(Minghui.org) L’exposition internationale L’Art de Zhen Shan Ren s’est tenue à Athènes, en Grèce, pendant huit jours et a pris fin le 21 novembre 2024. Les 30 peintures exposées expriment l’attitude pacifique des pratiquants de Falun Gong (également connu sous le nom de Falun Dafa) et reflètent leur ténacité malgré la persécution brutale et incessante du Parti communiste chinois (PCC).
L’exposition a eu lieu à la Blender Gallery à Gkyfada, une banlieue sud de la capitale Athènes. Grand quartier résidentiel aisé, Gkyfada dispose d’une plage bien équipée et d’un terrain de golf. La Blender Gallery se trouve au sud du quartier commercial, un endroit calme dans une ville animée, bien connu des habitants.
L’exposition internationale L’Art de Zhen Shan Ren à la Blender Gallery à Gkyfada, Athènes
Fe (à gauche), Panagiora (au milieu) et leur amie regardent les peintures.
Lorsque Fe a vu des pratiquants de Falun Gong faire les exercices en passant devant la salle d’exposition, elle s’est souvenue qu’elle les avait vus par le passé. Ce soir-là, elle a visité la galerie avec ses amies.
Mme Fe a écrit dans le livre d’or : « Incroyable – une exposition qui ouvre les yeux. Félicitations aux coordinateurs qui ont mis en lumière quelque chose de si tragique et injuste. Dans d’autres circonstances, les habitants d’autres pays n’auraient pas été informés de [ce qui se passe en Chine] et de la noirceur des fonctionnaires. J’espère de tout cœur que la justice sera rendue. »
Panagiora, son amie, a écrit : « Un effort si émouvant. J’espère que tous vos efforts seront couronnés de succès et que les gens pourront croire librement à tout ce qu’ils veulent sans être persécutés ou assassinés. »
Exposition la plus significative
Panayiota, Dina, Nataly et Konstantinos, des étudiantes, ont rencontré des pratiquants de Falun Gong alors qu’elles étaient bénévoles dans une organisation caritative. Elles sont venues à l’exposition à l’invitation des pratiquants. Elles ont toutes été profondément émues et ont discuté avec les pratiquants pendant un long moment.
Des étudiantes regardent les peintures.
Konstantinos a écrit : « C’est l’une des expositions les plus intéressantes que j’ai vues de toute ma vie. Vraiment belle et choquante à la fois. Unique en son genre, elle offre une expérience émouvante ! »
Panayiota a écrit : « Superbe exposition. J’ai découvert de nombreuses choses que je ne connaissais pas, et maintenant, j’ai envie d’en apprendre davantage. Merci pour cette expérience ! »
Ioulia, médecin, est venue à l’exposition avec sa fille. Elle a écrit dans le livre d’or : « L’art dit la vérité, une vérité parfois effrayante et triste. Je me considère chanceuse par rapport à tous ceux dont j’ai appris l’existence. La liberté de pensée est le cadeau le plus précieux. »
Docteur Ioulia
Anastacia Norova-Shishkina, artiste ukrainienne, aime la culture orientale et maîtrise la culture du thé. Le 14 novembre, Anastacia s’est rendue à la galerie pour la cérémonie d’ouverture de l’exposition. Ensuite, elle est venue à la galerie pour préparer du thé pour les pratiquants et les visiteurs pendant deux jours consécutifs. Sur ses réseaux sociaux, elle a recommandé à tout le monde de visiter l’exposition.
Anastacia Norova-Shishkina (à gauche) une artiste ukrainienne et Leonie (à droite) la directrice de la galerie
Anastacia recommande l’exposition sur les médias sociaux.
Leonie, la directrice de la Brand Gallery, était heureuse de coopérer avec les pratiquants de Falun Gong pour organiser l’exposition. Elle s’est intéressée aux exercices de Falun Gong et a pris note de la manière de télécharger les livres de Dafa afin de pouvoir les lire plus tard.
Mayssa (deuxième à partir de la gauche) prend une photo avec des pratiquants et d’autres visiteurs.
Mayssa, de Jordanie, a étudié les peintures et lu chaque légende. Lorsqu’elle a vu les œuvres décrivant la persécution des pratiquants de Falun Gong en Chine, Mayssa n’a cessé d’essuyer ses larmes. Elle a dit qu’elle ne pouvait pas y croire et qu’elle ne trouvait pas les mots pour exprimer ce qu’elle ressentait. »
Les mots de Pertos Tsetsenekos dans le livre d’or
Pertos Tsetsenekos a écrit dans le livre d’or : « En entrant dans votre galerie, je ressens l’immense profondeur et l’âme que vous avez mises dans L’Art de Zhen Shan Ren. Ce n’est pas seulement un voyage dans la vérité et la compassion, mais il s’adresse directement au cœur.
« Je ne pourrais pas être plus fière de vous. Que cette galerie ne soit que le début de la diffusion de votre lumière dans le monde. »
Les mots de Stella Gkotsi dans le livre d’or
Stella Gkotsi a écrit : « Excellente exposition ! Touchant l’âme ! De véritables héros modernes de l’esprit. Tous les jours, ils accomplissent des exploits à tous les niveaux pour que la lumière l’emporte sur les ténèbres. »
Les mots d’Anna Maria dans le livre d’or
Anna Maria a écrit : « Je quitte cette exposition touchée, étonnée et très troublée par la façon dont le régime [du PCC] est impliqué dans des actes de violence physique inhumaine et la destruction des droits de l’homme en pleine lumière. »
Les mots de Rena Dotsou dans le livre d’or
Rena Dotsou a écrit : « En tant que peintre, je peux dire que les peintres sont remarquables et je les félicite pour leur travail. Quant au régime, je le plains et j’espère qu’il changera. »
Les mots de Maria dans le livre d’or
Maria a écrit : « C’est une exposition extraordinaire. Elle touche tous les aspects sensibles de l’âme humaine qui est attaquée de toutes parts. Je vous demande de faire connaître la vérité au monde entier. »
Alors que l’exposition touchait à sa fin, une femme a raconté à un pratiquant qu’elle avait assisté à un défilé des pratiquants de Falun Gong sur la place Syntagma au début du mois d’octobre et qu’elle avait signé une pétition pour mettre fin aux prélèvements forcés d’organes par le PCC sur des pratiquants de Falun Gong encore vivants. Après avoir visité l’exposition, elle a fait le lien entre les deux événements et a mieux compris la persécution des croyants par le PCC.
Elle a dit à un pratiquant : « C’est formidable que vous organisiez un tel événement, parce qu’il y a encore beaucoup de gens en Grèce qui ne connaissent pas la vérité. »
Traduit de l’anglais