me souciais du fait que ma mère ne m’aimait pas, mais aimait mes frères, mais maintenant je ne m’en souciais plus du tout. Je détestais mon père, qui aimait mes frères et pas moi, mais je n’avais plus cette haine. Le comportement de mon mari ne m’importait plus, car j’avais le Maître avec moi. À ce moment-là, j’ai ressenti une joie et un bonheur nouveaux.

Les tests arrivent

Je lisais au moins deux conférences du Zhuan Falun et deux livres de conférences du Maître chaque jour après avoir terminé mes tâches ménagères. Je me suis immergée dans le Fa. Je ne pouvais rien voir avec mon troisième œil, mais je pouvais clairement sentir que de nombreux Falun entouraient mon corps et amélioraient ma santé.

Pendant environ deux mois, j’ai senti que j’avais une immense énergie. Je sentais que je montais comme une fusée lorsque je faisais la méditation. Mon mari s’est senti heureux lorsqu’il a vu mes changements. Il m’a dit : « Puisque le Falun Dafa est si bon, pratique-le sérieusement. » Mais la cultivation ne se fait pas sans heurts ; des conflits sont apparus peu à peu.

Mon mari avait l’impression que je m’intéressais trop à Dafa et pas assez à lui, ce qui lui donnait un sentiment d’insécurité. Il s’opposait même à Dafa lorsqu’il était ivre. Une fois, il a dit : « Si tu continues à pratiquer le Falun Dafa, je te tuerai. »

J’ai répondu : « Je n’ai pas peur de tes menaces. Je continuerai à pratiquer. »

Il a ensuite dit : « Tu vois, nous étions bien, mais maintenant nous nous disputons à cause du Falun Dafa. »

J’ai dit : « Je n’avais pas l’impression que nous étions bien avant. »

Plus tard, comme il ne pouvait rien me reprocher, il m’a dit : « Tu peux pratiquer, ça m’est égal. » C’était un test pour moi, pour voir si j’étais déterminée à pratiquer le Falun Dafa. Après cela, il ne s’est plus disputé avec moi au sujet du Falun Dafa.

Regarder à l’intérieur

Mais les facteurs pervers ont continué à profiter de mon mari et à l’utiliser pour m’importuner lorsqu’il était ivre. Un jour, il a déchiré en mille morceaux un livre de Dafa. Je me suis sentie coupable de ne pas avoir été à la hauteur et d’avoir causé du tort à Dafa. J’ai développé du ressentiment envers lui pour le mal qu’il m’avait fait. Pendant un certain temps, je me suis sentie triste. Je sentais que quelque chose de mauvais émanait de lui. Je ne pouvais pas imaginer que j’allais vivre avec lui pour le restant de mes jours.

Un jour, il est rentré très tard et j’ai senti qu’il était en colère. J’ai entendu des bruits dans le salon. Même si je ne pouvais pas voir, j’ai clairement senti qu’une vague d’énergie sombre était projetée vers moi. J’ai émis la pensée droite pour dissoudre les éléments pervers qui se trouvaient derrière lui. Il a ouvert la porte de la chambre avec colère, mais l’a refermée sans bruit. J’ai fait l’expérience du pouvoir de la pensée droite.

En général, je me couchais tôt avec mes enfants parce que je ne voulais pas voir mon mari ivre. Un jour, la police m’a appelée pour me dire que mon mari ivre avait heurté quelqu’un et s’était blessé. J’ai laissé mes trois jeunes enfants à la maison et je me suis précipitée à l’hôpital. Son visage était couvert de sang et il était encore ivre. Il m’a regardée fixement et m’a dit : « Pourquoi es-tu ici ? Je ne suis pas encore mort. » Il parlait mal, mais j’étais calme à l’intérieur et je ne me suis pas mise en colère. Il allait bien et je l’ai ramené à la maison. Il s’est excusé auprès de moi lorsqu’il est devenu sobre. J’ai senti que j’avais passé cette épreuve.

Tout en continuant à étudier le Fa, j’ai commencé à clarifier la vérité aux Chinois par téléphone. Chaque jour, je persuadais de nombreuses personnes de se retirer du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. Je me suis demandé pourquoi je n’avais pas de compassion pour mon mari alors que j’en avais beaucoup pour les autres êtres. J’ai réalisé que je le considérais comme mon mari, plutôt que comme un être qui avait besoin d’être sauvé. Plus tard, j’ai changé d’attitude et je l’ai considéré comme un être.

Par la suite, je n’ai plus éprouvé de haine à l’égard de mon mari, peu importe ce qu’il me disait ou faisait. Il se soûlait de moins en moins.

Les maladies de mes enfants

Mon fils aîné a eu une forte fièvre pendant une semaine lorsqu’il était en CE1 (2e année d’école primaire). Il ne mangeait pas et se comportait bizarrement. C’est la plus grande difficulté que j’ai rencontrée au cours de ma cultivation. Je pratiquais le Falun Dafa depuis moins de trois ans à ce moment-là. Ses instituteurs m’ont beaucoup interrogée. Je savais que seule la vérité pouvait dissiper leurs doutes. J’ai expliqué la vérité au directeur de l’école et aux administrateurs et je leur ai dit comment j’avais bénéficié de la pratique du Falun Dafa. Ils ont reconnu que le Falun Dafa était bon.

Certains pratiquants pensaient que j’avais des problèmes, ce qui a entraîné des conflits et des difficultés familiales. J’ai emmené mon fils aîné chez des médecins chinois et occidentaux, mais ils ne savaient pas de quelle maladie il souffrait. Lorsqu’il était en CM1 (4e année d’école primaire), on lui a diagnostiqué une tumeur cérébrale de type mélanome. Il a été opéré et les tumeurs ont été enlevées, à l’exception de la plus grosse qui se trouvait dans son système nerveux central. Mon mari a attribué sa maladie à ma pratique du Falun Dafa. Il pensait que je ne prenais pas bien soin de notre fils.

L’une des enseignantes de mon fils cadet a demandé des nouvelles sur l’état de santé de mon fils aîné. Elle soupçonnait mon fils cadet de souffrir du syndrome d’Asperger. Face à la pression de l’école, des pratiquants et de mon mari, j’ai senti que j’avais déjà atteint la limite de mon endurance. En ajouter un peu plus m’écraserait. Lorsque mon fils aîné a été opéré, j’étais seule avec lui. Si je n’avais pas pratiqué le Falun Dafa, je n’aurais pas pu le supporter.

Mon fils aîné a eu besoin de soins permanents après l’opération. Il souffrait d’épilepsie et avait des difficultés à marcher. Le médecin m’a dit qu’il finirait par être paralysé. Je le portais souvent sur mon dos et je marchais jusqu’au cinquième étage pour apprendre de nouvelles façons de clarifier la vérité, car l’immeuble n’avait pas d’ascenseur. Pendant longtemps, je n’ai pas pu clarifier la vérité par téléphone parce que je n’en avais pas le temps. Tant que j’avais la possibilité de clarifier la vérité et de sauver les êtres, peu m’importait la souffrance que je devais endurer. Mon fils aîné n’était pas émotionnellement stable. Il jetait les hamburgers que je lui achetais s’ils ne provenaient pas du magasin qu’il voulait, et il me criait de partir. Je ne me mettais pas en colère parce que j’étais une pratiquante.

Il ne pouvait pas manger lorsqu’il était en CM2 (5e année d’école primaire). Lorsque nous l’avons emmené à l’hôpital, il a changé et a voulu manger de tout. J’étais très heureuse et je pensais qu’il pourrait rentrer à la maison si son état continuait à s’améliorer, mais il est tombé dans le coma cette nuit-là. Après un sauvetage d’urgence, sa vie a été sauvée, même s’il était encore inconscient. Ma belle-mère est venue le voir. Nous avons répété les phrases de bon augure : « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » à l’hôpital. Ses yeux se sont éclaircis.

Le médecin a dit qu’il avait besoin d’une trachéotomie parce qu’il était encore jeune. J’ai appris à m’occuper de lui après la trachéotomie. Je suis devenue infirmière spécialisée, m’occupant de lui en permanence, et son état s’est finalement stabilisé. Je ne voulais pas rester à l’hôpital et je voulais rentrer à la maison pour travailler sur un projet de clarification de la vérité et sauver les êtres. J’ai commencé à m’occuper de lui à la maison. Grâce à mes bons soins, il a rarement eu des problèmes.

Je m’occupais de lui 24 h sur 24 h et ne pouvais pas sortir pour aller voir des pratiquants. Pas un seul pratiquant ne m’a rendu visite à la maison pendant cette période. Je me suis dit que je pouvais quand même cultiver parce que j’avais le Maître avec moi. À cette époque, mon mari a changé. Il me traitait bien parce qu’il avait constaté que je pouvais faire des choses que d’autres personnes ne pouvaient pas faire. Il m’a dit : « Tu es surnaturelle ! » Parfois, il disait, en passant, qu’il croyait que je pouvais atteindre la plénitude parfaite.

Au fil du temps, avec la lourde charge de travail et l’instabilité des conditions de cultivation, j’ai développé des attachements. Je suis allée sur des sites d’achat en ligne et je me suis attachée aux achats en ligne. Ma cultivation et ma santé se sont détériorées. Je me sentais fatiguée et la vie était dure. Je me suis réveillée et j’ai été déterminée à réussir ce test. Ma cultivation s’est améliorée par la suite.

C’est peut-être parce que je ne m’occupais pas assez bien de mon fils aîné, mais une fois, il a attrapé un rhume et a eu beaucoup de mucosités. J’avais du mal à tout aspirer. Il a ensuite été envoyé aux urgences en raison d’une hémorragie pulmonaire. Il s’est évanoui et est resté à l’hôpital pendant quelques mois. J’ai encouragé mon mari à lui lire le Zhuan Falun. Nous sommes allés le voir tous les jours. Mon mari lui a lu le Zhuan Falun au moins cinquante fois. Mon mari a aussi été purifié par la lecture du Zhuan Falun.

Au début, il disait que la cultivation était trop difficile pour lui, mais qu’il deviendrait une bonne personne selon les exigences du Maître. Mon fils aîné est décédé à l’âge de 16 ans. Cette année est le dixième anniversaire de sa mort. Je me suis occupée de lui pendant neuf ans. Je pense qu’il est allé dans une dimension où il n’y a pas de souffrance.

Abandonner l’attachement à l’argent : rectification de l’environnement familial

Comme ma famille était pauvre lorsque j’étais enfant, j’étais attachée à l’argent. Plus je n’arrivais pas à m’en défaire, plus j’avais de conflits. Mon mari se disputait avec moi à propos de tout. Il m’a même dit qu’il me ferait payer l’eau, l’électricité, le gaz, l’Internet et même la nourriture. Je me sentais si triste. Quel était l’intérêt de se marier ?

Après avoir étudié le Fa, j’ai compris que je devais regarder à l’intérieur. Ce n’était pas sa faute, c’était à cause de mon attachement. Je me suis demandé si l’argent était vraiment si important. Il ne discutait jamais avec moi avant d’agir. Un jour, en rentrant à la maison, il m’a dit qu’il avait acheté une voiture et inscrit mon nom sur le contrat de prêt de la banque. Il m’a demandé de signer le contrat le lendemain. Je me suis laissée emporter par l’émotion et je n’ai pas voulu le faire parce que j’avais peur qu’il ne puisse pas rembourser la dette et que je subisse une perte financière. J’ai alors réalisé qu’il n’y a pas de coïncidences dans la cultivation. Je suis allée à la banque et j’ai signé l’accord le lendemain.

En octobre dernier, mon mari s’est senti malade et a ressenti des douleurs sur tout le corps, sans savoir pourquoi. Sa peau est devenue progressivement jaunâtre. Un examen médical a révélé qu’il avait des calculs biliaires. Il a fallu lui retirer la vésicule biliaire. Son indice hépatique était élevé en raison de sa consommation d’alcool à long terme. Il risquait de mourir s’il était opéré. Le médecin m’a dit de me préparer au pire. Il est resté à l’hôpital pendant quelques jours et son indice hépatique a baissé, si bien qu’il a pu être opéré. Je lui ai dit de répéter les deux phrases de bon augure avant l’opération. Il n’a pas eu d’autre choix que d’accepter. L’opération s’est déroulée avec succès et je me suis occupée de lui à l’hôpital. Il se plaignait parfois que nos enfants ne venaient pas le voir tous les jours. Il s’est rendu compte que j’étais la seule à m’occuper de lui de tout cœur.

Il est sorti de l’hôpital, mais n’était pas en bon état. Nous ne savions pas pourquoi. Il ne mangeait pas bien, ne dormait pas bien et avait une mine épouvantable. Le cinquième jour après sa sortie, il m’a demandé de lui appeler une ambulance. Il a perdu connaissance alors qu’il était aux toilettes, avant que l’ambulance n’arrive. Il a été transporté à l’unité de soins intensifs de l’hôpital. J’ai appris qu’il n’avait pas uriné pendant cinq jours. L’hôpital a émis un avis de maladie grave et lui a organisé une dialyse.

Je lui ai fait écouter les conférences audio du Maître à l’hôpital et je lui ai également demandé de répéter les phrases de bon augure. La dialyse a duré plusieurs jours et son état s’est stabilisé grâce à la protection du Maître. Pendant qu’il était aux soins intensifs, il était difficile de savoir ce qu’il voulait manger. Nos enfants le trouvaient ennuyeux et n’ont pas répondu à ses demandes, mais j’ai fait de mon mieux pour acheter ce qu’il voulait.

J’ai eu de bonnes discussions avec lui pendant qu’il était à l’hôpital. Auparavant, il ne comprenait pas pourquoi je passais autant de temps au téléphone à parler à des Chinois de la possibilité de quitter le PCC. Il pensait que je négligeais notre famille. Cette fois-ci, il a été très ému. Je me suis bien occupée de lui et je ne me suis pas disputée avec lui au sujet de l’argent. Je ne me suis pas préoccupée des frais d’hospitalisation ou de ma perte de travail parce que la vie était importante et que l’argent était quelque chose d’extérieur. En tant que pratiquante, je savais que je devais le prendre avec légèreté. J’ai d’abord payé les frais médicaux de mon mari sans me soucier de savoir s’il me rembourserait. Il m’a dit combien d’argent il avait et qu’il vivrait avec moi pour le reste de sa vie grâce à cet argent. Il a arrêté de fumer et de boire. J’ai compris que ce n’est qu’en renonçant aux attachements que tout peut s’arranger.

Le corps de mon mari est purifié alors que je clarifie la vérité

J’ai commencé à clarifier la vérité pour les Chinois sur la plateforme RTC il y a six ans. Je passais tout mon temps libre sur cette plateforme après le travail. Mon mari était très faible après son retour de l’hôpital. Un jour, il s’est senti fatigué et mal à l’aise, et a dit qu’il allait se coucher tôt. Je me suis connectée à la plateforme RTC tôt ce soir-là pour pouvoir passer des appels téléphoniques avant qu’il ne s’endorme, car l’ordinateur se trouvait dans sa chambre.

Plusieurs personnes ont accepté de se retirer du PCC et de ses organisations affiliées après m’avoir parlé. Alors que j’étais occupée à passer des appels téléphoniques, il a ouvert la porte de sa chambre à plusieurs reprises, comme s’il voulait me parler. Lorsque j’ai eu du temps entre deux appels téléphoniques, j’ai ouvert la porte et lui ai demandé s’il avait quelque chose à me dire. Il m’a répondu : « C’est tellement étrange. Je ne me sentais pas bien tout à l’heure. Mais je vais bien maintenant. Tu vois mon visage, ça va ? »

J’ai répondu : « C’est fantastique. Tu vois que je sauve des gens. Il y a un champ d’énergie positive ici. Tu en as bénéficié. »

Il a objecté : « Mais la porte était fermée. »

J’ai répondu : « Cette porte ne peut pas empêcher l’énergie de se répandre parce que cette dimension ne peut pas bloquer l’énergie. » Son visage s’est illuminé.

Conclusion

Ma fille était introvertie. Elle a commencé à pratiquer le Falun Dafa avec moi quand elle était petite. Elle est maintenant empathique et serviable, et a beaucoup d’amis. Les gens l’apprécient. Je m’inquiétais pour mon fils cadet parce qu’il fumait comme son père. Je n’ai pas réussi à le persuader d’arrêter. Plus tard, j’ai laissé tomber et il a soudain arrêté de fumer. Il a maintenant un emploi stable et n’a pas de problèmes pour s’entendre avec les gens.

Je ne peux imaginer ce que serait ma famille si je ne pratiquais pas le Falun Dafa. Mon fils cadet avait du ressentiment envers son père depuis son enfance. Je l’ai souvent guidé en lui disant : « C’est ton père. Il travaille dur et t’a élevé. Tu dois être bon avec lui. »

Il m’a dit : « Bien que je ne sois pas pratiquant, je ferai de mon mieux pour bien faire. » Il a été touché par mes actions lorsque son père était à l’hôpital, car il savait comment son père m’avait traitée. Il a dit que personne ne se soucierait de quelqu’un comme son père. C’était vrai. Si je n’avais pas pratiqué le Falun Dafa, nous aurions divorcé. Même si nous n’avions pas divorcé, je n’aurais pas bien pris soin de lui, mais comme je suis une pratiquante de Falun Dafa, j’ai fait ce que je devais faire.

Le Maître nous a dit de nous cultiver comme au début. Au cours de mes premières années de cultivation, j’ai cultivé avec diligence. Plus tard, j’ai commencé à me détendre par rapport à l’étude du Fa et la pratique des exercices, car je passais beaucoup de temps à clarifier la vérité aux gens. Je m’accrochais à mes attachements et n’étais parfois pas disposée à les abandonner. Lorsque j’ai vu sur la plateforme RTC de nouveaux pratiquants qui se cultivaient avec diligence, j’ai compris que je devais redoubler d’efforts en matière de cultivation.

Je voudrais remercier le Maître pour sa compassion et son salut. Grâce à la protection du Maître, j’ai pu marcher sur mon chemin de cultivation pas à pas jusqu’à aujourd’hui. Au cours de ma vingt-troisième année de cultivation, je présente ce rapport de cultivation au Maître.

Ce qui précède sont mes expériences de cultivation et ce à quoi je me suis éveillée. Merci de me signaler ce qui ne serait pas approprié.

Traduit de l’anglais