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Cultiver pendant les efforts pour sauver ma mère

4 septembre 2024 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa au Canada

(Minghui.org)

Bonjour, Maître ! Bonjour, chers compagnons de cultivation !

Ma mère, âgée de 78 ans, est aussi une pratiquante de Falun Dafa. Elle a été illégalement arrêtée par la police du Parti communiste chinois (PCC) le 16 octobre 2022. Le 14 février 2023, elle a été illégalement condamnée à quatre ans de prison. Mon attachement à ma mère et mon état de cultivation ont fait que pour moi, cette période a été ressentie comme un test de vie ou de mort. Grâce à la protection compatissante du Maître et à l’aide désintéressée des compagnons de cultivation, j’ai traversé des moments où j’étais désemparée et je ne savais pas quoi faire, pour finalement comprendre la situation sur la base du Fa. J’écris cette expérience pour exprimer ma gratitude au Maître et pour remercier les compagnons de cultivation.

1. Face au test de la sentimentalité, croire dans le Maître et le Fa est fondamental

Lorsque mon frère en Chine m’a appelée pour m’informer de l’arrestation de ma mère, j’ai eu l’impression que le ciel me tombait sur la tête. J’avais le cœur brisé. Mon esprit était rempli d’inquiétude au sujet de ma mère. J’étais incapable de dormir. Lorsque je parvenais à m’endormir, je me réveillais à nouveau. Une pression invisible m’empêchait de respirer et mon cœur s’emballait comme s’il était sur le point de sortir de ma poitrine. Des pensées négatives envahissaient mon esprit, et la peur et la douleur me faisaient souhaiter m’endormir et ne jamais me réveiller. À ce moment-là, il me semblait plus facile d’abandonner ma vie que de me débarrasser de mes inquiétudes au sujet de ma mère.

J’ai grandi sous la protection de mes parents et j’avais un fort attachement émotionnel envers eux. Je me souviens qu’au moment où j’envisageais d’émigrer, je me suis rendue au poste de police pour demander les documents nécessaires. Un agent m’a posé des questions sur les membres de ma famille. Sans réfléchir, j’ai répondu : « Mon père, ma mère et mon frère. » L’agent m’a regardée pendant un certain temps, m’a posé à nouveau la question, et j’ai répondu exactement la même chose. Il a pointé du doigt mon mari et ma fille, assis à côté de moi, et a demandé à voix haute : « Vous ne voulez pas inclure votre mari et votre fille ? J’ai toujours raconté cette expérience en plaisantant. Au cours de mes années de cultivation, je n’ai jamais réalisé que mon attachement à mes parents était un attachement. J’appréciais la chaleur portée par cet amour familial et je ne voulais pas m’en défaire.

Le Maître nous a enseigné :

« Couper et abandonner ce qui n’est pas soi-même

Mais l’absurdité de l’illusion »

(Enlever les attachements, Hong Yin II)

J’ai compris que le seul moyen d’avancer était de persister dans l’étude du Fa. La substance de la peur rendait mes mains froides quand je tenais le livre, mes jambes tremblaient quand je m’asseyais dans la position du lotus et ma voix frémissait quand je lisais le Fa. Mais j’ai persisté en rejoignant le groupe d’étude de The Epoch Times tous les matins, en étudiant le Fa avec ma fille le soir, puis en étudiant avec un groupe d’étude du Fa en ligne. J’ai également continué à mémoriser le Fa par moi-même. Je n’ai pas laissé mon esprit devenir oisif, même si j’avais souvent du mal à me calmer. Le Maître compatissant n’arrêtait pas de me donner des conseils. Un jour, pendant l’étude du Fa, c’était à mon tour de lire ce passage :

« Certains trouvent que l’épreuve rencontrée dans le xiulian est très grande, en réalité elle ne l’est pas. Plus tu la juges grande, plus elle devient grande et plus tu deviens petit. Si tu as l’esprit détaché, si tu y es indifférent – tant que la montagne sera là, nous ne manquerons pas de bûches – le Maître est là, le Fa est là, qu’y a-t-il à craindre ? Ne t’en préoccupe pas ! Une fois abandonné, tu trouveras que ces tribulations deviennent petites et que toi tu deviens grand, tu les enjamberas d’un seul pas et ces tribulations seront réduites à rien du tout, je te l’assure. Si on ne peut pas les dépasser, c’est en réalité qu’on n’a pas abandonné son attachement ou qu’on ne croit pas au Fa. Dans la plupart des cas, c’est parce qu’on n’arrive pas à abandonner tel ou tel attachement, c’est toujours dû au fait qu’on n’arrive pas à abandonner son cœur, qu’on ne peut pas passer l’épreuve. Parce qu’on n’arrive pas à reculer d’un pas pour s’éloigner de l’être humain, on ne peut pas la passer. » (« Enseignement du Fa à Sydney »)

En lisant le Fa du Maître, j’avais l’impression que le Maître m’encourageait comme un bon père. Mon corps était rempli d’énergie et j’ai eu une petite pensée droite :

« Le Maître est là, le Fa est là, qu’y a-t-il à craindre ? » (« Enseignement du Fa à Sydney »)

Le véritable protecteur est le Fa et le Maître. Faire face aux tribulations est un test ; nous devons lâcher prise et ne pas alourdir nos fardeaux en raison de la sentimentalité.

Un jour, j’ai pensé à l’histoire du maître de Milarepa qui lui faisait construire des maisons, ainsi qu’à l’enseignement du Maître sur la « grâce immense et majestueuse de Bouddha » (« Enseignement du Fa et explication de la Loi lors de la conférence de Loi du New York Métropolitain »). Des larmes ont coulé sur mon visage. Ma compréhension précédente de la compassion du Maître était principalement due aux changements dans mon corps et à un sentiment de gratitude pour la façon dont j’avais bénéficié du Fa. J’avais maintenant une compréhension différente : rien n’est accidentel ; toutes les tribulations sont causées par notre propre karma, que nous devons endurer. Le Maître profite simplement de ces tribulations pour tester notre xinxing, nous aider à nous défaire de nos attachements, à tempérer notre volonté et à éliminer le karma.

« Endurer des souffrances, c’est rembourser ses dettes karmiques » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Le Maître nous aide à élever notre xinxing à travers la souffrance et nous guide vers la plénitude parfaite

Mes compagnons de cultivation m’ont dit que ma voix lors de la lecture du Fa avait progressivement changé, devenant plus posée. J’ai compris que ma mère est disciple du Maître, qu’elle a obtenu le Fa, et qu’elle peut cultiver n’importe où avec l’attention du Maître. Elle a son chemin de cultivation arrangé par le Maître, et j’ai mon chemin arrangé par le Maître. Les arrangements du Maître sont les meilleurs. Personne ne peut prendre la place d’une autre personne dans la cultivation. En tant que fille et disciple de Dafa, abandonner l’attachement à la sentimentalité et faire ce qu’un disciple de Dafa devrait faire serait la plus grande aide pour ma mère.

2. Sortir de ma zone de confort, téléphoner à des fonctionnaires du Bureau 610 et écrire des lettres aux gardiens de prison

Des pratiquants locaux expérimentés m’ont conseillé de recueillir les numéros de téléphone et les informations sur la police et le personnel concerné auprès du Bureau de la sécurité publique et du poste de police afin de contribuer aux efforts déployés pour sauver ma mère. Les pratiquants qui travaillent dans les médias ont suggéré d’organiser une conférence de presse devant le consulat pour exposer la perversité. À ce moment-là, une immense pression invisible m’a fait reculer et je n’ai pas voulu faire face à la douleur. Par conséquent, bon nombre de ces tâches de sauvetage spécifiques ont été accomplies par d’autres pratiquants.

Une pratiquante m’a encouragée : « C’est ta mère qui a été arrêtée, tu devrais être la première à appeler le Bureau de la sécurité publique et le Bureau 610 pour clarifier la vérité. » Mais j’avais peur d’entendre de mauvaises nouvelles au sujet de ma mère. Les pensées négatives me contrôlaient, me faisant penser au pire scénario, et plus j’y pensais, plus je me sentais effrayée et accablée. Je vacillais. Chaque fois que je décrochais le téléphone, la peur m’envahissait et je raccrochais. Une compagne de cultivation a partagé sa réflexion avec moi : « Nous devrions envisager la question avec la pensée droite. Nous utilisons cette opportunité pour clarifier la vérité et sauver les êtres. Si tu ne penses qu’à sauver ta mère, il s’agit toujours d’un attachement au qing (sentimentalité) et de focaliser sur le soi. Plus tu es égoïste et craintive, moins tu seras capable de sauver ta mère. »

La pratiquante a suggéré que nous fassions des appels ensemble, l’une de nous enverrait la pensée droite pendant que l’autre passait l’appel. C’était la première fois que je traitais directement avec la perversité. J’étais tellement nerveuse que je transpirais. J’ai composé le numéro de portable du chef du Bureau 610 et l’appel a abouti. Je lui ai dit : « Je suis la fille de la personne que vous avez arrêtée, et ainsi de suite ». Il m’a répondu : « Oh, vous êtes untel », en reprenant précisément mon nom. Il a ajouté qu’il avait reçu de nombreux appels de l’étranger ces derniers temps, mais qu’il n’y avait pas répondu. Il a décidé de répondre à mon appel aujourd’hui. J’ai expliqué comment ma mère avait bénéficié physiquement et mentalement de la discipline du Falun Gong. Ma voix tremblait et mon esprit était vide. Après avoir prononcé ces mots, je ne savais plus quoi dire. Ma compagne de cultivation a rapidement pris le relais et a parlé de la mise en scène de l’incident des auto-immolations et de la pratique de Dafa répandue dans le monde entier, expliquant le principe de rétribution du bien par la récompense et du mal par la punition. L’appel a duré plus de vingt minutes avant que l’agent ne raccroche.

C’était un petit pas pour moi. Même si je sentais encore la substance de la peur remplir tout mon champ, je continuais à nettoyer ces mauvaises substances avec la pensée droite. Chaque fois que la peur surgissait, je la rejetais : « Ceci n’est pas moi, je n’en veux pas. » Grâce à l’étude continue du Fa et à l’émission de la pensée droite, j’ai pu appeler les avocats pour clarifier la vérité et j’ai même eu le courage d’appeler la prison.

Lors de la campagne de signatures qui a suivi, j’ai parlé aux gens de l’arrestation de ma mère et de la persécution de millions de pratiquants de Falun Gong par le PCC durant les vingt dernières années, ainsi que des merveilles de Dafa. Mes pensées sont devenues plus claires : je ne me suis plus concentrée sur le nombre de signatures que j’obtenais, mais j’ai vraiment utilisé le cas de ma mère pour atteindre un plus grand nombre de personnes et leur faire connaître les faits. Mon cœur tendu et blessé s’est également un peu apaisé.

Le jour de la conférence de presse devant le consulat chinois, il y a eu des interférences. Trois lignes de métro sont tombées en panne à ce moment-là, et de nombreux pratiquants ont dû prendre un taxi pour s’y rendre. Je me suis rendu compte que la perversité craignait surtout d’être exposée. La conférence de presse devant le consulat a choqué la perversité dans d’autres dimensions. J’ai développé quelques pensées droites : les efforts de lutte contre la persécution à l’étranger réduisent en effet la pression exercée sur les disciples de Dafa en Chine ; clarifier la vérité et informer les gens de la nature maléfique du PCC est essentiel pour le désintégrer. En lisant mon discours, mon cœur est devenu beaucoup plus paisible et pur. Le pratiquant occidental qui a également prononcé un discours a dit que sa voix était forte ce jour-là et qu’il avait l’impression qu’elle traversait des couches de dimensions.

En repensant à mes efforts de sauvetage, j’ai d’abord eu la mentalité de recherche de résultats et j’ai agi avec l’attachement à l’émotion et avec un fort désir égoïste. Inconsciemment, j’essayais de compter sur des non-pratiquants, espérant qu’Amnesty International et les différents niveaux de gouvernement exerceraient une pression sur le PCC pour obtenir la libération de ma mère. J’avais tout faux. Je n’ai pas réfléchi à mon rôle du point de vue d’une pratiquante : ce sont les êtres qui comptent sur nous ! Ce que je devais faire, c’était utiliser la condamnation illégale de ma mère comme une opportunité de clarifier la vérité et de sauver les êtres, tout en éliminant mes attachements et en m’améliorant dans le processus.

Un mois après la condamnation illégale de ma mère, elle a été transférée dans une prison provinciale et nous sommes restés sans nouvelles d’elle pendant plus de quatre mois. Mon frère n’a cessé de passer des appels téléphoniques, d’écrire des lettres de demande de renseignements et s’est même rendu personnellement à la prison pour demander des visites, mais toutes ses demandes ont été rejetées.

Un jour, alors que j’étudiais le nouvel article « Pourquoi faut-il apporter le salut aux êtres », j’ai pensé à toutes les personnes dans le monde comme à des proches du Maître. Une idée m’est venue : je devais écrire une lettre aux gardiens de la prison où ma mère est détenue.

Lorsque j’ai commencé à écrire cette lettre, une trace de ressentiment subsistait dans mon cœur. Quatre mois s’étaient écoulés sans nouvelles de ma mère et ma famille ne pouvait pas lui rendre visite. J’avais pris un ton qui n’était ni humble ni autoritaire : d’un point de vue humain, il était très préoccupant que ma famille ne puisse pas rendre visite à ma mère âgée de près de 80 ans. D’un point de vue juridique, nous savions que le règlement de la prison permettait aux détenus de rencontrer les membres de leur famille et que leur dignité devait également être respectée et protégée par la loi.

J’ai ensuite écrit comment ma mère avait bénéficié physiquement et mentalement de la discipline du Falun Dafa, et comment notre famille admirait la nature extraordinaire de Dafa, ce qui a conduit beaucoup d’entre nous à commencer à cultiver dans Dafa. Au fil des ans, ma mère a été arrêtée à de multiples reprises, mais elle est restée ferme dans sa croyance. Elle a visité le Canada et les États-Unis. Elle a été témoin de la propagation de Dafa à l’étranger, où les gens peuvent pratiquer librement dans les parcs, et faire des défilés où la police ouvre même la voie avec des voitures de patrouille. Elle a dit qu’elle devait rapporter ce message en Chine : « Le Falun Gong est pratiqué dans le monde entier et loué par divers pays, mais il n’y a qu’en Chine qu’il est réprimé. »

En même temps, j’ai encouragé les gardiens de prison à être bons dans ma lettre. Ma lettre se terminait par cette phrase : « Une seule pensée bienveillante à l’égard de Dafa apporte les bénédictions et la paix du ciel ». Dans la vie, tout le monde fait des rencontres inattendues, et le ciel a peut-être arrangé que nous créions une bonne relation par l’intermédiaire de ma mère. J’espère sincèrement que vous pourrez traiter ma mère et les autres disciples de Dafa détenus de manière juste ! Je crois que votre gentillesse et vos bonnes actions envers ma mère et les autres disciples de Dafa recevront certainement des bénédictions du ciel. »

J’ai presque écrit cette lettre d’une seule traite. Au cours de ce processus, les traces de ressentiment dans mon cœur ont disparu et ont été remplacées par la gentillesse. J’ai pensé non seulement à ma mère, mais aussi aux autres disciples de Dafa et aux gardiens de prison. Chaque mot venait du fond de mon cœur.

Après avoir terminé la lettre, je me suis sentie rafraîchie et avec l’esprit clair. Le lendemain, sur le site de clarification de la vérité, de nombreuses personnes sont venues signer la pétition. Après que j’ai expliqué toute la situation à un touriste, il a pris la planchette de pétitions avec la photo de ma mère des mains d’un compagnon de cultivation, a appelé d’autres touristes et a dit : « Cette dame de 80 ans a été envoyée en prison pour sa pratique de l’Authenticité, la Bienveillance et la Tolérance. Le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance devrait être un critère moral pour tous les habitants de la planète. Si tout le monde s’y conformait, notre monde s’améliorerait significativement. » Il a brandi la planchette et m’a invitée à prendre une photo avec lui, en disant qu’il la publierait sur sa page Facebook pour montrer aux gens à quel point le PCC est maléfique.

Le lundi matin suivant, mon frère m’a appelée de Chine pour me dire que la prison l’avait appelé et qu’ils avaient convenu d’une date pour qu’il puisse rendre visite à ma mère en septembre. J’ai pensé que la gentillesse pouvait vraiment se transmettre. Je n’avais pas encore posté la lettre, mais parce que j’avais établi une fondation droite et fait preuve d’un peu de gentillesse, passant de l’égoïsme à l’altruisme, la situation avait changé. J’ai posté la lettre. Le lendemain, mon frère m’a rappelé pour me dire qu’il n’avait pas besoin d’attendre jusqu’en septembre, qu’il pouvait lui rendre visite ce week-end-là.

Le dimanche matin, comme d’habitude, je suis allée au parc pour faire les exercices. Je me suis dit que mon frère devait être rentré et que je devais l’appeler. Mais la peur de mauvaises nouvelles m’a fait hésiter, donc j’ai pensé l’appeler après avoir terminé les exercices. Si quelque chose était arrivé, mon frère m’appellerait. J’ai concentré mon esprit sur la pratique des exercices. Comme la pratique exigeait d’entrer dans la tranquillité, j’ai essayé de ne penser à rien. À ce moment-là, j’ai senti que le Maître m’avait débarrassée d’une grande partie de ma substance émotionnelle. En conséquence, ma méditation a été très calme et, à la fin, j’ai eu l’impression d’être entrée dans un état de tranquillité, incroyablement merveilleux. J’ai senti que mon véritable moi dans la région de mon dantian (8 cm sous le nombril) envoyait une pensée : « Pas de problème », suivie d’une autre pensée : « Lâche prise complètement ». À la fin de la musique, j’ai passé un appel et les premiers mots de mon frère ont été : « Maman va bien. »

Après plus d’un an de tests de xinxing et d’étude persistante du Fa, je suis devenue plus forte. J’ai profondément réalisé que, quelle que soit la situation, nous devons avoir une croyance inébranlable dans le Maître et le Fa. Je ne savais pas comment cultiver avant, mais maintenant quand les choses arrivent, je regarde d’abord à l’intérieur, et j’ai une nouvelle compréhension des tribulations. Je n’ai plus peur d’elles, car toutes les tribulations sont arrangées par le Maître en fonction de nos propres fondements et de notre capacité à les supporter. Elles sont toutes des tremplins posés par le Maître pour nous permettre de monter au ciel.

3. L’aide désintéressée des compagnons de cultivation

Tout au long du processus, j’ai reçu l’aide désintéressée d’innombrables compagnons de cultivation : ceux qui ont travaillé toute la nuit pour fabriquer des banderoles ; ceux qui ont brandi des pancartes dans la neige et le vent pour recueillir des signatures ; ceux qui ont passé des appels de sauvetage à la police du PCC, au Bureau 610 et aux prisons ; ceux qui ont écrit des lettres de clarification de la vérité aux prisons, ceux qui ont clarifié la vérité auprès d’Amnesty International pour demander de l’aide ; ceux qui ont écrit aux grands médias pour les inviter à assister à notre conférence de presse devant le consulat chinois ; ceux qui ont écrit aux législateurs de tous niveaux, et ceux qui ont présenté les faits aux bureaux des législateurs et soumis des formulaires de signature ; ainsi que ceux qui m’ont tenu compagnie pendant la saison de Shen Yun, me rappelant et m’encourageant à participer aux activités de promotion de Shen Yun.

En fin de compte, nous avons recueilli plus de 1000 lettres de pétition demandant la libération de ma mère et plus de 10 000 signatures de soutien. Le 10 mai 2024, à la Chambre des communes du Canada, Pierre Paul-Hus, député fédéral de la province du Québec, a présenté les pétitions au Parlement. Le 19 juin, le ministre canadien des Affaires étrangères a répondu par écrit aux pétitions.

L’expérience du sauvetage de ma mère m’a permis de mieux comprendre le texte du Maître « Pourquoi faut-il apporter le salut aux êtres ? » Les gens dans le monde sont les proches du Maître. Tous les différents formats utilisés par les pratiquants pour clarifier la vérité ont pour but d’éveiller la conscience et la bonté des gens. Les disciples de Dafa sont vraiment un seul corps, s’aidant, se rappelant et s’améliorant les uns les autres tout en se perfectionnant dans le processus d’assister le Maître pour sauver les êtres.

Merci, chers compagnons de cultivation, pour votre aide désintéressée ! Merci, Maître, pour votre salut compatissant !

(Présenté lors de la conférence de partage d’expériences 2024 du Canada)

Traduit de l’anglais