(Minghui.org) En soutien aux activités organisées à l’occasion de la Journée internationale de l’ONU pour le soutien aux victimes de la torture, les pratiquants de Falun Gong à Paris ont organisé plusieurs événements pour sensibiliser les gens à la persécution en Chine et aux prélèvements d’organes sur des prisonniers d’opinion par le Parti communiste chinois (PCC).

Les gens s’arrêtent aux stands d’information à Paris pour en savoir plus sur la persécution du Falun Dafa et signer une pétition pour mettre fin aux atrocités en Chine.

Le 2 juin 2024, de 10 h à 18 h, les pratiquants ont installé des stands d’information dans le célèbre quartier de La Défense à Paris. Ils ont fait la démonstration des cinq exercices et affiché des informations sur la façon dont le PCC utilise des méthodes inhumaines pour torturer les pratiquants en Chine afin de les forcer à renoncer à leur croyance. De nombreuses personnes sont venues au stand pour en savoir plus sur le Falun Gong (également appelé Falun Dafa) et ont signé la pétition appelant à la fin de la persécution. Un certain nombre de passants se sont arrêtés pour apprendre les exercices et ont dit qu’ils aimaient les mouvements gracieux.

De nombreuses personnes ont appris les exercices de Falun Dafa lors d’un événement de sensibilisation à La Défense à Paris.

Alex Grigoresque et sa femme Mihaela Grigoresque sont passés par là ce jour-là et se sont arrêtés pour regarder la démonstration des exercices. Ils ont été stupéfaits après avoir entendu un pratiquant décrire la persécution en Chine.

Alex, un expert en informatique, a déclaré : « Honnêtement, je ne savais pas que de telles choses se produisaient. Je suis stupéfait. Je crois que c’est vrai, je n’en doute pas. Il a dit, après avoir signé la pétition : « Après avoir vu les informations sur la persécution, vous ne pouvez pas vous empêcher de vous y opposer ! Ce n’est pas ce que nous espérons à notre époque. Je pense que c’est cruel que de telles choses arrivent aux gens, et pourtant cela existe. C’est choquant et je dois protester contre cela. »

Alex Grigoresque et sa femme ont été choqués par la brutalité de la persécution.

Il a ajouté : « En fait, chacun a la liberté de penser, tant qu’il ne fait pas de mal aux autres, il doit pouvoir vivre librement. »

M. Jean-Paul Giordi, propriétaire d’une entreprise immobilière, a signé la pétition après avoir lu les affiches et regardé la démonstration des exercices. Il a déclaré : « Tous ceux que je vois ici sont de bonnes personnes, gentilles et tolérantes. Les prélèvements d’organes que je constate sont une forme de génocide caché ; c’est une chose terrible. »

Jean-Paul Giordi (à gauche) écoute une pratiquante décrire la persécution en Chine.

M. Giordi a eu une excellente impression des Chinois. « C’est fou », a-t-il déclaré à propos des prélèvements forcés d’organes sur des prisonniers d’opinion, ajoutant que les personnes au pouvoir procédaient à des prélèvements forcés d’organes sur des innocents pour le profit.

Manon Durand, une psychologue, s’est rendue à pied jusqu’à l’endroit où les pratiquants faisaient les exercices et a commencé à les suivre.

Manon Durand (deuxième à droite) apprend les exercices.

Elle a déclaré : « C’est une nouvelle expérience, très intéressante. Les exercices sont beaux et pleins d’énergie. » Faisant référence à la persécution des pratiquants en Chine et aux crimes des prélèvements d’organes, M^me Durand a déclaré : « Nous ne sommes absolument pas d’accord avec un tel comportement. » Elle a félicité les pratiquants d’avoir fait la démonstration des exercices en public et a dit qu’ils étaient courageux.

Traduit de l’anglais