(Minghui.org) Ma fille est belle, élégante et excellente dans ses études. Elle est bien élevée et se comporte bien. Elle a obtenu son diplôme de fin d’études secondaires avec des A et étudie maintenant dans la matière qu’elle préfère dans l’université de son choix. Les gens autour de moi disent tous que j’ai beaucoup de chance d’avoir une fille aussi excellente. Je sais que la raison pour laquelle elle est si exceptionnelle est qu’elle pratique le Falun Dafa.
J’aimerais partager ici certaines de ses expériences dans l’espoir qu’elles aideront d’autres parents.
Les enfants comprennent-ils vraiment ce qu’est la cultivation ?
Beaucoup de mes amis pratiquent le christianisme ou d’autres religions. Leurs enfants ont grandi en lisant la Bible et en allant à l’église tous les dimanches. Mais en grandissant, ils ont souvent dit qu’ils ne croyaient pas en cette religion. Dans le passé, ce sont les parents qui les ont obligés à participer à ces activités. Maintenant qu’ils sont adultes, ils veulent vivre leur propre vie.
Ayant vu tant de cas comme celui-ci, je sais que la croyance ne peut être imposée aux gens et qu’elle doit venir du cœur. Ainsi, dès le début, lorsque j’ai présenté le Falun Dafa à ma fille, je me suis concentrée sur le fait de l’aider à comprendre ce qu’est la cultivation et pourquoi nous cultivons le Falun Dafa, de sorte qu’en grandissant, elle puisse vraiment choisir le genre de vie qu’elle veut mener.
Authenticité-Bienveillance-Tolérance est l’essence même du Falun Dafa. Il est important d’aider les enfants à comprendre la signification de ce principe et comment l’appliquer dans la vie quotidienne. Nous devons également garder à l’esprit que les enfants, à différents stades de développement, ont besoin de conseils spécifiques sur la manière de mettre en pratique ce principe.
Lorsque j’étudiais le Fa avec ma fille, en plus de lui expliquer les mots et leur sens superficiel, je lui demandais également si elle comprenait ce qu’elle avait appris ce jour-là. Même si ce n’était qu’un peu, c’était un gain précieux.
Ma fille a commencé à apprendre le Falun Dafa quand elle avait environ 4 ans. Lorsque je lui parlais, j’utilisais toujours un langage qu’elle pouvait comprendre. Je lui expliquais les choses en lui racontant des histoires, et elle aimait beaucoup cela. À l’époque, elle aimait regarder des épisodes de Pérégrination vers l’Ouest, donc dès que j’expliquais quelque chose en référence à cela, elle comprenait facilement.
Au fur et à mesure qu’elle grandissait, nous avons commencé à parler de choses différentes. Un jour, elle m’a demandé : « Maman, si nous faisons toujours ce que le Maître nous dit et que nous ne nous défendons pas quand nous sommes battus ou que nous ne ripostons pas quand nous sommes grondés, est-ce que les méchants deviendront de pire en pire ? »
« Et bien, je n’y avais pas pensé de cette manière. Regardons ta question », lui ai-je dit. « Si nous ripostons, la personne ira-t-elle mieux ? »
« Bien sûr que non », a-t-elle répondu.
« Alors, nous devons utiliser notre sagesse pour changer une mauvaise personne. Voici une histoire de la Chine ancienne qui raconte comment un conflit a été résolu par la gentillesse. »
Pendant la période des Royaumes combattants (environ 475 av. J.-C. à 221 av. J.-C.), l’État de Liang et l’État de Chu étaient voisins, et les soldats des deux camps cultivaient des melons dans les champs. Les soldats du côté Liang étaient travailleurs et arrosaient souvent leurs champs, si bien que leurs melons étaient gros et sucrés. Les soldats du côté de Chu, en revanche, étaient paresseux et arrosaient rarement leurs champs de melons, si bien que leurs melons étaient petits et peu nombreux. Pire encore, les soldats de Chu volaient les melons des Liang le soir.
Lorsque les soldats de Liang découvrirent cela et le signalèrent à leurs supérieurs, ils reçurent l’ordre de ne pas se venger, mais d’aider à arroser les champs de melons des Chu pendant la nuit, sans les prévenir. Les soldats de Liang suivirent les ordres et arrosèrent les champs de melons du côté des Chu pendant la nuit. En conséquence, les melons du côté des Chu devinrent plus gros et plus sucrés.
Lorsque le roi de Chu apprit cela, il fut très touché par la gentillesse des soldats de Liang et envoya un émissaire spécial à l’État de Liang avec des cadeaux de valeur, dans l’espoir de se lier d’amitié avec eux. C’est ainsi qu’un différend amer fut réglé, d’où l’adage suivant : « Répondez à l’injure par la gentillesse.
Ma fille était très heureuse d’entendre l’histoire et elle a même fait un « spectacle à domicile » de l’histoire, en jouant les différents rôles impliqués. C’était vraiment amusant de la voir jouer l’histoire. La culture traditionnelle chinoise regorge d’histoires qui peuvent s’avérer très utiles pour l’éducation des jeunes.
Laisser les enfants renforcer leur croyance au lieu de se faire sermonner par les adultes
Nous devons aider les enfants à établir leur croyance dans le divin et à croire aux miracles. En fait, plus les enfants sont jeunes, plus il leur est facile de faire l’expérience des miracles en raison de leur esprit pur.
Une fois, ma fille s’est coupé le doigt et a commencé à pleurer à cause de la douleur. Je lui ai dit que si elle appuyait fermement sur la coupure et récitait sincèrement les phrases de bon augure « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », la coupure guérirait très rapidement. Elle a écouté et fait ce que j’ai dit. Quelques minutes plus tard, lorsqu’elle a lâché son doigt, la coupure était effectivement guérie. « Maman, le Maître prend soin de moi ! » a-t-elle dit avec enthousiasme.
Un jour, une de mes amies est venue me rendre visite avec son petit garçon. Ma fille a sorti ses jouets et a joué avec lui. Lorsqu’ils étaient sur le point de partir, le petit garçon ne voulait pas se séparer d’un jouet qu’il aimait beaucoup. « Donne-le-lui, tu veux bien ? » ai-je dit à ma fille. Mais elle aimait aussi le jouet et ne voulait pas s’en séparer.
Plus tard, alors qu’elle rangeait les jouets, celui qu’elle n’avait pas donné au petit garçon lui a échappé des mains et est tombé par terre. Il s’est cassé. Elle m’a dit : « Maman, j’ai eu tort. J’aurais dû donner le jouet au garçon. J’ai été trop égoïste. »
Pendant un certain temps, ma fille adorait le chocolat chaud de McDonald’s. Je lui ai dit que ce n’était pas très sain et qu’elle ne devait pas en boire trop. Mais elle insistait pour en avoir. « Je ne veux pas te forcer. Tu es une pratiquante. Cela n’aura pas bon goût quand il sera temps pour toi d’y renoncer », lui ai-je dit.
Elle a acheté le chocolat chaud et est remontée dans la voiture. « C’est bon ! » a-t-elle dit après avoir bu une gorgée. Alors que nous rentrions chez nous, elle m’a soudain dit : « Eh bien, je suis peut-être trop attachée au chocolat chaud. Le Maître l’a transformé en café amer. » J’ai été surprise d’entendre ce qu’elle disait et j’ai goûté. En effet, il s’était transformé en café amer !
Un jour, juste avant qu’on aille se coucher, ma fille m’a dit d’un ton sérieux : « Maman, j’ai quelque chose à te dire. »
J’ai été choquée par son ton et j’ai demandé ce qui se passait.
« Eh bien, aujourd’hui, quand je récitais le Fa avec Joy, elle a récité plus vite que moi, et j’étais jalouse d’elle. »
« Oh, ce n’est pas grave. » Je me suis sentie détendue et je lui ai dit : « C’est bien que tu l’aies remarqué. Laisse tomber. Même nous, les adultes, ressentons de temps en temps de la jalousie. »
Elle a hoché la tête et m’a dit autre chose.
« Il y a quelques jours, j’ai eu une mauvaise pensée qui m’a dit de ne pas croire dans le Maître », a-t-elle déclaré.
« Qu’as-tu fait alors ? » lui ai-je demandé.
« Eh bien, j’ai simplement dit : “Je ne veux pas de toi” et il est parti. »
J’ai été très surprise de voir qu’à un si jeune âge, elle savait comment expulser le karma de pensée et l’interférence extérieure. J’étais également très heureuse qu’elle ait compris le sens de la cultivation.
Je me souviens que lorsqu’elle avait 4 ans, elle avait eu des symptômes de rhume :
« Veux-tu prendre des médicaments ou écouter les conférences de Fa du Maître ? » lui ai-je demandé. Elle a répondu qu’elle ne savait pas. Je lui ai donné un médicament. Mais dès qu’elle l’a bu, elle l’a vomi.
« Il semble que tu n’aies pas besoin de médicaments », lui ai-je dit. Elle a continué à hocher la tête. Je lui ai fait écouter les conférences de Fa du Maître. Elle s’est sentie mieux après avoir écouté une conférence. À partir de ce moment-là, chaque fois qu’elle se sentait un peu malade, elle étudiait le Fa ou faisait les exercices. Lorsqu’elle a été un peu plus âgée, elle a également appris à regarder à l’intérieur pour s’améliorer chaque fois qu’elle ressentait un inconfort physique. Elle allait toujours mieux après avoir corrigé ses erreurs et s’être améliorée.
Elle est devenue un peu myope lorsqu’elle était en huitième année. J’ai entendu dire qu’il y avait dans la région un médecin réputé pratiquant la médecine traditionnelle chinoise, qui pouvait traiter la myopie avec l’acupuncture. J’ai emmené ma fille le voir. « Elle est en très bonne santé », a dit le médecin, « son pouls est très bon. »
« Oui, elle n’est jamais allée à l’hôpital depuis qu’elle est bébé, sauf pour des vaccinations et des examens physiques. » J’ai dit au médecin : « Lorsqu’elle avait un mal de tête ou une légère fièvre, elle pratiquait les exercices de Falun Dafa, et elle se rétablissait rapidement, sans prendre de médicaments. »
Sur le chemin du retour, j’ai demandé à ma fille : « Tu as été en très bonne santé pendant toutes ces années, comment se fait-il que tu sois devenue myope ? » Elle m’a répondu que même si je ne l’ai jamais restreinte dans l’utilisation du téléphone portable ou de l’ordinateur, et qu’elle n’a jamais rien vu de mal, elle était tout de même attirée par ces appareils et regardait certains programmes intéressants en ligne.
Je voudrais rappeler aux parents qu’ils doivent être stricts dans la limitation de l’accès des enfants à Internet. Même si ma fille était très disciplinée, elle ne pouvait pas s’empêcher de naviguer sur Internet, où elle pouvait accidentellement tomber sur un grand nombre d’informations négatives.
L’importance de donner le bon exemple par nos propres actes
1. Aider les enfants à ne pas nourrir du ressentiment et à traiter les autres avec gentillesse et compréhension
Lorsque ma fille était à l’école maternelle, un jour, elle a été renversée par un autre enfant alors qu’elle jouait sur les balançoires. Au dîner, j’ai remarqué que la moitié de son visage était enflé et qu’elle avait même du mal à ouvrir la bouche. Elle m’a raconté ce qui s’était passé. J’ai eu beaucoup de peine pour elle et j’ai voulu demander à l’enseignante pourquoi elle ne m’avait pas parlé de l’accident.
À ce moment-là, j’ai remarqué que ma fille me regardait fixement, comme si elle voulait savoir comment j’allais réagir à l’incident. « Devrions-nous en parler à l’enseignante demain ? » lui ai-je demandé.
« Je ne sais pas », a-t-elle répondu calmement. Je me suis reprise et j’ai dit : « Nous ne pouvons pas défaire ce qui s’est déjà passé. Si nous nous adressons à l’enseignante, nous demanderons des excuses. L’enfant n’a pas fait exprès de te heurter, alors je pense qu’il vaut mieux ne pas en parler à l’enseignante et ne pas avoir du ressentiment, n’est-ce pas ? »
Ma fille a hoché la tête et a ajouté : « Mais nous pouvons quand même dire à l’enseignante d’être plus prudente pour que les autres enfants ne soient pas blessés. »
J’ai été très heureuse d’entendre ce qu’elle m’a dit et je lui ai fait des éloges : « Bien sûr que tu peux le dire à l’enseignante, parce que tu penses aux autres et non à toi-même. »
Les jours suivants, bien qu’elle ne puisse manger que des aliments mous, elle était heureuse comme si rien ne s’était passé. Il s’est avéré que c’est moi qui n’arrivais pas à abandonner facilement.
Dès lors, chaque fois que ma fille était blessée, j’essayais de la guider pour qu’elle agisse selon les principes enseignés dans Dafa. De cette manière, elle a appris dès son plus jeune âge à traiter les autres avec gentillesse et compréhension, et à ne pas avoir de rancune.
Les gens de ma génération ont grandi avec la propagande de haine et le lavage de cerveau du PCC (Parti communiste chinois), et nous avons tendance à nourrir un fort ressentiment envers autrui. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, j’ai compris que je devais enseigner aux jeunes enfants en leur donnant le bon exemple pour qu’ils grandissent sainement. Ma fille a prouvé que j’avais raison. C’est une grande joie pour moi de voir comme elle traite les injustices avec gentillesse et tolérance, et comme elle regarde à l’intérieur d’elle-même pour trouver ses propres problèmes et s’améliorer.
2. Défendre la culture traditionnelle et la piété filiale
Ma fille a été élevée par sa grand-mère lorsqu’elle était petite. Mais lorsqu’elle avait environ 8 ans, j’ai remarqué qu’elle était très impolie lorsqu’elle parlait à sa grand-mère. Elle s’est un peu améliorée après que je le lui ai fait remarquer, mais elle n’a pas complètement changé d’attitude. Je me suis dit : je dois lui enseigner les valeurs traditionnelles et l’aider à comprendre l’importance de la piété filiale.
En regardant à l’intérieur de moi, j’ai vu mes propres problèmes. Bien que je semble être une fille très filiale envers mes parents et que je prenne bien soin d’eux, je suis parfois impatiente et irrespectueuse lorsque je leur parle. C’est l’influence de la culture du Parti, et ma fille l’a apprise de moi.
J’ai eu une discussion sérieuse avec elle pour qu’elle se rende compte de mes problèmes et qu’elle ne répète pas mes erreurs. Je me suis également excusée auprès de ma mère et je lui ai dit que j’avais tort d’être parfois impolie et que je changerais à l’avenir. J’ai pu voir que ma fille avait été très touchée par ce que j’avais fait et j’ai pu lire le respect dans ses yeux. Elle a également appris de cet incident ce que signifie la cultivation et que, en tant que pratiquants, nous devons mesurer nos actions en fonction du critère Authenticité-Bienveillance-Tolérance plutôt que de suivre quelqu’un.
Plus tard, ma fille a fait beaucoup mieux que moi à cet égard. Une fois, je me suis disputée avec ma mère pour une petite affaire. Ma fille m’a dit par la suite que je n’aurais pas dû me disputer avec sa grand-mère. « Mais elle avait tort », ai-je répondu. « Tu n’aurais quand même pas dû te disputer avec elle. Il vaudrait mieux lui parler calmement », a insisté ma fille.
Lorsque je perdais patience en essayant d’enseigner quelque chose à ma mère, ma fille me disait : « Ma grand-mère pourrait l’apprendre si tu étais un peu plus patiente. Plus tu es impatiente, plus elle aura du mal à apprendre. » Parfois, ma fille proposait d’enseigner à sa grand-mère, et le résultat était effectivement bien meilleur.
3. Être responsable
Je rappelle souvent à ma fille ce que le Maître a dit dans « Réponses aux questions lors de l’enseignement du Fa à Guangzhou » :
« […] en tant qu’étudiant, ton devoir impérieux est de bien étudier, d’être digne de tes parents, de ton école et de tes professeurs. Les professeurs doivent se donner pour toi, ils te donnent des cours ; tes parents paient pour ta scolarité, t’élèvent pour aller à l’école. Donc si tu es à la hauteur des efforts de tes parents, des professeurs de ton école, et si tu t’efforces de bien étudier, ne seras-tu pas naturellement admis à l’université ? » (« Réponses aux questions lors de l’enseignement du Fa à Guangzhou », Zhuan Falun Fajie)
Ma fille finissait toujours ses devoirs à temps, même si elle devait veiller jusqu’à minuit. Elle a également suivi des cours de gestion du temps. Elle est donc toujours très douée pour gérer son temps. Elle a obtenu son diplôme de fin d’études secondaires avec une moyenne de 4,0 GPA dans toutes ses matières. Elle vient de commencer ses études universitaires et obtient toujours des A.
Sa chambre est toujours propre et bien rangée. Elle garde tout en ordre, des fichiers de son ordinateur à ses livres et à ses vêtements. Même moi, j’ai été surprise de voir à quel point elle est organisée. Elle aide aussi son père à faire de petits travaux dans la maison, comme monter de petits meubles, changer des piles ou nettoyer la maison. Elle a même aidé à aménager la salle à manger et le salon. Elle est vraiment une personne avec un sens très fort de la responsabilité familiale.
Les personnes aimables ont leur propre façon de gagner leur vie
J’ai eu un grand test de xinxing quand ma fille était au lycée. Un jour, un concierge de son école qui nous connaissait m’a dit : « Comment faites-vous pour élever votre fille ? Je l’observe depuis un certain temps et elle est trop gentille et honnête. Elle ne se bat pour rien. J’ai vu certaines de ses camarades de classe l’intimider, et elle ne semblait pas être consciente qu’on voulait l’intimider. Si elle est intimidée à l’école, elle sera encore plus intimidée dans la société à l’avenir. Je pense qu’il vaut mieux qu’elle n’aille pas à l’université mais qu’elle apprenne un métier pour pouvoir au moins gagner sa vie. » Je suis restée stupéfaite et sans voix pendant un moment.
Dans les jours qui ont suivi, j’ai été très perturbée par ce que le concierge m’avait dit. Je n’ai pas pu m’empêcher d’y penser : cela fait des années que je lui enseigne le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Bien que je n’aie jamais espéré qu’elle devienne renommée, elle est vraiment très intelligente, pleine de bonté et responsable, et elle a toujours excellé dans ses études. Comment peut-elle être une personne qui est intimidée à l’école et une personne qui aura des difficultés à gagner sa vie à l’avenir ? Ai-je fait quelque chose de mal ? Suis-je allée dans les extrêmes en essayant de l’élever pour qu’elle devienne une bonne personne ?
Un jour, je suis sortie pour faire quelque chose avec un compagnon de cultivation. « Tu as l’air inquiète. Quelque chose ne va pas ? » m’a-t-il demandé.
« Non, mais je suis un peu inquiète que ma fille soit trop honnête et qu’elle puisse être intimidée à l’avenir », lui ai-je dit.
« Tu t’inquiètes trop », m’a-t-il dit, « je pense toujours que les gens de cœur ont leur propre façon de gagner leur vie. J’étais très timide et gentil quand j’étais enfant, et j’ai peut-être été intimidé, mais je ne m’en suis jamais voulu. Tu sais, les gens de cœur peuvent être malmenés par quelqu’un, mais ils ne seront jamais malmenés par le Ciel ! »
Tout à coup, j’ai réalisé que j’élevais ma fille selon les enseignements du Falun Dafa depuis son enfance, parce que je crois que le Ciel bénit toujours les personnes au bon cœur. Comment ai-je pu être aussi confuse ? J’ai réalisé que j’étais émue par l’affection familiale et que j’avais oublié le juste principe de la cultivation. Cet ami a très bien réussi dans sa carrière et a une très bonne famille. Qui a dit que les personnes honnêtes seraient victimes de brimades ?
Ma fille n’attend jamais rien en retour de sa gentillesse. Mais à cause de mes propres attachements, je crains qu’elle ne subisse des pertes à l’avenir.
Je suis très reconnaissante au Maître pour tout ce qu’il nous a donné, et je suis également très heureuse de voir ma fille devenir un membre positif de la société. Merci, Maître !
(Partage sélectionné pour célébrer la Journée mondiale du Falun Dafa sur Minghui.org)
Traduit de l’anglais