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[Célébrer la Journée mondiale du Falun Dafa] « Qui suis-je ? » ‒ Mes mots sincères

16 mai 2024 |   Écrit Ming Xin

(Minghui.org) Très chers jeunes amis, je ne sais pas si vous vous êtes déjà posé les questions suivantes : « Qui suis-je ? D’où est-ce que je viens ? Où vais-je ? » J’aimerais discuter avec vous de ces questions éternelles sur la vie, en espérant que cela vous aide à avoir une nouvelle perspective sur la vie et le monde.

« Qui suis-je ? »

Tout au long de l’histoire, les Chinois se sont toujours appelés « descendants de l’Empereur flamboyant et de l’Empereur jaune ». En 5000 ans de civilisation, le confucianisme, le bouddhisme et le taoïsme ont été les principaux systèmes de pensée qui ont façonné notre société. Mais après des décennies de régime communiste, la plupart des valeurs traditionnelles ont été perdues et les jeunes générations sont devenues de plus en plus superficielles et violentes.

De l’école primaire à l’université, on nous enseigne la philosophie de lutte du marxisme-léninisme, selon laquelle le développement social est le résultat de la lutte des classes. Ceux qui sont « arriérés » ou « faibles » seront malmenés. Par conséquent, chacun doit s’efforcer d’être fort. La société humaine n’est qu’un exemple de la loi de la jungle, et la vie n’est qu’une succession de réactions chimiques. Par conséquent, le sens de la vie est de survivre, et vivre une bonne vie signifie avoir beaucoup de pouvoir et de richesse. La morale n’est qu’un ensemble de chaînes spirituelles destinées à restreindre les faibles, et c’est une plaisanterie illusoire.

Ce que l’on croit détermine ce que l’on est. Être les « descendants de l’Empereur flamboyant et de l’Empereur jaune » n’a rien à voir avec la couleur de notre peau ou la langue que nous parlons : c’est notre identité culturelle. Si nous perdons ces racines, pouvons-nous encore nous appeler « descendants de l’Empereur flamboyant et de l’Empereur jaune » ?

Le Parti communiste chinois (PCC) prétend faire revivre la culture chinoise traditionnelle et la nation chinoise, mais ce n’est que du bout des lèvres. Ce qui est restauré n’est que la formalité, car l’essence intérieure a été détruite. Dans les temples et monastères arborant les drapeaux du PCC, les moines et les taoïstes doivent d’abord vénérer les dirigeants du PCC avant de rendre hommage au divin. Sous la bannière de la culture traditionnelle chinoise, le PCC, le « spectre de l’Occident », promeut sa philosophie de lutte et empoisonne les jeunes esprits innocents.

En Occident, il est largement reconnu que le marxisme-léninisme est une hérésie maléfique et qu’il n’apporte que pauvreté, tueries et désastres aux êtres humains. Depuis que le PCC a pris le pouvoir en Chine, il a mené de nombreuses campagnes politiques, notamment la « réforme agraire », les « trois-anti et cinq-anti », « la campagne anti-droitiste », la « révolution culturelle » le « massacre de Tiananmen » et la persécution du Falun Gong. Pendant la pandémie, il a dissimulé les cas de décès et a soudain levé la politique stricte de confinement, ce qui a entraîné des infections et des décès massifs dans tout le pays.

Si le PCC affirme que la pandémie n’existe pas, le médecin ne peut pas citer la COVID-19 comme cause du décès d’un patient. Si le PCC affirme que le pays s’est débarrassé de la pauvreté, alors tout le monde doit vivre correctement, même si le revenu mensuel de 600 millions de Chinois est inférieur à 1000 yuans (732,78 $ ; environ 677 €).

C’est justement parce que le PCC se présente toujours comme « grand, glorieux et correct » et que tous les Chinois doivent le suivre, le louer et lui obéir que de nombreux jeunes confondent « l’amour » pour le PCC avec le patriotisme. Partout dans le monde, le patriotisme est une vertu très noble. Mais le PCC profite de la passion des gens pour leur pays et la transforme en obéissance aveugle sous son autorité. Une personne véritablement patriote est quelqu’un qui voit le problème et qui a le courage d’émettre des critiques. Pourtant, sous le régime du PCC, quiconque le critique est considéré comme « n’aimant pas le pays ».

Par exemple, si l’on est propriétaire et que l’association des propriétaires n’autorise personne à poser des questions sur sa gestion et qualifie toute personne qui la critique de « ne pas aimer la communauté », quelle est la logique derrière cela ? Si c’est inacceptable pour vous, pourquoi cela ne vous dérange-t-il pas que le PCC fasse de même ?

« D’où est-ce que je viens ? »

Selon la théorie de l’évolution de Darwin, les hommes ont évolué à partir des singes. C’est comme si la vie était née et avait évolué vers des formes plus avancées à la suite de la combinaison aléatoire de diverses molécules. Supposons qu’il y ait des pièces détachées d’une voiture sur une aire de stationnement et que, sous l’effet du vent, ces pièces s’assemblent pour former une voiture. Puis, après des vents plus forts ou d’autres catastrophes naturelles, la voiture évolue et devient de plus en plus perfectionnée. Pour moi, la probabilité que de telles choses se produisent est nulle.

Si nous regardons les anciennes civilisations, nous trouvons des similitudes étonnantes qui disent que Dieu, ou le divin, a créé l’humanité avec de la boue. Il y a aussi des histoires sur le grand déluge avant l’histoire, le jugement final de l’humanité et le retour du divin. S’il s’agit d’une pure imagination, alors pourquoi nos ancêtres du monde entier avaient-ils la même imagination, alors que les transports et la communication entre les différentes régions étaient inexistants ?

La science et la spiritualité ne sont pas ennemies. De nombreux scientifiques croient en l’existence de Dieu. Par exemple, Copernic, Newton, Einstein et d’autres scientifiques célèbres croyaient au divin.

La culture traditionnelle chinoise est centrée sur la spiritualité. La culture de la « cultivation » guide les gens vers une moralité élevée et des niveaux avancés. L’homme est considéré comme l’âme de l’univers. Dieu a créé l’homme à son image, le divin est donc profondément ancré en chacun et il est naturel que les gens développent le désir de devenir bons et de revenir à leur moi originel. Quelles que soient les croyances de chacun, tant que l’on veut être une bonne personne, on se discipline et on suit la loi de l’univers.

Lorsque le PCC remplace la culture traditionnelle par la théorie de l’évolution et l’athéisme, les gens ne croient plus qu’aux bénéfices immédiats, à la renommée et au pouvoir, et pensent que leur bonheur dans la vie dépend de la lutte. Si l’on suit le PCC, le lien avec le divin sera coupé. On perdra la bénédiction divine et on deviendra finalement un serviteur du PCC. Lorsque cela se produit à grande échelle, l’humanité court un grave danger.

Je pense que la pandémie de la COVID-19 rappelle à l’humanité quel avenir elle veut choisir. Pour autant que je sache, un grand nombre des personnes qui sont mortes de la maladie en Chine sont des membres du PCC. Depuis le second semestre 2023, au moins quarante généraux du PCC sont décédés. En quatre jours, du 30 mars au 2 avril 2024, quatre autres généraux de haut rang sont morts, dont le contre-amiral Zhang Lixiong, le lieutenant-général et ancien commandant adjoint de l’armée de l’air de Nanjing Han Decai, le lieutenant-général et ancien commandant adjoint de l’armée du Guangzhou Song Wenhan, et le contre-amiral Huo Ling.

« Où vais-je ? »

Du point de vue du matérialisme, la destination finale de l’homme est la tombe. Cependant, lorsque le corps d’une personne meurt, son âme ne périt pas vraiment et elle se réincarne. Dans un endroit situé à la frontière du Hunan et du Guangxi, où vit l’ethnie Kam, 110 des 7800 personnes présentes ont des souvenirs de leur vie passée. Jim B. Tucker, psychiatre à l’université de Virginie, a vu de nombreux cas de personnes se souvenant de leur vie passée.

Dans la religion occidentale, on croit généralement que l’âme d’une personne ira au paradis après sa mort. Dans la culture chinoise traditionnelle, il est question de cultiver son xinxing pour parvenir à l’unité entre l’homme et le ciel.

La mort n’est donc pas la fin de la vie, mais un nouveau départ. Il est important de faire de bonnes actions et d’éviter de faire le mal. Nous devrions tous nous chérir, ne pas nous laisser aller à la poursuite de gains matériels et faire preuve de bonté. En cas de catastrophe, les bonnes personnes seront bénies.

(Partage sélectionné pour célébrer la Journée mondiale du Falun Dafa sur Minghui.org)

Traduit de l’anglais