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Espagne : Les habitants d’une île condamnent la persécution du Falun Dafa par le régime communiste chinois

11 septembre 2024

(Minghui.org) Le 16 août 2024, des pratiquants de Las Palmas de Gran Canaria, dans le sud de l’Espagne, ont organisé une activité sur la Plaza de España, au cours de laquelle ils ont parlé du Falun Dafa et de la persécution par le Parti communiste chinois (PCC), et recueilli des signatures pour une pétition appelant à mettre fini à la persécution. Ils ont déployé des banderoles et distribué des dépliants aux passants. Les gens se sont arrêtés pour s’informer sur l’activité et ont été choqués d’apprendre que les pratiquants étaient persécutés.

Des habitants de la région signent la pétition appelant à la fin de la persécution perpétrée par le PCC.

Le centre-ville, Plaza de España, est relié à plusieurs rues commerçantes bordées de cafés et de restaurants. Les gens se rendent sur la place avec leurs familles et leurs amis pour faire des achats et se promener. Les pratiquants ont choisi cette zone populaire pour présenter les exercices de Falun Dafa et recueillir des signatures. Ils ont présenté le Falun Dafa et parlé aux habitants ainsi qu’aux touristes de la persécution par le PCC.

L’espoir de contribuer à mettre fin à la persécution

Samir, qui travaille pour une station de radio locale, s’est rendu au stand des pratiquants après avoir participé à un événement politique à proximité. Après avoir lu les informations, il a appris que le Falun Dafa est une discipline spirituelle et que les pratiquants en Chine sont persécutés depuis vingt-cinq ans sous la dictature du PCC.

Samir a dit qu’il espère faire sa part pour mettre fin à la persécution.

Lorsqu’il a appris l’existence de la banque d’organes vivants et du commerce illégal d’organes en Chine, il a dit : « C’est tellement choquant. Je n’ai jamais entendu parler d’un acte aussi malveillant ! » Il a dit qu’il espérait apporter sa contribution pour mettre fin à la persécution. Il a donné ses coordonnées aux pratiquants et a promis d’interviewer des pratiquants au cours de son émission de radio afin qu’ils puissent parler aux gens de la persécution par le PCC et des prélèvements forcés d’organes.

De jeunes Espagnols : Le PCC peut commettre tous les maux

Bruno et Nicole se sont arrêtés pour lire les panneaux d’affichage et ils ont écouté attentivement un pratiquant expliquer les faits concernant le Falun Dafa. Bruno a dit que c’était la première fois qu’il entendait parler de la persécution. Ils se sont dits choqués et ont condamné le PCC pour cette persécution inhumaine. Ils ont signé la pétition pour soutenir les efforts des pratiquants pour mettre fin à la persécution.

Bruno a dit qu’il n’était pas surpris que de telles choses se produisent dans un pays dirigé par une dictature qui manque de transparence. « Le PCC peut commettre tous les maux », a-t-il dit.

Bruno et Nicole ont condamné le PCC pour la persécution du Falun Dafa.

Deux jeunes étudiants se sont arrêtés pour lire les informations sur les panneaux d’affichage et ont dit qu’ils étaient inquiets de la gravité de la persécution. Après avoir signé la pétition, ils ont dit que signer pour aider à mettre fin à la persécution était une chose juste à faire, et qu’ils étaient heureux de le faire.

Une jeune fille chinoise : La persécution doit cesser

Aurora, une jeune Chinoise de 18 ans, dit avoir été adoptée par un couple d’Espagnols à l’âge de 3 ans. Après avoir lu un dépliant, elle a dit qu’elle n’avait jamais entendu parler du Falun Dafa ou de la persécution auparavant. Elle a décidé de signer la pétition pour aider à mettre fin à la persécution. Elle a dit : « Bien que la persécution soit loin, elle ne devrait pas se produire et doit être arrêtée. »

Aurora signe la pétition.

Elle a dit qu’elle espérait aller en Chine après avoir obtenu son diplôme et apprendre la culture chinoise. Elle a remercié les pratiquants de lui avoir communiqué ces informations importantes.

M. Franco, 84 ans, s’est arrêté devant les panneaux d’affichage dans son fauteuil roulant. Il a été choqué d’apprendre que le PCC prélève à vif des organes sur les pratiquants. Après avoir lu les informations, il a dit : « Je ne sais pas comment décrire mon sentiment avec des mots. J’ai connu les guerres et la dictature en Espagne, mais je n’ai jamais entendu parler d’un dictateur aussi cruel et vicieux que le PCC ! »

M. Franco était consterné d’apprendre l’atrocité des prélèvements forcés d’organes.

Il a signé la pétition et a dit aux pratiquants qu’il admirait le courage dont ils font preuve en dénonçant les persécutions par le PCC.

Traduit de l’anglais