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Persévérer pour clarifier aux Chinois de personne à personne les faits sur le Falun Dafa

27 septembre 2014 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa à Toronto, Canada

(Minghui.org) Salutations au Maître ! Mes salutations aux compagnons pratiquant !

Je voudrais partager mes expériences de clarifier la vérité aux Chinois, de personne à personne. Comme c'est ma compréhension personnelle actuelle, veuillez ne pas hésiter à souligner tout ce qui est incorrect.

Abandonner l'inquiétude et le confort

Dans « Enseignement de Fa à la Conférence de Fa de l'Ouest des États-Unis 2013 », le Maître avait souligné l'importance de clarifier la vérité aux touristes de Chine continentale. Ainsi, après mon retour de la conférence de Fa, je suis allée plusieurs fois sur des sites touristiques, mais malheureusement je n'ai pas continué.

Quand le Maître a rappelé l'importance des sites touristiques au cours de la conférence de Fa de New York en mai, cela m'avait profondément touchée ; je voulais aller clarifier la vérité il y a un an, mais je n'ai pas persévéré.

Je me suis demandé : les autres pratiquants travaillent sur les sites touristiques tous les jours, qu'il fasse beau temps ou mauvais temps. Qu'est-ce qui me retenait ? À la gauche de l'immeuble où je travaille se trouve la place de l'Hôtel de ville, alors que sur la droite se trouve le célèbre Centre Eaton ; pour des compagnons de pratique, ce serait un emplacement exceptionnel pour clarifier la vérité.

J'avais perdu presque un an ici à penser à cela ! En regardant en arrière, j'ai constaté qu'il y avait beaucoup de moments où j'avais pensé aller parler aux gens du Falun Dafa pendant la pause du midi, seulement pour être retardée par mon travail ou un collègue me demandant soudain d'aider au bureau. Quand j'ai finalement réussi à regarder toutes ces interférences passées, à l'intérieur de moi, j'ai découvert que c'était mes attachements à l'inquiétude et au confort qui étaient les causes du problème.

Si je vais à l'Hôtel de ville pendant mon heure de déjeuner, je suis susceptible de rencontrer des collègues du même immeuble. La plupart d'entre eux sont des avocats ou des juges avec lesquels j'ai de bonnes relations et j'avais aussi clarifié la vérité à beaucoup d'entre eux.

Mais que faire si des touristes chinois réagissent négativement à mon égard, quand j'essaie de leur parler du Falun Dafa ? Et si mes collègues me voyaient ? J'avais peur que mes collègues qui me verraient ne me comprennent pas et détruisent la bonne image que j'avais actuellement avec eux. Mais en creusant mes attachements à l'inquiétude, la peur et la réputation, j'ai été choquée de constater que pendant tout ce temps, je n'avais pas considéré le salut des êtres comme une priorité.

J'avais aussi l'attachement à la recherche du confort. Depuis un certain temps, chaque fois que je rencontre des Chinois au travail, la plupart d'entre eux me respectent et veulent entendre la vérité. Ils sont prêts à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) dès que je leur parle des faits sur le Falun Dafa et de la persécution.

Il en est résulté que je m'y suis habitué et me suis complu dans le confort de la manière relativement développée avec laquelle j'aidais les gens à comprendre Dafa. Mais c'était en fait l'attachement à rechercher le confort.

Après avoir identifié tous ces attachements, je me suis sentie légère. Quand j'ai changé mes notions et purifié mes pensées, je n'ai plus rencontré de touristes chinois avec de mauvaises attitudes sur ce site touristique. Et quand à l'inquiétude que mes collègues puissent mal me comprendre, c'était tout simplement une notion humaine qui m'avait retenue.

Persévérant pour aller clarifier la vérité sur les sites touristiques n'était plus aussi difficile après avoir abandonné mes notions et éliminé mes attachements et je pouvais vivre les arrangements bienveillants du Maître.

Un jour, sur l'heure du midi, j'ai rencontré un Chinois, qui était assis sur un banc. J'ai appris qu'il venait juste d'arriver de Chine à Toronto pour assister à une conférence dans un hôtel voisin. Nous avons commencé à avoir une conversation amicale.

Je lui ai parlé que ma compréhension d'aimer la Chine, c'est d'aimer le peuple chinois – par exemple, quand des clients chinois viennent à la Cour, je fais de mon mieux pour les aider. Je lui ai dit qu'aimer la Chine ne signifie pas aimer le PCC totalitaire.

Il était d'accord avec ce que je disais et il a accepté de démissionner de toutes les organisations du PCC. J'ai continué à lui clarifier la vérité au sujet de la mise en scène des auto-immolations, qu'il a écouté attentivement en hochant la tête avec compréhension. Je lui ai dit : « Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », ce qu'il a accepté sur le champ.

Enfin, je lui ai demandé s'il avait lu le livre des Neuf commentaires sur le Parti communiste. Il m'a répondu que non, mais qu'il avait essayé d'en avoir une copie. Je lui ai dit que j'irais à mon bureau lui en chercher un exemplaire. Il a attendu jusqu'à ce que je lui apporte le livre et il m'a dit qu'il allait certainement le lire attentivement.

Un jour, dans un centre commercial, j'ai vu un couple chinois âgé qui regardait ici et là. Je me suis approchée d'eux et je leur ai demandé s'il y avait quelque chose que je pouvais faire pour eux. Ils ont dit qu'ils étaient venus de Tianjin pour rendre visite à leur fils et que, pendant leur temps libre, ils venaient dans ce centre commercial.

Quand ils ont appris que je travaillais à proximité dans un tribunal, ils ont demandé s'ils pouvaient venir avec moi visiter la Cour, car ils n'avaient rien d'autre à faire. Nous y sommes donc allés ensemble.

Ils ont accepté de démissionner des organisations du PCC quand ils ont appris les faits sur la persécution en Chine. Nous avons ensuite assisté à un procès ensemble. Quand nous sommes sortis de la salle d'audience, le mari m'a demandé : « Est-ce que les dieux vous ont dit de nous trouver ? » J'ai pensé qu'ils croyaient aux divinités, je leur ai donc demandé : « Vous croyez donc aux dieux ? »

Il a répondu : « Non, nous ne croyons pas aux dieux et nous n'allons pas à l'église, mais la façon dont nous nous sommes rencontrés semble presque magique. Quelles chances avions-nous de trouver quelqu'un d'aussi gentil ? Nous avons même eu droit à une visite gratuite du palais de justice ! »

J'ai dit : « Je crois dans les relations prédestinées, alors cela pouvait aussi bien être que nous étions prédestinés à nous rencontrer. » Je leur ai demandé de se rappeler les neuf mots et l'épouse les a répétés avec insistance plusieurs fois : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! »

Mon lieu de travail est un bâtiment historique âgé de plus de cent ans. Après avoir compris l'importance de clarifier la vérité aux touristes chinois, j'ai commencé à accorder plus d'attention aux personnes à l'intérieur de l'édifice et j'ai eu l'occasion d'aider les gens et les touristes chinois à comprendre le Falun Dafa et la persécution, sans avoir à sortir de mon immeuble.

Un jour, j'ai rencontré quatre Chinois dans le couloir. L'un d'eux portait un gros appareil photo. Je suis allée vers lui et j'ai commencé une conversation. Il m'a dit qu'il était un résident local et que ses compagnons étaient ses parents qui venaient d'arriver de Mongolie intérieur pour les vacances d'été.

Quand j'ai parlé de l'importance de démissionner du PCC, il m'a dit que quand il était allé à Ottawa, un pratiquant de Falun Dafa, là, l'avait déjà aidé à démissionner du PCC.

J'ai continué en disant : « Vous avez pris une très bonne décision de démissionner, mais qu'en est-il de vos proches ? Ils sont venus de Chine continentale pour visiter, c'est donc une occasion très précieuse pour eux de prendre leur propre décision. » En conséquence, ses trois parents ont clairement déclaré qu'ils voulaient eux aussi démissionner des organisations communistes.

Le résident local m'a dit qu'il était informé de la vérité derrière la mise en scène des auto-immolations et qu'il pourrait certainement en dire plus à sa famille et ses amis sur ce qui s'est réellement passé.

Je crois que ce genre d'expérience est censé me rappeler l'importance d'aider les gens et les Chinois locaux à comprendre la vérité. Après tout, ils peuvent aussi jouer un rôle important pour faire connaître l'information auprès des touristes chinois.

La puissance de la vérité

Chaque fin de semaine, je vais aussi à l'aéroport pour rencontrer des touristes chinois. Généralement, quelques secondes après notre arrivée, nous pouvons trouver un point de départ pour engager des conversations amicales avec eux. Parfois, nous aidons les touristes à trouver leur chemin, parfois, nous les aidons à pousser leurs chariots à bagages, mais nous les aidons sincèrement d'une façon naturelle. Il en résulte que de nombreux Chinois acceptent de démissionner du PCC et nous remercient du fond de leur cœur. Certains d'entre eux, après avoir pris la décision, transmettent aussi les faits aux membres de leur famille.

Un jour, j'ai vu une mère et sa fille suivies par le reste de leur famille. J'étais justement en train de me demander comment les approcher quand j'ai eu une occasion de parler à la fille toute seule. Elle a dit que sa mère repartait à Pékin après leur avoir rendu visite et qu'elle était là pour lui dire au revoir.

La fille a accepté de démissionner du PCC après que je l'ai aidée à comprendre la vérité. Puisque sa mère retournait en Chine, j'ai essayé plusieurs fois de lui parler, mais elle était toujours entourée d'autres membres de sa famille. Il était difficile de commencer une conversation comme ça, alors j'ai attendu.

Bientôt, la fille s'est levée pour aider sa mère à passer le contrôle de la sécurité. J'ai commencé à échanger avec elles et j'ai découvert que sa mère était membre du PCC. Je lui ai demandé de démissionner du PCC et je lui ai dit que j'avais préparé un alias pour elle. Sa réponse a été simple. « Bien sûr ! » m'a-t-elle dit.

Les autres membres de la famille ne cessaient de demander à sa fille qui j'étais, ce à quoi a répondu la fille en leur demandant de rester tranquilles pour ne pas interrompre notre conversation. J'ai dit à la mère que réciter les phrases « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et « Falun Dafa est bon » lui serait bénéfique plus tard.

Elle a donné une autre réponse directe : « C'est sûr. » Tout cela s'est passé en moins d'une minute avant qu'elle ne franchisse la barrière de sécurité. Après avoir traversé, elle s'est retournée et m'a fait signe de la main : « Merci ! Bye Bye ! »

Élever le xinxing

En clarifiant la vérité aux Chinois, je suis tombée sur des gens qui étaient prêts à démissionner alors que d'autres ne l'étaient pas. Ceux qui ne voulaient pas démissionner me maudissaient souvent ou bien me lançaient des regards haineux.

Je crois que cette expérience est très similaire à « se promener sans but » dans la cultivation et pratique – quelque soit la situation que je rencontre, je me demande de faire attention à l'élévation de mon xinxing et rien d'autre.

Quand ils acceptent de démissionner, je suis très lucide : « cela a été réalisé en raison de la bienveillance du Maître et de la vertu majestueuse de Dafa. » Quand je tombe sur des gens qui ne m'ont pas indiqué explicitement leur désir de démissionner, je leur explique toujours clairement que démissionner du PCC est une décision très importante ; ce n'est pas juste pour faire du chiffre.

Les plus de 170 millions de Chinois qui ont pris la décision de démissionner du PCC l'ont fait volontairement. Si les gens n'ont pas pris une décision claire de démissionner, je ne peux pas les aider pour l'instant. Ils peuvent attendre jusqu'à ce qu'ils se décident. Puis, s'ils le veulent, ils peuvent aller sur le site Epoch Times pour démissionner par eux-mêmes.

Quelle que soit la façon dont les gens répondent, je garde un cœur paisible et un état d'esprit bienveillant et paisible. Un jour, un compagnon de pratique m'a demandé de parler à un Chinois qui avait l'air assez menaçant. Je n'y ai pas pensé davantage et je me suis dirigée vers lui. Je me suis assise à côté de lui et j'ai hoché la tête d'une manière amicale et je lui ai demandé s'il avait entendu parler des démissions du PCC pour un avenir meilleur.

Il est resté silencieux. J'ai continué en lui expliquant pourquoi démissionner du PCC était important. Alors que j'étais en train de parler, il a soudain levé le poing vers moi et a crié que si je continuais, il appellerait la police.

Habituellement, quand je fais face à ce genre de situation, je réponds en disant que nous sommes au Canada où les pratiquants de Falun Dafa sont protégés par la police et que ce n'est pas la Chine continentale. C'était plutôt une réponse de confrontation.

Mais ce jour-là, mon cœur est resté impassible. J'ai compris très clairement que les éléments de spectre pervers et vicieux dans d'autres dimensions avaient eu peur de mes paroles et c'est pourquoi il réagissait comme ça.

Inébranlée par sa mauvaise attitude, je lui ai parlé avec bienveillance : « Si vous ne voulez pas parler de ce sujet, nous pouvons arrêter tout simplement. Vous n'avez pas besoin de tant vous énerver. Ce n'est pas bon pour vous. »

Après avoir terminé ces mots, je ne suis pas partie. Au lieu de cela, je me suis assise là tranquillement et j'ai émis la pensée droite. J'étais inquiète pour son avenir et j'ai supplié le Maître de lui donner une autre chance. Je sentais mon corps et mon esprit entièrement enveloppés d'une puissante énergie.

Bien qu'il n'ait finalement pas démissionné, cette expérience m'a rappelé à quel point :

« La lumière de Bouddha illumine tout, bienséance et loyauté rayonnent harmonieusement. (Zhuan Falun)

Saisir chaque chance pour clarifier la vérité

L'expérience ci-dessus m'a fait chérir chaque personne chinoise que je rencontre. Je me suis demandé : « Pourquoi dois-je me limiter aux sites touristiques ? Pourquoi n'en ferais-je pas davantage ? Pourquoi ne chérirais-je pas l'occasion de clarifier la vérité ? Pourquoi ne chérirais-je pas chaque minute et chaque seconde pour parler pas aux gens chaque fois que je le peux ? »

Quand j'ai le sentiment d'urgence d'éveiller les êtres dans mon esprit, notre Maître bienveillant me donne des occasions. Que ce soit chez le coiffeur, à la boulangerie, un restaurant, chez moi, ou dans la communauté, je croise toujours des Chinois.

Un jour, dans une épicerie chinoise, un homme qui venait tout juste d'arriver de Chine pour rendre visite à son fils est venu vers moi et m'a demandé : « Quelle sorte de concombre pensez-vous a le meilleur goût ? » Ou un autre jour, j'ai vu un bambin marcher vers moi, j'ai tendu la main pour l'empêcher de tomber. Naturellement j'ai fini par parler à sa grand-mère derrière lui, qui m'a dit qu'elle était arrivée de Chine il y avait seulement quelques jours.

Tant que j'avais une façon très naturelle de démarrer une conversation, je réussissais toujours à persuader les gens à démissionner le PCC. En attendant le train, en traversant la rue, en répondant à un concessionnaire automobile au téléphone – toutes ces occasions peuvent être transformées en façons naturelles d'aider les gens à comprendre la vérité.

Même un regard accidentel vers un étranger peut parfois devenir une excellente occasion de parler aux gens d'une manière élevée et droite. C'est comparable à la façon dont faire les exercices chaque matin, émettre la pensée droite et étudier la Loi est devenue une partie indispensable de ma vie, clarifier la vérité aux Chinois est devenu une seconde nature pour moi.

Sauver les gens pendant les vacances en famille

Plusieurs fois, mon mari a suggéré que nous prenions des vacances en famille. Je ne disais rien, mais dans mon cœur, je savais que je ne voulais pas y aller. Parfois, je me plaignais dans mon esprit : « Le temps de sauver les êtres est devenu si rare tous les jours, je souhaite pouvoir diviser une minute en deux. Où puis-je trouver du temps pour des vacances ? »

J'ai artificiellement créé un conflit inutile entre atteindre les êtres et ma vie de famille. Mes notions humaines et mon faible xinxing à ne pas considérer les besoins de ma famille ont affecté ma clarification de la vérité sur les sites touristiques pendant ce temps-là et j'ai rencontré plus de difficultés.

Grâce à l'arrangement bienveillant du Maître, il y a quelques semaines, toute ma famille et moi sommes allés en vacances deux jours, ce qui a rendu mes deux enfants et mon mari très heureux. Jusque-là, je n'avais pas compris que ma famille ne m'avait pas demandé beaucoup jusqu'à présent. Et si j'y mettais mon cœur, c'était relativement facile de répondre à leurs besoins.

Mais pourquoi n'avais-je pas bien géré cela avant ? En tant que pratiquants, nous ne sommes pas attachés à l'harmonie familiale, mais cela ne signifie pas que nos familles doivent être en disharmonie. En tant que pratiquants, nous ne sommes pas attachés à ce que les membres de la famille soient heureux, mais cela ne signifie pas que nos enfants et notre famille doivent être malheureux.

N'est-ce pas valider Dafa en soi, si notre famille est harmonieuse et nos enfants et notre mari sont heureux ? J'avais honte de moi, car il m'avait fallu si longtemps pour comprendre un principe aussi simple ! Lorsque nous suivons les enseignements du Fa en plaçant toujours les autres d'abord et que nous apprenons à prendre du recul et à nous accorder durant les conflits, nous découvrirons que

« un pas en arrière et la mer est vaste et le ciel immense » (Zhuan Falun)

Pendant les vacances, le Maître m'a amené des Chinois prédestinés d'un manière si naturelle qu'il me semblait qu'ils étaient là en train de m'attendre. Pour démissionner du PCC, cela venait comme un choix clair de leurs propres cœurs, une fois qu'ils avaient appris la vérité.

Les vacances m'ont aussi donné l'occasion de réfléchir du point de vue d'un touriste quand un étranger l'approche. Quel sorte d'approche serait la meilleure pour eux, pour les amener à vouloir parler ?

Je crois que la réponse ultime est très facile : il suffit de se conformer au côté bon, aimable et sincère de la société. Si nous faisons de bonnes choses pour la forme afin d'obtenir une chance de clarifier la vérité, cette recherche est également un attachement. Si nous pouvons laisser aller cet attachement, et réfléchir à la façon dont un être éveillé et plus élevé qui s'est assimilé à Dafa mettrait les autres d'abord, la sagesse du Fa nous aidera dans ce monde humain.

Un jour, il a commencé à pleuvoir sur un site touristique. J'ai vu un Chinois âgé debout à côté de moi. Il n'avait pas de parapluie, donc je lui ai partagé le mien. Il m'a remerciée et nous avons commencé à parler. Il était membre du PCC depuis longtemps et il était venu ici visiter le Canada. Après l'avoir aidé à comprendre la vérité, c'est tout naturellement qu'il a accepté de démissionner du PCC.

Si, par un coup de chance, ce partage est choisi pour être lu à la conférence de Fa, ce n'est en aucun cas parce que je fais quelque chose de mieux que les autres pratiquants. C'est la bienveillance du Maître qui me rappelle mon vœu sacré et de ne pas me relâcher dans un proche avenir.

Merci Maître ! Merci compagnon de pratique !

(Partagé à la Conférence de Cultivation du Falun Dafa du Canada de 2014 à Toronto le 23 août)

Traduit de l'anglais au Canada