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[Célébration de la Journée mondiale du Falun Dafa] La pratique du Falun Dafa m’aide à composer avec ma belle-mère

28 mai 2024 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Ma belle-mère était la plus jeune et la plus favorisée des enfants de sa famille. Comme mon beau-père était beaucoup plus âgé qu’elle, il l’a choyée après leur mariage. Elle était dominatrice et se mettait facilement en colère au point de s’évanouir lorsque les choses n’allaient pas dans son sens. Elle avait besoin de traitements d’acupression pour se rétablir.

Après mon mariage dans cette famille, j’ai été confrontée à de nombreuses difficultés. Les objets qui m’ont été attribués lors du partage des biens m'ont été réclamés, et ma belle-mère a souvent refusé de reconnaître ce qu’elle avait fait ou dit. Elle racontait aussi des ragots sur moi aux voisins.

Mon mari étant souvent parti travailler, j’ai géré seule le foyer, en m’occupant de notre enfant, en cultivant la terre et en élevant du bétail. Même lorsque j’étais manifestement débordée, ma belle-mère se tenait dans l’embrasure de la porte et bavardait. Elle ne proposait pas son aide ou prétendait devoir s’occuper des champs, mais nous étions censés lui donner de l’argent chaque mois pour couvrir ses dépenses. Lorsque nous devions parfois retarder les paiements en raison de nos finances, elle se fâchait.

Lorsque mon mari est rentré à la maison et s’apprêtait à désherber le jardin, elle s’est plainte de moi auprès de lui, ce qui a provoqué une dispute. Me sentant incomprise et frustrée, j’ai commencé à lui en vouloir. Cela a eu des répercussions sur ma santé, et je suis devenue constipée, j’ai eu du sang dans les selles et j’ai eu des migraines. Chaque jour était insupportable.

J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa et à comprendre le sens de la vie en étudiant le Zhuan Falun fin 1998. J’ai cessé d’en vouloir à ma belle-mère, ce qui a amélioré mon état mental et ma santé. Je n’ai plus eu besoin de médicaments. Aujourd’hui, je me concentre sur la production et la distribution de documents de Falun Dafa, même pendant la pandémie de la COVID.

Lorsque ma belle-mère a pris de l’âge, nous l’avons invitée à vivre avec nous pour que nous puissions prendre soin d’elle. J’ai quitté mon emploi pour m’occuper de ses besoins quotidiens. Avec ses mots durs, j’ai parfois du mal à garder mon sang-froid.

Une fois, elle a uriné sur son lit et sur le sol, et s’est promenée en répandant l’urine partout. Je lui ai demandé de ne pas bouger pendant que je nettoyais et je lui ai dit que son diabète rendait son urine collante. Elle m’a répondu : « Tu dois l’éponger. » Mon mari est resté silencieux.

Je me suis sentie rancunière et jalouse de m’occuper d’elle et de faire face à son entêtement, et je me suis souvenue des enseignements du Falun Dafa. J’ai réalisé que les conflits ne sont pas une coïncidence et j’ai commencé à m’examiner. J’étais attachée aux disputes, au faire valoir, au zèle, au ressentiment et à l’ego, et j’essayais souvent de changer les autres, mais je ne me cultivais pas moi-même.

J’ai compris que ces défis n’étaient pas de simples interactions, mais des leçons pour ma cultivation spirituelle, arrangées par le Maître pour m’aider à grandir. Je n’en veux plus à ma belle-mère.

Ma compréhension du Fa est limitée, alors veuillez me rectifier si j’ai dit quelque chose d’inapproprié.

(Partage sélectionné à l’occasion de la Journée mondiale du Falun Dafa sur Minghui.org)

Traduit de l’anglais