S’efforcer d’être une véritable pratiquante de Dafa

(Minghui.org)

Salutations au Maître et aux compagnons pratiquants :

Je suis une femme âgée de la campagne. J'ai appris Dafa en 1998. Juste quelques jours après que j'aie appris Dafa, mes maladies ont disparu et j'ai beaucoup apprécié le plaisir d’avoir un corps sain.

Avant 2007, nous comptions sur un pratiquant hors de la ville pour nous apporter l’information sur Dafa dans notre région. Plus tard, la perversité a détruit le centre de production de documents et a arrêté le pratiquant. Un autre pratiquant l'a remplacé et nous a fourni les documents d'une autre ville, mais avec une certaine irrégularité. Parfois j’étais très impatiente quand les documents n’arrivaient pas. Étant responsable de redistribuer le matériel, j'ai souvent souhaité pouvoir les faire moi-même.

Bientôt, avec l'aide du Maître, le pratiquant qui travaillait au centre de production de documents a été libéré. Étant techniquement intuitif, il a demandé à des pratiquants locaux si je pouvais faire les documents. Sans réfléchir j'ai dit, « L’argent n’est pas un problème. Le problème n'est pas si je le ferai, c’est si je peux le faire, » et la discussion en est restée là.

Quelques jours plus tard, le « technicien » est venu chez moi et a discuté de la question de faire les documents. J'ai accepté de le faire. Je n’y pensais pas trop alors. Mon mari n'est pas un pratiquant, mais avait toujours soutenu Dafa. Toute notre famille respecte le Maître. Quelques jours plus tard, le « technicien » a apporté tout l'équipement nécessaire, y compris un ordinateur portable et une imprimante. Il a passé toute une journée à m'enseigner mais je ne me suis rappelé de rien du tout après et je n’ai rien compris. Tout ce que je pouvais faire était de prendre des notes. De cette façon j’ai appris des choses que je ne connaissais pas et j’étais confrontée à ces choses quotidiennement. Avec l'aide du « technicien », j'ai produit le premier numéro du bulletin hebdomadaire. "Ouah! Les documents de Dafa sont donc faits de cette façon, » J’étais curieuse. Mon centre de production de documents à la maison a été fondé ainsi.

Après un moment, les ennuis se sont produits. Parce que je ne regardais pas mon xinxing à l’intérieur, l'imprimante m'a posé des problèmes. J'étais inquiète – j'avais l'impression qu'on m'avait forcée à avaler quelque chose de trop chaud. Afin de produire les documents à temps, je travaillais jour et nuit, mais j’échouais toujours. Plus je me dépêchais, plus j’avais de problèmes. J'ai souvent demandé l'aide du « technicien » mais c’était difficile de faire ainsi. J'ai fini par demander à mon fils de m'acheter une autre imprimante.

Je me sentais plus à l’aise les lundis, tandis que j'étais extrêmement tendue le vendredi. Les problèmes ont continué à se poser. Une fois, j'étais très inquiète et j'ai pensé que j'étais vraiment stupide d’avoir accepté ce travail, oubliant entièrement que j'étais une pratiquante et que j’avais une mission à accomplir. J'ai souvent pensé à abandonner mais j'ai pensé que si j’abandonnais, d'autres personnes auraient à subir les mêmes ennuis. Quelqu'un devait travailler au centre de production et je ne devais pas abandonner. J'ai donc lutté pour continuer.

La seule chose que je savais faire était de télécharger depuis le Web. Je ne connaissais pas les lettres. Pour écrire la liste de noms des personnes démissionnant du Parti communiste chinois, j’ai demandé à mon fils de m'enseigner à écrire les lettres et mettre les symboles avec les caractères chinois, ce qui me servait de référence pour les caractères avec la même prononciation. Ceci a résolu mes problèmes avec la liste de noms, mais cela prenait des heures quand la liste était longue et parfois je ne pouvais pas finir à temps. Parfois il me manquait quelques caractères et je devais tout recommencer. Pour moi, une femme âgée ayant peu de formation technique, la tâche était trop difficile. J'ai souvent pleuré. Je pleurais quand je lisais des articles sur le Web au sujet de pratiquants qui rencontraient des difficultés en faisant des documents de Dafa. Quand j'ai lu l’article « Cultiver à un site de production en Chine », j'ai beaucoup pleuré. L'article parlait de soutenir les pratiquants qui travaillaient dans des centres de production de documents. J'ai dit au Maître, « Maître, si quelqu'un pouvait me remplacer au centre de production, je l’aiderais. » Quand l'imprimante était défaillante, les pratiquants attendaient le bulletin hebdomadaire et les êtres attendaient d’être sauvés. Est-ce que je pouvais dire, « Dommage. Je n’ai pas réussi à finir à temps. » Non, je ne le pouvais pas. Ce que j'ai fait a été de continuer à demander au Maître de m'aider afin de pouvoir faire un bon travail.

Après avoir vu sur le Web que les pratiquants des centres de production devraient être indépendants, j'ai souhaité être comme le roi des singes, qui est complètement autonome. Plus tard je me suis rendue compte que j'étais meilleure que le roi des singes, parce que j'ai mon Maître. J’étais forte et ferme dès que je pensais au Maître. Dès lors j'ai demandé à mon fils de m’acheter toutes les affaires nécessaires.

Je me rappelle la première fois que j'ai fait la mise en page de la conférence du Maître, je ne savais pas par où commencer. Me rappelant un peu ce que le « technicien » m’avait enseigné, j'ai continué à essayer et continué à échouer. Je pensais que j'allais pouvoir le faire avec l’aide du Maître. Ainsi, j'ai réussi en essayant à plusieurs reprises et avec l’aide du Maître. Quelques jours plus tard, un pratiquant ayant l’expérience de la mise en page, a vu mon travail et a été étonné, disant que mon travail était meilleur que le sien.

Ceci a été mon parcours. Un jour, j'ai vu dans le bulletin hebdomadaire, « Êtes-vous mûr ? » J'ai eu la sensation que je l'étais. Au moins je ne pleurais plus, je n’étais plus déprimée et je pouvais réparer l'imprimante quand elle avait des problèmes. Chaque semaine je pouvais distribuer le matériel de Dafa aux pratiquants des villages avoisinants.

C'est gratifiant pour moi de savoir qu’en lisant l’information de Dafa que j’imprime, les gens apprennent les faits et savent que Dafa est bon. Ils peuvent donc être sauvés et avoir un bon futur. Maintenant je pense que la production de documents est un travail agréable. En produisant ces documents, j'ai éliminé plusieurs de mes attachements et j’ai appris à regarder à l’intérieur. Je suis déterminée à continuer de réaliser un bon travail en validant Dafa en produisant les documents de Dafa, travail que j'ai choisi de faire. Je veux être une vraie pratiquante de Dafa et être digne des efforts du Maître pour me sauver.

Traduit de l’anglais au Canada le 18 décembre 2008