(Minghui.org) Pendant l’effort de sauvetage des pratiquants de Falun Dafa illégalement détenus, ma responsabilité était de communiquer avec les familles de ceux qui ont été emmenés. J’ai marché régulièrement sur mon chemin de cultivation sous la direction et la protection de Maître Li Hongzhi (le fondateur de Dafa).

Communiquer avec les membres de la famille des pratiquants emprisonnés demande de la sincérité, de la gentillesse et de la persévérance. Lorsque j’ai été confronté à des cas de réprimande et d’expulsion forcée de chez eux, je n’ai pas été découragé. Je suis resté calme et j’ai essayé de les aider. Le processus n’a pas été facile, mais à la fin, les membres de la famille ont accepté Dafa et ont compris combien il était important d’exposer les malfaiteurs.

Afin de sauver la pratiquante Ailan il y a quelques années, je suis allé chez son parent. Son beau-frère a dit que je les dérangeais. Plusieurs autres groupes de pratiquants avaient essayé auparavant et n’avaient pas réussi à obtenir le soutien de la famille. Quand je suis arrivé, le beau-frère était en colère et a essayé de me chasser en disant qu’il allait appeler la police.

Je lui ai dit gentiment : « Je suis ici pour vous aider à trouver un avocat pour Ailan. Nous devons travailler ensemble et avoir des pensées droites pour sauver votre sœur. » Avant que je puisse finir, il a versé une bassine d’eau sur moi. J’ai continué à dire calmement : « Mon Maître nous dit de ne pas répliquer quand on est attaqué, ou de ne pas répondre quand on est insulté. Je ne vous blâme pas pour ce que vous venez de me faire. Je veux seulement vous aider. » Apparemment embarrassé, il m’a invité à entrer.

Il m’a donné une serviette pour me sécher et un tabouret pour m’asseoir. J’ai dit : « Les membres de la famille doivent dire la vérité aux services gouvernementaux concernés. Votre sœur est une personne gentille, mais maintenant elle est emprisonnée. Vous devez prendre soin de votre mère de 90 ans qui est inquiète et malade. Les difficultés inattendues auxquelles vous faites face sont causées par la police qui persécute une bonne personne. Ce sont eux qui font de mauvaises choses. Nous devons défendre les droits de votre sœur. »

Plus tard, la famille est venue avec nous dans les départements concernés pour demander la libération de la sœur. Ils ont également engagé un avocat. Le jour du procès, ils sont allés au tribunal et ont vu comment le Parti communiste chinois (PCC) fabrique des preuves pour poursuivre de bonnes personnes.

Lorsque nous avons essayé d’aider à secourir la pratiquante Baozhen, sa fille a eu peur dès le début, car la police l’avait menacée : « Les actions de ta mère affecteront l’emploi de ton fils… »

D’autres pratiquants lui ont parlé à plusieurs reprises, en disant : « Votre mère a aidé à élever votre enfant, a préparé des repas et a fait le ménage pour vous. Elle traverse maintenant une épreuve. Si vous n’aidez pas à la sauver, comment lui ferez-vous face quand elle rentrera à la maison ? »

Ce que la fille a fait ensuite était très juste. Elle est allée voir le procureur qui était responsable de l’affaire et a dit : « Ma mère est une personne formidable et je suis fière d’elle. Elle vient d’une zone rurale et n’a pas d’argent pour un traitement médical. Si elle ne pratique pas le Falun Dafa et que sa santé se détériore, que pouvez-vous garantir ? »

Avec la bénédiction du Maître, ainsi que la coopération des pratiquants et des membres de sa famille, Baozhen a pu rentrer chez elle. Depuis, elle marche sur le chemin du salut des êtres et clarifie la vérité aux gens tous les jours.

Le mari de la pratiquante Ding était un chauffeur de taxi qui avait un tempérament colérique. Les premières fois que nous nous sommes rencontrés, il nous a forcés à partir, a proféré des injures à l’endroit de sa femme pour avoir abandonné la famille et a dit qu’il voulait divorcer.

Le beau-père de Ding avait plus de 90 ans et elle s’est occupée de lui. J’ai apporté des fruits pour le vieil homme et j’ai dit au mari de Ding : « Vous êtes contrarié parce que Ding n’est pas là, et le fardeau de la famille retombe sur vous. Vous devez prendre soin de votre père et conduire un taxi pour gagner de l’argent pour les études universitaires de votre fille. Si Ding était là pour vous aider à prendre soin de votre père et à cuisiner pour vous, seriez-vous si en colère et fatigué ? Chaque fois que nous sommes venus, nous avons entendu votre père appeler le nom de votre femme, parce qu’elle prend bien soin de lui. Mais vous êtes son fils, alors pourquoi ne vous a-t-il pas appelé ? »

Le personnel du Bureau 610 et de la Commission des affaires politiques et juridiques (CAPL) a appelé le mari de Ding et a dit que s’il fournissait les coordonnées de deux autres pratiquants, ils laisseraient sa femme rentrer chez elle.

Il a répondu : « Vous avez apporté le désastre à notre famille. Je ne peux pas faire ce genre de choses et rendre d’autres familles aussi misérables que la nôtre. Je ne le ferai pas, oubliez ça ! »

Le mari de Ding a coopéré avec nous pendant l’effort de sauvetage. Et après avoir entendu la défense de sa femme devant le tribunal, il a compris la vraie nature du PCC.

La sœur aînée de la pratiquante Ying était une fonctionnaire de niveau intermédiaire qui croyait aux mensonges du PCC sur le Falun Dafa. En la contactant à plusieurs reprises, j’ai partagé avec elle la beauté de Dafa et j’ai dit : « Votre sœur est quelqu’un avec de bonnes capacités de raisonnement et une éducation de haut niveau. Choisirait-elle un chemin de vie sans y penser profondément ? »

La sœur de Ying a bien travaillé avec nous pendant l’effort de sauvetage et est devenue plus tard une bonne amie. La lettre qu’elle a écrite aux ministères concernés était très touchante. Elle disait : « Avant que ma sœur ne pratique le Falun Dafa, elle avait un fort sentiment d’infériorité. Elle était impatiente, paranoïaque, aimait aller à l’extrême et méprisait la vie. Depuis qu’elle a appris le Falun Dafa, elle est devenue une personne gentille, serviable, tolérante et belle. Elle prend soin de sa mère et ne veut que le meilleur pour son enfant. Comment une si bonne personne peut-elle être une criminelle ? Ce qui est encore plus déroutant, c’est que les forces de l’ordre ont agi violemment devant son enfant. Qu’arrive-t-il à notre société et à ce gouvernement ? »

Dans le processus de sauvetage des pratiquants emprisonnés, les membres des familles que nous avons rencontrés étaient destinés à ce que nous leur clarifions la vérité. Non seulement nous avons secouru les pratiquants, mais nous avons également profité de l’occasion pour essayer de sauver les personnes travaillant dans les départements de police, les institutions gouvernementales et les tribunaux.

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Traduit de l’anglais