(Minghui.org) Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996, je suis devenue optimiste et attentionnée, et j’ai acquis une bonne santé. Heureusement, j’ai pu pratiquer Dafa très tôt dans ma vie, sinon mon fils aurait toujours vécu dans l’ombre de la violence familiale.
Je suis enseignante. Avant, j’étais frêle, malade et étroite d’esprit. À cause des maladies et de la pression au travail, je me disputais souvent avec mon mari. J’ai souvent déversé ma colère sur les autres, en particulier sur mon fils. Il était têtu et vilain, et je le frappais ou le réprimandais souvent. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, j’ai réalisé que punir un enfant n’est pas le moyen de le guider et de l’aider à s’améliorer.
Maître Li Hongzhi, le fondateur du Falun Dafa, a dit :
« Certains s’énervent aussi quand ils éduquent leurs enfants, ils crient et font toute une scène. Mais ce n’est pas la peine d’être comme ça quand vous élevez votre enfant, vous ne devriez vraiment pas vous fâcher ; vous devez éduquer les enfants avec la raison, c’est seulement ainsi que vous pourrez vraiment bien les éduquer. » ( Neuvième Leçon, Zhuan Falun )
Lorsque mon fils faisait quelque chose de mal, je le laissais d’abord se calmer. Je me calmais également, puis je le raisonnais. Parfois, je lui lisais le Zhuan Falun, le livre principal du Falun Dafa. Je lui ai également appris à se comporter selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Cependant, à mesure qu’il grandissait et que son travail scolaire augmentait, il avait moins de temps pour écouter le Fa.
Mon fils vivait dans un dortoir lorsqu’il allait au lycée et ne rentrait à la maison qu’une semaine sur deux. J’ai toujours copié quelques chansons des Hong Yin du Maître et je lui ai demandé de les réciter lorsqu’il était à l’école. Il a été grandement béni, même s’il ne cultivait pas et ne comprenait que peu le principe de Dafa. Au lycée, il était un jeune homme grand, sain et beau.
Dafa a également donné à mon fils de la sagesse. Il avait toujours été le premier de sa classe de l’école primaire au lycée et avait été admis dans une bonne université. Après avoir obtenu son diplôme, il a été embauché par une entreprise publique en raison de ses excellentes notes.
De nos jours, les jeunes sont gâtés et ne travaillent pas dur. Guidé par le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, mon fils n’a jamais refusé de faire des heures supplémentaires lorsque son supérieur le lui demandait. Ainsi, il a travaillé jusqu’à 19 ou 20 heures presque tous les jours, parfois plus tard. Sur son lieu de travail, tout le monde doit travailler à tour de rôle les jours fériés. Mon fils a toujours remplacé ses collègues absents pendant les congés. Pendant deux ans, il a travaillé la veille du Nouvel An et n’a pas pu fêter le Nouvel An avec nous. Je l’ai félicité d’avoir aidé ses collègues.
Un jour, mon fils a accidentellement rayé une voiture garée devant le portail de son lieu de travail. N’ayant pas trouvé le propriétaire, il a laissé un mot sur la voiture pour que le propriétaire puisse le contacter. Mon fils a proposé de payer les dégâts. Le propriétaire a été ému et a dit : « La voiture est légèrement endommagée et n’a pas besoin d’être réparée. Les gens honnêtes comme vous sont rares de nos jours ! J’aimerais avoir des amis comme vous ! »
Comme mon fils ne pratique pas le Falun Dafa, je m’inquiète parfois qu’il puisse être affecté par la société matérialiste d’aujourd’hui. Je lui rappelle de maintenir son intégrité et de ne pas être avide.
Bien que son travail l’oblige à entretenir des relations commerciales avec d’autres entreprises, l’année dernière il a décliné les invitations à se rencontrer pendant la fête de la Mi-Automne. Il a ainsi évité toute forme de « cadeau » et a maintenu son professionnalisme. Il a plutôt pris des dispositions pour se rencontrer après les festivités.
Grâce à son travail acharné et à son intégrité, mon fils est très apprécié de ses supérieurs et de ses collègues. Aujourd’hui, il est le plus jeune cadre moyen de son entreprise et il a trouvé la petite amie idéale.
Traduit de l’anglais