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Finlande : Présentation du Falun Dafa à l’exposition « Je m’aime »

11 décembre 2024 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa en Finlande

(Minghui.org) Les pratiquants de Falun Gong ont participé à l’exposition « Je m’aime » au Centre d’exposition et de convention d’Helsinki du 29 novembre au 1er décembre 2024. L’exposition a pour thème la beauté, la santé et la mode, et a attiré cette année 60 000 visiteurs et 400 exposants.

Le Falun Gong, également connu sous le nom de Falun Dafa, est une discipline méditative et spirituelle ancestrale basée sur le principe « Authenticité-Bienveillance-Tolérance ». Les pratiquants ont présenté aux visiteurs ces principes et ont parlé des bienfaits qu’ils en ont retirés, tant sur le plan physique que mental. Ils ont également parlé de la persécution brutale et des prélèvements d’organes en Chine par le Parti communiste chinois (PCC). De nombreuses personnes ont regardé les pratiquants présenter les exercices de Falun Gong et certaines ont demandé des informations sur l’apprentissage de ces exercices. Lorsque les gens ont appris que le PCC persécutait frénétiquement les pratiquants de Falun Gong en Chine, beaucoup ont signé une pétition pour aider à mettre fin à la persécution et se sont rassemblés au stand pour en savoir plus.

Les pratiquants de Falun Gong ont participé à l’exposition « Je m’aime » à Helsinki du 29 novembre au 1er décembre 2024.

Présentation des exercices de Falun Gong à l’exposition « Je m’aime » à Helsinki

Les visiteurs se sont entretenus avec des pratiquants de Falun Dafa pour en savoir plus sur cette méthode et sur la persécution dont elle fait l’objet en Chine.

Une Chinoise travaillant en Finlande a raconté à un pratiquant qu’elle avait lu le Zhuan Falun avec ses voisins lorsqu’elle était très jeune et qu’elle avait également pratiqué les exercices de Falun Gong. Elle a dit qu’elle avait contourné le grand pare-feu lorsqu’elle était encore en Chine pour lire des informations sur l’étranger et qu’elle savait très bien que le PCC bloquait les informations et dissimulait la vérité. Elle a accepté de renoncer à son adhésion à la Ligue de la jeunesse, une organisation politique du PCC.

Son amie a ouvert avec précaution une version finlandaise du Zhuan Falun sur l’étagère et l’a lue. L’amie a dit, avec surprise, qu’elle avait compris de quoi parlait le livre. Elle a ensuite appris les exercices de Falun Gong auprès des pratiquants présents à l’exposition. Elle a dit que ces exercices lui procuraient un sentiment de confort et de paix et qu’ils détendaient son corps tendu.

Netta Närhi est une assistante sociale qui sait que la situation des droits de l’homme en Chine est très mauvaise. Elle a pris une photo du site web de la pétition en ligne et l’a envoyée à ses amis. C’était la première fois qu’elle entendait parler des prélèvements d’organes. « C’est terrible. Il n’y a pas de liberté en Chine », a-t-elle dit. « Tout le monde devrait être libre et pouvoir prendre ses propres décisions. » En partant, elle a pris une pile de dépliants et a dit qu’elle aiderait à les distribuer à d’autres personnes dans le hall d’exposition.

Netta Närhi, assistante sociale, a dit que la situation des droits de l’homme en Chine était très mauvaise.

Après avoir entendu un pratiquant expliquer brièvement le Falun Gong et la persécution, un Finlandais a dit qu’il voulait signer la pétition afin d’aider à mettre fin aux prélèvements d’organes. Une famille de trois personnes est passée devant le stand du Falun Gong. Lorsque la femme a entendu parler des prélèvements forcés d’organes en Chine, elle a également voulu signer la pétition. Son mari a dit que les prélèvements d’organes devaient être arrêtés à tout prix.

Des personnes ont signé la pétition afin de soutenir les efforts des pratiquants pour mettre fin à la persécution.

Mme Storozhenko, professeur de yoga, a dit qu’elle avait vu des activités des pratiquants de Falun Gong lorsqu’elle était en Ukraine. Après avoir signé la pétition, elle a demandé où se trouvaient les sites de pratique collective à Helsinki, car elle souhaitait pratiquer avec des pratiquants.

Un retraité a directement utilisé le mot « perversité » pour décrire le PCC. Il a déclaré que la chaîne de télévision finlandaise YLE avait récemment diffusé un documentaire sur les espions du PCC en Finlande. L’homme a demandé avec inquiétude : « Avez-vous rencontré des interférences de la part d’espions du Parti communiste chinois ? » Les pratiquants ont répondu : « Oui. » Par exemple, en septembre de cette année, deux étudiants chinois se sont rendus au parc Sibelius et ont arraché la banderole du Falun Dafa.

Il a également parlé du fait que le PCC utilise des caméras pour surveiller les gens. Il était très inquiet parce qu’il utilisait un téléphone portable chinois. Il a également posé beaucoup de questions sur la manière de pratiquer le Falun Gong et a dit qu’il irait à la bibliothèque pour trouver un Zhuan Falun afin de le lire.

Mme Kirsi est venue directement au stand pour signer la pétition. Il s’est avéré que son médecin finlandais lui avait dit que les médecins chinois prélevaient des organes sur les dissidents. Mme Kirsi a également dit qu’elle avait passé deux semaines en Chine et qu’elle n’osait pas divulguer ses informations personnelles à des étrangers. Elle a dû utiliser un logiciel pour contourner le pare-feu afin de contacter d’autres personnes. Elle a dit : « Le PCC enfreint la loi. »

Après avoir entendu les faits et signé une pétition, une dame a exprimé son intérêt pour l’apprentissage des exercices. Guidée par les pratiquants, elle a essayé de méditer pendant quelques minutes et son expression était très paisible. Elle a été fascinée par les principes de chaque mouvement et a remercié plusieurs fois les pratiquants de lui avoir enseigné les exercices et d’avoir partagé leurs expériences. Elle a dit qu’elle corrigerait ses mouvements en les comparant aux vidéos d’instruction des exercices en ligne et qu’elle lirait des livres de Falun Gong lorsqu’elle rentrerait chez elle.

Traduit de l’anglais