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Une jeune pratiquante : Cultiver et être purifiée dans le Fa

21 janvier 2023 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Je suis une jeune pratiquante qui est si chanceuse d’avoir grandi dans un environnement de cultivation. Je n’avais pas une grande compréhension du Fa du Maître quand j’étais enfant. En grandissant et en entrant dans la société, j’ai réalisé que le Fa du Maître répondait aux questions que je me posais sur le monde.

Grandir sous la grâce du Bouddha

Mes parents ont obtenu le Fa lorsque j’avais 5 mois. Ils m’emmenaient lorsqu’ils participaient aux exercices collectifs du Falun Dafa dans le parc local, avant le début de la persécution. Il faisait très froid les matins d’hiver, alors ma mère me mettait des vêtements épais. Je jouais pendant que les pratiquants faisaient les exercices.

Si je me souviens bien, j’avais souvent de la fièvre quand j’étais enfant, mais on ne m’a jamais donné de médicaments ni d’injections. Mes parents me lisaient plutôt le Fa. Souvent, je guérissais de la fièvre dès le lendemain matin, même si la fièvre était élevée la veille ; et je n’ai jamais manqué un jour d’école.

À l’école primaire, je pratiquais les exercices pendant une demi-heure avant de faire mes devoirs. Pendant les vacances scolaires, je ne participais pas aux cours de soutien comme les autres enfants, mais mes résultats scolaires étaient bons. Je savais que le Fa m’apportait la sagesse. Mes parents disaient toujours que j’étais venue pour le Fa, que j’étais descendue dans ce monde pour obtenir le Fa et que je suivrais le Maître jusqu’à ma maison d’origine.

Étudier le Fa de manière passive pendant ma rébellion adolescente

Les devoirs scolaires ont beaucoup augmenté après mon entrée au collège. Pressée par mes parents, j’ai essayé de trouver du temps pour étudier le Fa et faire les exercices. Mais je le faisais passivement, pas parce que je le voulais. Cependant, Dafa m’a quand même montré des miracles. Je suis entrée dans un lycée très respecté, même si je n’avais pas de cours particuliers après l’école.

J’ai commencé ma rébellion adolescente après être entrée au lycée. Je ne me suis pas améliorée en cultivation, mais ma capacité à me disputer avec mon père a augmenté rapidement. Je me suis souvent disputée avec lui pendant ma dernière année de lycée en raison de mes résultats scolaires. Il était très en colère et déçu de moi.

J’avais une forte personnalité et j’étais très attachée à obtenir de bons résultats. Mais comme je ne savais pas comment regarder à l’intérieur et que je n’étais pas concentrée sur l’étude du Fa, j’ai échoué à tous mes examens de mathématiques pendant un certain temps.

Heureusement, ma mère s’interposait entre mon père et moi. Elle m’a fait remarquer mes problèmes, comme le fait de ne pas respecter mon père, d’être égoïste et d’avoir l’esprit de compétition, de ne vouloir entendre que des mots gentils et d’être malheureuse si on me critiquait. J’ai accepté de me changer, mais je n’ai pas beaucoup changé.

Jusqu’aux dernières vacances d’hiver avant les examens d’entrée à l’université, mon père s’est assis près de moi et m’a aidée pendant que je faisais mes devoirs. Je passais aussi du temps avec ma mère à étudier le Fa et à faire les exercices. Petit à petit, je me suis rectifiée dans le Fa. Mes résultats scolaires se sont améliorés. Finalement, j’ai passé l’examen de mathématiques et j’ai même obtenu des notes élevées.

Regarder à l’intérieur en entrant dans la société

À l’université, c’était la première fois que je vivais avec d’autres personnes. J’ai personnellement fait l’expérience de la vie dite « branchée ». Les jeunes étaient en concurrence les uns avec les autres dans tous les aspects de la vie quotidienne, notamment en ce qui concerne la nourriture et les vêtements. J’ai également fait l’expérience de la distance insurmontable entre les gens.

Au début, j’appelais ma mère et je me plaignais de tout ce qui ne me convenait pas. Peu à peu, j’ai découvert que ces choses et le déclin de la moralité sociale correspondaient exactement à ce que le Maître nous avait dit dans le Fa. Lorsque j’ai rencontré à nouveau des conflits, je me suis rappelé que je suis une pratiquante de Dafa. Que doit faire un pratiquant ? Se disputer avec l’autre personne ? Ou ne plus leur rendre visite ? Ce n’est pas ainsi qu’un pratiquant doit se comporter. Le Maître a dit que les pratiquants devaient regarder à l’intérieur et trouver leurs propres problèmes, car tout arrive pour une raison. Puisque je rencontrais ces problèmes, il devait y avoir des attachements que je devais laisser aller.

Un jour, je n’ai pas dit à ma colocataire que j’avais choisi un cours en ligne. Lorsqu’elle l’a découvert, le cours était complet. Elle était très en colère et avait l’impression que je l’avais abandonnée. Elle ne m’a pas parlé pendant deux jours.

Au début, je pensais que je n’avais rien fait de mal, car j’étais libre de choisir n’importe quel cours. Ce n’était pas grave que nous ne soyons pas toutes les deux dans la même classe. Je n’aurais pas été aussi en colère contre elle si je n’avais pas pu choisir le cours et que j’avais dû en prendre un autre. Plus tard, j’ai compris qu’elle avait essayé de faire partie de notre groupe de dortoir en suivant le même cours que nous. Elle était venue vivre dans notre dortoir plus tard que nous et n’était pas dans le même groupe de classe que nous. Je n’avais pas tenu compte de ses sentiments et lui avais imposé ma manière de penser. J’ai eu tort.

Nous en avons parlé et je lui ai avoué avoir eu un comportement inapproprié. J’ai même renoncé à ma position dans le cours pour elle. Elle a été surprise par la façon dont j’ai cherché mes propres fautes dans cette situation. Lorsque je lui ai fait part de mes réflexions, nous sommes devenues plus proches qu’avant.

Le Maître a publié son nouvel article « Lunyu » alors que j’étais en deuxième année à l’université. Je me trouvais par hasard à la maison. J’ai mémorisé les deux premiers paragraphes, puis je suis retournée à l’université. J’ai récité ces deux premiers paragraphes avant de m’endormir chaque soir pendant un certain temps. Mon père m’a donné un lecteur MP3 dans lequel les conférences du Maître à Jinan et à Guangzhou ont été téléchargées et il m’a demandé de les écouter. Grâce au Fa du Maître et à « Lunyu », je n’ai pas suivi la tendance de la société, mais me suis considérée comme une pratiquante. J’ai été capable de regarder à l’intérieur et de changer progressivement.

J’ai commencé à chercher un emploi au deuxième trimestre de ma troisième année d’université. Ce n’était pas facile pour moi de trouver un emploi parce que ma spécialité était l’ingénierie, surtout si je retournais dans ma ville natale, une petite ville. Si je voulais avoir un emploi stable, je devais passer les examens pour devenir fonctionnaire dans le système gouvernemental. J’ai donc voulu changer de spécialisation en faisant une maîtrise.

Lorsque je suis retournée à l’université au début de la quatrième année, j’ai constaté qu’il n’était pas facile de trouver un emploi même avec une bonne spécialisation et une maîtrise. Il me serait difficile de suivre les cours d’une autre spécialisation au niveau de la maîtrise parce que je n’avais pas les bases au niveau de la licence.

J’ai consulté une enseignante et elle ne pensait pas que c’était une bonne idée de suivre des cours de maîtrise. Tout d’un coup, j’étais perdue et je ne savais pas quelle serait ma voie future. Mes camarades de classe avaient des objectifs précis. Certains avaient déjà trouvé un emploi lors de la foire de recrutement d’automne, tandis que moi je n’avais pas progressé et ne savais pas quelle direction prendre. Pendant cette période, je pleurais chaque fois que je parlais à mon père au téléphone. Je ressentais tellement de pression que j’ai commencé à perdre des cheveux. Mon père m’a demandé de ne plus y penser. Il a dit tant que je croirais dans le Maître et le Fa, et que je laisserais tomber mon attachement à un bon travail, le Maître l’arrangerait pour moi. Je devais laisser la nature suivre son cours et bien faire ce que je devais faire.

J’ai fait un rêve après avoir ajusté mes pensées. Dans ce rêve, j’ai vu que j’étais enveloppée de plâtre et que seule ma tête était libre. J’avais fait moi-même la coquille de plâtre. J’ai dit que je ne voulais pas de la coquille de plâtre dans le rêve.

J’ai réalisé après mon réveil que j’étais moi-même la cause de tout. Je m’étais fait une coquille parce que j’étais attachée à ce travail, j’avais peur d’être à la traîne de mes camarades de classe et de perdre la face si je ne trouvais pas de travail. J’étais jalouse de mes camarades de classe qui avaient trouvé un bon emploi. Je n’avais pas une pensée droite. Je me bloquais moi-même. Lorsque j’ai lâché toutes ces mentalités, la coquille s’est effondrée.

Deux semaines plus tard, j’ai été acceptée par une entreprise d’État de ma ville natale dans le cadre du recrutement d’automne en ligne. Merci, Maître, de m’avoir donné cette opportunité. J’avais un emploi stable. Et surtout, je pouvais étudier le Fa et pratiquer les exercices avec mes parents.

Apprendre à cultiver

J’ai dû faire des heures supplémentaires la plupart du temps après avoir terminé l’université et commencé mon nouvel emploi. En raison du manque de personnel, la charge de travail était énorme. Si l’équipement au travail devait être remplacé, je devais travailler jusqu’à minuit. Mes collègues me contactaient sans cesse pour faire résoudre leurs problèmes informatiques. Mon responsable a eu vent de cette situation et m’a dit que tant que je pouvais garantir que l’équipement important n’avait aucun problème, je pouvais laisser les problèmes informatiques de côté et renvoyer les employés vers lui en cas de problème.

Une fois, j’étais tellement occupée par la marche à suivre de l’équipement que je n’ai pas pu résoudre le problème d’ordinateur d’une collègue qui m’a appelée après mon travail. Elle était très en colère contre moi pour ce retard. Je lui ai dit au téléphone que nous allions résoudre le problème dès que possible et je n’ai rien dit d’autre. J’étais en colère après avoir raccroché le téléphone. Je comprenais que ce n’était pas facile pour eux, car ils avaient un quota de travail à remplir et devaient faire des heures supplémentaires. Mais personne ne comprenait l’ampleur de ma charge de travail et la difficulté de la tâche. Lorsque je réglais le problème pour eux, ils avaient l’impression que c’était mon devoir, et si je ne pouvais pas le régler, ils pensaient que c’était aussi mon problème.

Plus tard, je me suis souvenue que le Maître nous demandait de penser d’abord aux autres quand nous faisions quelque chose. Je n’ai pas signalé cet incident à mon responsable. Au lieu de cela, j’ai réglé le problème pour elle. Après plusieurs expériences déchirantes, j’étais plus ouverte et je ne me plaignais pas des petites choses. Même si j’étais fatiguée après le travail, j’étais de bonne humeur quand je rentrais à la maison. Je pouvais sentir que le Maître soulageait ma fatigue et la pression. Ainsi, je pouvais encore être optimiste au travail. Des collègues plus âgés du même bureau étaient également surpris que je garde un visage souriant et que je ne sois pas dépassée par la charge de travail.

Un grand projet a démarré en 2019. J’ai commencé à travailler jusqu’à minuit presque tous les jours. Je pouvais le supporter au début, mais à quelques reprises, j’ai montré mon mécontentement devant mon directeur. Plus tard, je me suis rendu compte que je n’étais pas droite. Selon le critère du Fa, il est de mon devoir de bien faire le travail puisque c’est mon travail. Je dois bien faire le travail supplémentaire. Mon directeur avait le même âge que mon père. Il s’en sortait avec sa lourde charge de travail. En tant que personne jeune, je devais faire encore mieux. Après cela, j’ai fait de mon mieux pour bien faire mon travail.

Une fois le projet terminé, mon directeur m’a félicitée devant de nombreuses personnes. C’est le point culminant de ma carrière. Mon travail a été reconnu par de nombreux collègues et cadres supérieurs. C’était miraculeux. Ce projet avait été attribué avant que je prenne ce poste. Mais il a été mis de côté jusqu’à ce que je sois la seule personne restante dans le département. J’ai eu le sentiment que c’était moi qui devais accomplir la tâche aussi efficacement que possible.

J’ai passé les examens de fonctionnaire du gouvernement en 2020. À la fin de l’année, il y avait un examen de performance pour tous les employés de l’entreprise et nous devions donner des notes à chaque employé du département. Les résultats sont devenus insignifiants pour moi, car je ne travaillerais plus dans cette entreprise l’année suivante, mais cela comptait pour mes collègues. Je me suis donc attribué la note la plus basse. Mon responsable l’a appris et m’a dit que ce serait quand même bien si je partais avec de bonnes notes. Il a été touché lorsqu’il a appris que je m’étais donné la note la plus basse. Il a décidé de me donner un A. Pendant ce temps, j’ai fait un rêve. Dans ce rêve, je sortais de mon entreprise par la porte de derrière et je découvrais que le sol était couvert d’objets sales et de souris. Je l’ai traversé avec précaution. Quand je suis revenue, il n’y avait plus de saletés. J’ai compris que j’avais passé les tests de cultivation dans cette organisation.

J’ai commencé un nouvel emploi en 2021. En apprenant à connaître mes collègues, j’ai constaté que la séparation entre les employés était assez importante. Les gens s’entraidaient à condition que cela n’empiète pas sur leur intérêt personnel. Ils hésitaient si ce qu’ils faisaient pour les autres risquait de nuire à leurs intérêts personnels, même un tout petit peu. Ils demandaient activement à devenir membres du Parti communiste chinois (PCC) afin d’être promus. Je ne suis pas du genre à m’attirer les faveurs de mon patron pour obtenir une promotion. Je m’en suis plainte à mes parents. Je m’enorgueillissais d’être distante et de ne pas rechercher la célébrité et l’intérêt personnel.

Une collègue avait déjà participé à un concours avec moi. Mais elle évitait de me saluer lorsque nous nous croisions. J’étais un peu ennuyée. Elle était très chaleureuse avec le manager, mais froide avec moi. Dans mon ancienne entreprise, mes collègues et mes managers étaient tous bons avec moi. Ils m’ont fait beaucoup d’éloges lorsqu’ils ont appris que j’avais obtenu un bon poste dans une meilleure entreprise. Je trouvais ma nouvelle situation très difficile.

Je n’étais pas du tout heureuse. Lorsque j’ai parlé à ma mère, je lui ai fait part de mon mécontentement et lui ai dit que je ne la saluerais pas si je la revoyais. Ma mère m’a dit que je ne devais pas faire cela, parce que je suis une pratiquante de Dafa et que je ne devrais pas me mettre en colère contre une personne ordinaire. Son comportement a touché mon attachement au fait que tout le monde devrait être gentil avec moi. J’étais émue par une si petite chose. Il était temps que je m’élève.

Je devrais cultiver jusqu’à ce que j’atteigne un cœur compatissant, gentil et paisible. Je pensais que j’étais meilleure que les autres et je restais donc à l’écart. C’était aussi un attachement. Je ne devrais pas changer mon attitude envers les autres parce que d’autres personnes me traitent mal. Je ne devrais pas m’attacher aux fautes des autres. Je ne devrais pas penser que les autres ne sont pas bons parce qu’ils n’ont pas atteint mon niveau. En fait, je devrais avoir de la peine pour eux parce qu’ils sont perdus dans la société ordinaire. Lorsque j’ai changé et que j’ai eu un comportement compatissant, elle m’a saluée la première lorsque nous nous sommes croisées dans le couloir. J’ai vraiment ressenti que l’environnement changeait selon ma pensée. L’environnement changeait en mieux lorsque j’avais un bon état d’esprit.

Des miracles du Falun Dafa

J’ai fait l’expérience de nombreux miracles en grandissant. Deux incidents récents m’ont permis d’expérimenter le pouvoir du Fa et la compassion du Maître.

Le premier incident s’est passé durant l’été 2021, il y avait de mauvaises pensées dans mon esprit. J’ai filtré mes mauvaises pensées et les pensées qui n’étaient pas les miennes. J’ai utilisé cette méthode plusieurs fois. Un miracle s’est produit. Un bouton a poussé dans mon oreille gauche. Il était un peu douloureux. Il s’est rompu une nuit et a déversé un liquide jaunâtre. Je n’ai pas du tout dormi cette nuit-là. Mais le lendemain, je n’ai pas eu sommeil. Elle s’est rétablie environ une semaine plus tard. Je pouvais alors clairement sentir que ces mauvaises pensées avaient disparu. Je me sentais beaucoup plus légère. Grâce à cet incident, j’ai ressenti le pouvoir de Dafa et j’ai réalisé que tant que je veux cultiver et me débarrasser des mauvaises choses, le Maître m’aidera.

Le deuxième incident concerne la façon dont j’ai abandonné l’attachement aux jeux. Il y avait un jeu auquel je jouais depuis que j’étais en première année d’université. J’ai été obligée de l’abandonner en raison de la politique qui empêchait les jeunes d’y jouer sans s’inscrire. C’était peut-être une indication du Maître pour que j’abandonne les jeux. Mais je ne l’ai pas réalisé et j’ai commencé à chercher des jeux auxquels je pouvais jouer sans m’inscrire. J’en ai trouvé un qui consistait à résoudre des énigmes. Le contexte de l’histoire était horrible et bizarre. J’y ai joué deux fois et j’ai fait un rêve une nuit. Dans ce rêve, je jouais à ce jeu et j’avais l’impression qu’il était réel. J’avais l’impression qu’une entité perverse se cachait derrière la scène, ce qui me faisait peur. Je me suis soudain réveillée et j’étais très effrayée. J’ai supplié le Maître de m’aider et j’ai récité « Falun Dafa est bon » à plusieurs reprises. Puis je me suis endormie. Le lendemain, j’ai supprimé tous les jeux. C’était la deuxième indication du Maître.

Mais au bout d’un moment, j’ai téléchargé un nouveau jeu qui n’était pas bizarre et pour lequel je n’avais pas besoin de m’inscrire avec mon vrai nom. J’ai pensé que c’était bon cette fois. J’y ai joué pendant un certain temps. Un jour, je n’ai pas été capable d’entrer dans l’interface du jeu. C’était en fait une autre indication du Maître que je devais laisser tomber mon attachement aux jeux. Mais je ne l’ai pas abandonné, j’ai plutôt téléchargé un autre nouveau jeu. Jusqu’au jour où mon téléphone portable s’est soudain éteint alors que je jouais au jeu. J’ai réalisé à l’instant que je devais abandonner mon attachement. J’ai supprimé le jeu après avoir rallumé mon téléphone portable. Je n’ai plus téléchargé de jeux depuis.

En regardant l’ensemble du processus, je n’étais pas exigeante envers moi-même et je me considérais comme une personne ordinaire. Le Maître m’a donné des indications encore et encore. Mais je n’ai pas été à la hauteur de ses attentes et j’ai laissé traîner les choses. Merci, Maître, pour votre salut compatissant.

Épilogue

Enfant, j’étais très intéressée par l’astronomie et je pensais qu’il devait y avoir une matière mystérieuse dans l’espace. Je regardais des documentaires d’astronomie quand j’avais le temps et j’ai appris qu’il y avait des trous noirs, des supernovæ et de la matière noire dans l’espace que nous ne pouvions pas voir à l’œil nu. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, j’ai compris la complexité de l’espace. Ce que les êtres humains connaissent est si minuscule. Nous ne pouvons voir que très peu de la matière de cet univers. Il existe de nombreuses formes d’énergie que nous ne pouvons pas voir avec nos yeux.

La loi de la conservation de l’énergie en physique dit que l’énergie ne peut être créée ni détruite, elle ne peut qu’être transformée d’une forme à une autre. Ce n’est pas parce que nous ne pouvons pas voir une chose qu’elle n’existe pas. L’endoctrinement du PCC par la théorie de l’athéisme apprend aux Chinois à ne croire que ce qu’ils peuvent voir. Cela nuit à la croyance des gens et détériore la moralité des êtres humains. Les gens ne croient pas au principe selon lequel « le bien sera récompensé et le mal sera puni ». Ils ne croient pas à la réincarnation ou à l’enfer. Les gens osent faire toutes sortes de mauvaises actions.

Grâce à mes expériences personnelles et à mes propres connaissances, je comprends que le Fa du Maître couvre tout. Les gens ordinaires pensent que les difficultés et l’amertume ne sont pas de bonnes choses. De nos jours, il existe un terme à la mode appelé « couché à plat » (faire le strict minimum pour s’en sortir). J’ai parfois des pensées similaires. Mais du point de vue du Fa, il s’agit simplement d’une démonstration de la paresse.

De nombreuses personnes pensent qu’elles sont traitées injustement. En réalité, tout est juste. Les gens ne peuvent pas voir la relation de cause à effet à partir de leurs vies passées. Ils veulent seulement vivre heureux et à l’aise dans cette vie. Ils ne réalisent pas que cette vie est si courte. La gloire et la richesse ne sont rien. Seule la cultivation peut rendre la vie éternelle.

Quand je vois à travers les choses de ce monde, je commence à vivre consciemment. Le Maître me donne tellement. Merci Maître de m’avoir rectifiée en grandissant, de m’avoir constamment purifiée afin que je puisse laisser tomber les désirs de ce monde et comprendre que les biens de ce monde ne sont qu’illusions. Seuls la cultivation et les principes du Fa sont réels. Ils nous permettent de nous élever, c’est la véritable raison pour laquelle nous venons dans ce monde.

Traduit de l’anglais