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Mon mari a changé quand je me suis améliorée

6 mai 2024 |   Écrit par Shenghua, une pratiquante de Falun Dafa dans la province du Heilongjiang

(Minghui.org) Je suis une pratiquante de Falun Dafa de 67 ans. Avant de commencer ma cultivation en 1999, j’étais en mauvaise santé et je souffrais d’une grave hernie discale lombaire. Un ami m’a présenté le Falun Dafa. J’ai guéri de mes maladies dans le mois qui a suivi le début de ma pratique. Ma famille et mes amis ont été témoins des bienfaits étonnants du Falun Dafa. Au cours des vingt dernières années, Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, m’a aidée à traverser des périodes difficiles et m’a donné la clé magique de l’introspection. Cela m’a permis de surmonter de nombreuses tribulations. Je suis remplie de gratitude pour la compassion du Maître.

Mon mari est honnête et chaleureux, mais il a mauvais caractère. Que ce soit au travail ou à la maison, il jurait chaque fois qu’il était en colère. Je le détestais avant pour toutes ses violences verbales. Après avoir commencé à cultiver, j’ai compris que je ne devais pas me comporter comme une non-pratiquante, alors je me suis efforcée de le tolérer, mais j’étais quand même furieuse à l’intérieur. Au fur et à mesure que je me cultivais et que j’étudiais le Fa, mon cœur s’allégeait. Le Maître a fini par résoudre mes tribulations liées à mon mari.

Un jour, mon mari s’est mis en colère contre moi au petit-déjeuner. Nous avons l’habitude de boire du lait de chèvre au petit-déjeuner, mais nous n’en avions plus ce jour-là, alors j’ai préparé de la bouillie et des légumes et j’ai réchauffé des boulettes. Mon mari a eu l’air mécontent lorsqu’il a entendu « porridge ». Il a demandé en jurant : « Est-ce si difficile de trouver du lait de soja ? » Je me suis rendu compte qu’il m’avait dit quelques jours auparavant qu’il aimerait avoir du lait de soja. Je lui ai expliqué que j’avais oublié sa demande de lait de soja. Cela l’a rendu furieux. Il a jeté les baguettes et les assiettes par terre, éclaboussant la table et le mur de bouillon de légumes. Il a crié : « Je suis plein de colère ! Un jour, tu me tueras de colère ! »

Je me suis sentie tellement injustement traitée que je n’ai pas pu le tolérer. J’ai dit : « Tu n’as pas besoin de manger. Je t’ai préparé le petit-déjeuner. Tu es si exigeant ! » Avant d’avoir pu finir, j’ai soudain réalisé que je ne me comportais pas comme une pratiquante. Je me comportais comme une non-pratiquante. Cela ne ferait que nuire à la réputation de Dafa.

Je me suis calmée et je me suis excusée : « Je suis désolée. J’avais oublié que tu avais demandé du lait de soja. Ne sois pas fâché. Ce n’est pas bon pour ta santé. » Je me suis dépêchée de préparer du lait de soja avec notre machine à lait de soja et je l’ai appelé pour qu’il vienne prendre son petit-déjeuner. Il n’était plus fâché à ce moment-là. Il a pris son petit-déjeuner et est parti faire ses exercices de danse. Je l’ai trouvé si pitoyable, parce qu’il avait manqué l’occasion de se cultiver selon la grande Loi de l’univers.

« Ton amie est mon amie »

Mon mari a rencontré sa première femme pendant le mouvement « À la campagne ». La femme a fini par épouser quelqu’un dans une autre province. Ils se sont perdus de vue pendant des années, mais ont repris contact lors d’une réunion des « jeunes envoyés à la campagne ». À partir de ce moment-là, ils se sont mis à discuter en ligne vers 21 heures presque tous les jours. Parfois, j’entrais dans son bureau lorsqu’ils discutaient. Mon mari essayait de cacher son téléphone portable. Un jour, je lui ai dit : « Ce n’est pas la peine. Je sais que tu discutes avec ton ancienne petite-amie. Ce n’est pas grave. »

Je ne m’inquiétais pas trop, pensant qu’il ne se passerait rien à cet âge. Mais lorsque j’ai cherché en moi mes propres attachements, j’ai trouvé ma convoitise, ma jalousie, mon attachement à me faire remarquer, ma mentalité de combattante et d’autres attachements. J’étais déterminée à m’en débarrasser. J’ai persisté à étudier le Fa, à mémoriser le Fa, à copier le Fa à la main, à émettre la pensée droite et à refuser toute interférence des forces anciennes chaque jour. Je voulais faire ces trois choses bien. Je savais qu’une relation familiale harmonieuse était la base pour aider le Maître dans la rectification du Fa et pour offrir le salut aux êtres.

Le 3 juillet dernier, vers midi, mon mari m’a appelée pour me dire qu’il rentrerait tard parce qu’il devait aller chercher une amie qui était venue dans notre ville pour une opération du dos. Je lui ai demandé de quelle amie il s’agissait. Il m’a dit qu’il s’agissait de son ancienne petite-amie et qu’il l’avait aidée à louer un appartement pendant quelques mois. Il m’a demandé si nous avions de la literie et des rideaux supplémentaires. Je lui ai répondu que nous avions les deux. Je lui ai dit : « Ton amie est mon amie. Dis-moi si elle a besoin d’autre chose. » Il m’a dit de prendre de la vaisselle et des casseroles. J’ai emballé tout cela et nous sommes allés la voir ensemble.

La femme a été surprise de me voir. Je lui ai dit : « L’amie de mon mari est mon amie. N’hésite pas à me dire si tu as besoin d’autre chose. Tu peux me contacter. Je suis une pratiquante de Falun Dafa. Notre Maître nous a enseigné à suivre Authenticité-Bienveillance-Tolérance ». Je lui ai parlé davantage du Falun Dafa et je lui ai donné une amulette. Elle était heureuse d’entendre tout cela et m’a dit qu’elle avait quitté les organisations du Parti communiste chinois par l’intermédiaire d’un pratiquant de Falun Dafa dans sa ville natale.

J’ai aidé la femme pendant qu’elle était en ville. Chaque fois que je cuisinais quelque chose de bon, j’envoyais mon mari lui en apporter. Parfois, je lui rendais visite et lui apportais des fruits. Elle m’a dit : « Tu es si gentille ! Tu m’apportes de la nourriture au lieu de me haïr. » Je lui ai dit : « Nous devons avoir une relation prédestinée. Le Maître m’a appris à traiter les autres ainsi. Tu dois avoir été bénie par Dafa et par le Maître. »

Elle s’est bien remise de son opération. Avant son départ, j’ai dit à mon mari de l’inviter chez nous. J’ai préparé plusieurs plats et boulettes pour elle, et j’ai emballé de la nourriture pour son voyage de retour. Elle a été profondément touchée par la compassion des pratiquants de Falun Dafa. J’étais heureuse de voir qu’elle allait bien.

Comme j’ai élevé mon xinxing grâce à ces choses, mon mari s’est également amélioré. Il a meilleur caractère et m’aide dans les tâches ménagères. Il m’emmène tous les jours à moto à mon lieu d’étude du Fa, ce qu’il n’avait jamais fait auparavant. Il me rappelle aussi quand l’heure prévue pour émettre la pensée droite approche. Chaque fois que je sors pour clarifier la vérité sur le Falun Dafa, il me rappelle de faire attention à la sécurité. J’apprécie tout ce qu’il fait pour ma cultivation.

Traduit de l’anglais