(Minghui.org) Je vis seule dans un village rural et j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1998. Trois jours après avoir commencé à écouter les enregistrements des conférences du Maître, j’ai réalisé que l’hystérie (anxiété) dont souffraient certains membres de ma famille avait disparu. Quelques jours plus tard, une plaie ouverte sur mon bas-ventre a guéri. À partir de ce moment-là, j’ai été en bonne santé.
En juillet 1999, le Parti communiste chinois (PCC) a lancé la persécution du Falun Dafa. La police m’a arrêtée ainsi qu’une autre pratiquante. Au poste de police, un policier a infligé des décharges électriques à l’autre pratiquante, et elle a crié. J’ai eu pitié de la jeune femme et j’ai pensé : « Électrocutez-moi plutôt. » Le policier lui a retiré les fils et les a mis sur mes mains. Je n’ai rien ressenti. Le policier a rétabli le courant, mais je n’ai toujours rien ressenti. L’agent a pensé que j’avais une grande tolérance à la douleur, mais je savais que le Maître me protégeait.
La police venait souvent chez moi pour me harceler, et l’agent Long était l’un d’eux. Chaque fois qu’il venait, je lui clarifiais la vérité sur la persécution. Un jour en 2014, il est venu chez moi et a demandé à voir plus d’informations sur le Falun Dafa. Je lui ai donné un DVD avec un film sur un policier qui a risqué sa vie pour sauver un pratiquant.
Après avoir regardé le DVD, il est revenu et a voulu en savoir plus sur le Falun Dafa. Je lui ai dit : « Jiang Zemin, l’ancien dirigeant du PCC qui a lancé la persécution, a dit que des policiers pourraient aussi être tués, et qu’il ne serait pas tenu pour responsable de la persécution. Le PCC fait toujours porter la responsabilité à ceux qui suivent ses ordres et ses politiques, la police fait aussi partie des victimes. » Il a semblé choqué. Je lui ai dit de ne pas suivre aveuglément les ordres du PCC et qu’il devait rompre ses liens avec lui : « Je peux vous aider à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. » Il a rapidement accepté.
Deux ans plus tard, un autre policier m’a arrêtée et a demandé à Long de l’aider à saccager ma maison. Long a dit : « Je l’ai arrêtée plus d’une fois. Elle n’a pas d’argent ni aucune information sur d’autres pratiquants. Elle n’a rien fait d’illégal. Je ne vais pas m’impliquer et vous serez responsable si quelque chose se passe mal. »
Un fonctionnaire du village, qui connaissait la vérité sur la persécution du Falun Dafa et avait démissionné du PCC, est arrivé pendant que le policier saccageait mon domicile. Il l’a empêché de prendre l’argent sous mon lit : « C’est une veuve âgée et elle a peu d’argent. Que va-t-elle faire si vous prenez tout son argent ? » Le fonctionnaire a insisté et le policier est parti sans prendre l’argent.
Pendant que j’étais au poste de police, j’ai clarifié la vérité aux policiers et l’un d’eux a accepté de démissionner du PCC. Comme ils étaient sur le point de me transférer à un autre endroit, j’ai dit que je voulais d’abord rentrer chez moi et présenter mes respects devant la photo du Maître avant de partir avec eux. Un policier a dit que ce n’était pas à moi de décider. Je lui ai dit avec confiance que le Maître m’aiderait. Il est parti s’occuper d’autres choses et est revenu peu de temps après. « Tu as raison. Ton Maître t’a aidé », a-t-il dit. J’ai été libérée cette nuit-là.
Deux policiers et Long m’ont ramenée chez moi cette nuit-là vers 22 h. Long m’a demandé de cueillir des poireaux pour lui. Après mon retour du jardin, je les ai vus tous les trois debout devant la photo du Maître, pressant leurs paumes l’une contre l’autre devant leur poitrine, rendant hommage au Maître.
Un jour, Long m’a montré la photo de sa mère et m’a dit qu’elle était gravement malade et hospitalisée. Son médecin a dit qu’elle pouvait mourir à tout moment. Je lui ai demandé, ainsi qu’à sa famille, de réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » près d’elle, et de lui demander de réciter également la phrase. Elle a survécu et a vécu encore trois ans. Long m’a dit : « Ce que vous m’avez dit a vraiment fonctionné. »
Ces dernières années, chaque fois que Long venait me rendre visite à la maison, il emmenait toujours un autre policier avec lui pour que je puisse lui dire la vérité sur Dafa. Avec son aide, j’ai aidé cinq policiers à démissionner du PCC.
Au début de cette année, un jeune policier est venu avec Long. Le jeune policier a essayé de confisquer les dépliants de Falun Dafa qui étaient sur le canapé et de me prendre en photo. Long l’a arrêté. Avec son aide, j’ai pu clarifier la vérité et aider le jeune policier à démissionner du PCC.
Long a emmené un autre policier chez moi en mai. Je lui ai dit que le PCC avait commis de nombreux crimes et causé la mort de 80 millions de personnes au cours de tous ses mouvements. « Si vous ne voulez pas être tenu responsable pour ces crimes, vous devriez démissionner du PCC pour vous éloigner des calamités futures », ai-je dit. Long l’a également exhorté à démissionner. Le policier a accepté, et les deux se sont mis devant la photo du Maître et ont joint leurs mains pour montrer leur respect.
Chaque hiver avant le Nouvel An chinois, de nombreuses personnes viennent chez moi et demandent un calendrier de Falun Dafa. Je leur donne aussi des dépliants de Falun Dafa et je les aide à démissionner du PCC.
J’ai maintenant 78 ans, mais je marche vite comme une jeune personne et mon dos est droit. Je cultive moi-même 1,5 acre de terre. Merci au Falun Dafa et au Maître de m’avoir donné une bonne santé.
Traduit de l’anglais