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Vaincre la peur dans un contexte de pandémie — une infirmière tire sa force de la pratique du Falun Dafa

17 février 2021 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Suisse

(Minghui.org) À l’occasion du Nouvel An chinois, Denise, qui pratique le Falun Gong (aussi appelé Falun Dafa) en Suisse, a exprimé sa gratitude envers Maître Li Hongzhi. Reconnaissante d’avoir quelque chose en quoi croire et le courage d’aller de l’avant en ces temps incertains, Denise a soupiré et dit : « Si je ne pratiquais pas le Falun Gong, ma vie serait bien misérable. Ballotée, en but à toutes sortes d’émotions, je ne serais peut-être plus en vie aujourd’hui. La science moderne a également prouvé que sous le contrôle des émotions le système immunitaire de l’être humain s’affaiblit. »


Denise est infirmière et prend soin de patients avec des besoins spécifiques : « Lorsqu’on m’a notifié de prendre soin d’un homme âgé atteint du virus du PCC (coronavirus), je n’ai pas été effrayée », a-t-elle partagé. « Tous les membres du personnel de l’établissement ont dû subir un test de dépistage du virus, mais j’allais bien. J’ai dit à mon responsable que j’étais à même de prendre soin des personnes infectées par le virus. »

Denise pratique le cinquième exercice du Falun Dafa, la méditation.

Éliminer la peur et faire passer les autres avant soi-même

Denise a commencé à pratiquer le Falun Dafa en 2010. Elle se rappelle comment elle a fait face au virus du PCC l’automne dernier avec une attitude calme et positive. Lorsqu’en mars 2020, le virus a ravagé la Suisse, elle a envié ceux qui pouvaient travailler depuis chez eux. Non seulement Denise devait aller travailler, mais elle était également confrontée au risque élevé d’être infectée. Elle devait aider les personnes âgées souffrant d’amnésie et qui étaient jugées incapables de porter des masques et ne disposaient donc pas de mesures de protection adéquates. Denise avait peur d’être infectée. Pour aggraver les choses, elle a commencé à tousser.

Après avoir pratiqué le Falun Dafa pendant dix ans, Denise avait appris à affronter calmement ses peurs. Elle a considéré cela comme une opportunité de s’élever et de s’améliorer.

Elle était déterminée à ne pas laisser la peur prendre le contrôle. Elle voulait trouver la cause profonde de ses peurs et les vaincre. Denise était très intéressée par la culture chinoise et elle lisait beaucoup d’histoires chinoises traditionnelles dans lesquelles des personnes de cœur prenaient soin des malades lors des épidémies, sans être du tout affectées par la maladie. Elle a commencé à voir les choses d’un autre point de vue. « La culture traditionnelle chinoise nous dit que le bien sera récompensé tandis que le mal sera puni. Le Falun Dafa m’enseigne à me conformer au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et à être une meilleure personne. Si je fais face à des épreuves, ce sera peut-être l’occasion pour moi de chercher mes propres insuffisances et de me corriger. Le plus important, c’est que je sois capable de prendre conscience de mes lacunes et d’en trouver la cause », a-t-elle pensé.

En s’examinant intérieurement, elle a réalisé qu’elle avait peur parce qu’elle voulait vivre une bonne vie. Elle voulait que sa jeune fille, son mari et sa famille vivent bien. Elle a alors compris qu’il fallait d’abord penser aux autres et que les gens avaient besoin de son aide. Elle devait être altruiste. Denise a commencé à faire passer les besoins des autres avant les siens.

Maintenir une distanciation sociale pourrait réduire le risque qu’ils soient infectés, mais Denise a pris conscience que ces personnes âgées n’avaient aucun moyen de communiquer. Les câlins et le contact physique étaient le seul moyen pour eux de communiquer. Denise a continué à les prendre dans ses bras : « Ils sont très seuls. Je les considère comme mes parents et comme mes aînés. Je dois les respecter et prendre soin d’eux. »

Se conformer au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance au travail

Denise a également observé attentivement l’état physique de ses patients et c’est sa découverte opportune qui a permis au poste de soins infirmiers d’identifier un homme âgé porteur du virus. Il est malheureusement décédé deux jours plus tard, mais Denise a été testée négative. Les médecins l’ont remerciée d’avoir permis au centre de soins de mener une enquête approfondie et d’empêcher le virus de se propager.

Du fait de la circulation du virus, le lieu de travail de Denise était souvent à court de personnel. Ses collègues avaient peur, étaient fatigués et surchargés de travail. Denise s’est alors portée volontaire pour assurer des plages de 10 heures par jour — de 7 h du matin à 5 h du soir, et permettre à ses collègues de prendre le repos nécessaire. Son responsable lui a rappelé de se reposer elle aussi. Denise a dit qu’elle récitait : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » ou chantait des chansons de Dafa, lorsqu’elle se sentait fatiguée.

« Un bon état d’esprit est la clé pour rester en paix », a-t-elle dit. « Lorsque je traite les choses calmement, je peux voir les situations sous un angle différent. J’essaie d’être positive et de ne pas être affectée par mes propres émotions ou mon environnement. Je considère chaque défi comme une chance de m’élever. De cette façon je peux voir comment je me comporte pendant les tribulations et si je suis capable de me conformer à Authenticité-Bienveillance-Tolérance. »

Le Falun Dafa me donne chaque jour la confiance et l’espoir

« S’il n’y avait pas eu le Falun Dafa », a dit Denise, « j’aurais sombré dans le désespoir. En ces temps incertains, je suis pleine d’espoir. » Son responsable sollicitait spécifiquement Denise et a dit que sa gentillesse et son énergie positive aidaient tout le monde.

À travers leurs interactions avec elle, collègues, amis et membres de famille ont réalisé comment le communisme infiltre le monde et sème la destruction. Denise espère que dans le contexte de la pandémie, les gens entreverront l’espoir offert par le Falun Dafa.

Traduit de l’anglais