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Une femme du Guandong dont le domicile a été perquisitionné est suivie par la police en raison de sa croyance

10 décembre 2024 |   Écrit par un correspondant de Minghui dans la province du Guangdong, Chine

(Minghui.org) Une habitante de Guangzhou, province du Guangdong, âgée de 91 ans, a vu son domicile perquisitionné en octobre 2024 en raison de sa croyance dans le Falun Gong, une discipline méditative et spirituelle ancestrale que le régime communiste chinois persécute depuis 1999.

Le calvaire de Mme Xu Zilan a commencé à la mi-octobre 2024. Un jour qu’elle se promenait dans un parc de la région, elle est tombée sur une amie, Mme Zheng Yingying, âgée d’environ 71 ans. Les deux femmes ont pris leur retraite dans la même entreprise locale de bière et partagent la même croyance dans le Falun Gong.

Les deux amies, qui ne s’étaient pas vues depuis des années, se sont ensuite rendues dans une maison de thé. En raison de leur croyance, la police les avait suivies à leur insu.

Quelques jours plus tard, quatre agents du poste de police de Chigang, dont un seul en uniforme, ont fait irruption au domicile de Mme Xu. Ils lui ont montré des photos qu’ils avaient prises d’elle et de Mme Zheng au salon de thé. Ils ont également présenté des photos d’elle distribuant des documents de Falun Gong à une date inconnue.

La police a demandé à Mme Xu où elle avait obtenu ces documents. Elle a répondu qu’ils provenaient d’un autre pratiquant. Ils ont dit que ce pratiquant l’avait trompée et utilisée, ce qu’elle a réfuté en disant que le Falun Gong n’apportait que des avantages à ses pratiquants. Elle a commencé à pratiquer le Falun Gong en février 1999 et a guéri de ses nombreuses maladies. Plus de vingt ans plus tard, elle est toujours en aussi bonne santé que possible, grâce au Falun Gong.

La police lui a confisqué ses livres de Falun Gong, des documents d’information, un portrait du fondateur du Falun Gong et 160 yuans en espèces.

On ignore si la police a également harcelé Mme Zheng. Elle avait déjà été illégalement arrêtée le 31 mars 2020 pour sa croyance et illégalement condamnée à deux ans et demi de prison le 29 décembre de la même année. Après sa libération, elle a fait l’objet d’une surveillance étroite.

Avant cette dernière épreuve, Mme Xu avait été illégalement arrêtée le 13 juin 2006 pour avoir distribué des documents de Falun Gong.

Voir aussi :

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Ville de Guangzhou, province du Guangdong : trois pratiquants de Falun Gong jugés et trois autres poursuivis en justice pour leur croyance

Traduit de l’anglais