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Des enfants sont bénis après avoir appris à réciter « Falun Dafa est bon ! »

16 août 2024 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Lianzi se consacre à clarifier la vérité et à aider les gens à démissionner du Parti communiste chinois (PCC). Qu’il pleuve ou qu’il vente, rien ne peut interférer avec son engagement à aider Maître Li à sauver les gens. Elle saisit chaque opportunité pour expliquer la vérité sur la persécution du Falun Gong (également connu sous le nom de Falun Dafa). J’aimerais raconter comment Lianzi a enseigné à des enfants les bienfaits de réciter « Falun Dafa est bon. »

Lianzi est joyeuse et détendue envers la vie et sa cultivation.

Le Maître a dit :

« La cultivation dépend de soi-même, le gong dépend du maître. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Avant d’entreprendre une tâche importante, Lianzi a toujours demandé au Maître de la renforcer afin de l’aider à atteindre ses objectifs plus efficacement.

Un après-midi, Lianzi est passée devant un parc et a vu plusieurs enfants jouer. Elle a pensé en elle-même : « Quelle merveilleuse opportunité pour clarifier la vérité. » Avec un sourire, elle s’est approchée des enfants et leur a dit : « Vous avez l’air de vous amuser. Dans quelle école allez-vous ? Vous êtes en quelle année ? Aimeriez-vous être plus intelligents et plus sages ? » Les enfants étaient intrigués et se sont rassemblés pour écouter.

« En récitant sincèrement “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon” plusieurs fois par jour, a dit Lianzi, vous serez en sécurité. Avant tout examen, si vous répétez sincèrement ces mots quelques fois, vous réussirez exceptionnellement bien ou verrez une amélioration significative. Pourquoi ? Parce que les êtres divins valorisent ce principe. Il est très facile pour les êtres divins de protéger les gens et de les rendre plus intelligents, tant que vous y croyez et récitez ces neuf mots de bon augure. Cependant, cela ne signifie pas que vous n’avez pas besoin d’étudier. Vous devez toujours travailler dur comme d’habitude aux moments cruciaux, mais les êtres divins vous aideront. »

« De plus, vos enseignants pourraient vous demander de porter des foulards rouges. Ces foulards sont teints de sang, le sang des innocents que le PCC a tués. Les êtres divins n’aiment pas cela. Que devez-vous faire ? Vous pouvez faire un vœu aux cieux et aux dieux ‒ pas à votre enseignant ‒ que vous voulez démissionner du PCC et de ses organisations. Vous comprenez ? »

Les élèves ont hoché la tête et ont répondu qu’ils comprenaient. Lianzi a sorti une feuille de papier et a dit : « Écrivez vos noms dessus pour que les êtres divins connaissent vos intentions. » Chaque enfant a soigneusement écrit son nom. Un enfant a demandé à Lianzi comment elle pouvait savoir tant de choses. Elle a répondu : « Je lis un livre provenant des cieux chaque jour. Il m’apprend ces choses. »

Un autre enfant a demandé : « Pouvons-nous voir ce livre céleste ? » Puis un autre a ajouté : « Grand-mère, où habitez-vous ? Quand pouvons-nous vous revoir ? » Lianzi a répondu à toutes leurs questions patiemment. Alors qu’elle leur disait au revoir d’un signe de la main, ils l’ont suivie, ne voulant pas la voir partir.

Quelque temps plus tard près d’une école, Lianzi a rencontré une élève qui s’est exclamée : « Grand-mère, je vous connais. Je m’appelle Lingling. » Lianzi a demandé à Lingling si elle se souvenait de ce qu’elle lui avait dit auparavant et si elle avait récité les neuf mots de bon augure avant ses examens. Lingling a répondu : « Je m’en souvenais et je l’ai fait, et j’ai très bien réussi à mon examen ! »

Un groupe d’élèves s’est approché d’eux, et Lingling a présenté sept autres élèves à Lianzi. Lingling a dit : « Ils n’ont pas encore entendu la vérité [sur le Falun Gong]. » Lianzi a expliqué patiemment les faits à chacun d’eux. Avant de passer à la question ou au sujet suivant, elle leur demandait s’ils avaient compris. Finalement, elle a écrit leurs noms ou pseudonymes avant de leur dire au revoir.

Un matin tôt, alors que Lianzi passait près d’une école, elle a remarqué des élèves qui attendaient devant le portail. En s’approchant, plusieurs élèves qui avaient appris la vérité ont salué Lianzi et ont attrapé leurs amis pour qu’elle puisse leur parler. Avec leur aide, Lianzi a réussi à aider plus d’une douzaine d’élèves à démissionner du PCC en moins de dix minutes. Ils étaient très heureux d’apprendre la vérité.

Une autre fois, Lianzi a rencontré un garçon de sixième et lui a demandé : « Est-ce qu’on t’a dit le meilleur moyen de ne pas attraper le COVID et de rester en sécurité ? » Le garçon a dit qu’elle le lui avait déjà dit trois fois, que c’était la quatrième fois qu’il la rencontrait. Lianzi a ri, « Vraiment ? As-tu récité les neuf mots de bon augure avant tes examens ? As-tu bien réussi ? »

Il a répondu : « Quand vous me l’avez dit pour la première fois, j’étais quelque peu sceptique. Mais avant un examen récent, je les ai récités quelques fois et j’ai vu une amélioration. J’ai l’habitude d’obtenir des points dans les 80 %, mais cette fois j’ai obtenu 90. J’ai continué à réciter les mots avant mes examens, et ma note est montée à 97. À l’examen suivant, je les ai récités à nouveau et j’ai obtenu un 100 parfait ! » Lianzi était ravie pour lui.

Lianzi a demandé au garçon s’il en avait parlé à ses amis et elle a été heureuse d’entendre qu’il avait transmis le message à 20 de ses camarades de classe. Lianzi a dit : « Tu as fait du bon travail ! C’est une chose merveilleuse. Plus tu partages, plus tu deviens en sécurité et intelligent. J’espère que tu continueras à en parler à plus de camarades de classe à l’avenir. »

Chaque fois que Lianzi rencontrait des élèves à qui elle avait parlé auparavant, elle leur demandait s’ils avaient récité les neuf mots de bon augure avant les examens et s’ils avaient partagé l’information avec d’autres. La majorité des élèves disait qu’ils avaient effectivement obtenu de bons scores à leurs examens, et que des enseignants leur avaient même fait des compliments au sujet de leurs améliorations significatives. Certains mentionnaient qu’ils avaient partagé l’information avec 5, 12, ou même 20 camarades.

Lianzi était très heureuse d’entendre les réactions des enfants. En fait, c’était la même chose dans de nombreuses écoles. Elle a été témoin de la joie de nombreux élèves après avoir entendu la vérité. Elle savait que c’était grâce à la compassion du Maître. Lianzi est également allée dans plusieurs écoles de la ville pendant la journée et a aidé à répandre la bénédiction des neuf mots de bon augure.

Traduit de l’anglais