Article de la Troisième Conférence de partage d’expériences de cultivation sur Internet en Chine continentale

(Minghui.org)


Écrit par un pratiquant de Falun Dafa en Chine

Bonjour, Maître ! Bonjour, compagnons de pratique !

Mon mari et moi avons commencé à pratiquer le Falun Gong en 1998. Au cours de notre cultivation, que ce soit pendant les temps paisibles ou pendant la persécution, nous avons constamment senti que le Maître était toujours présent avec nous. Nous croyons en Maître et en la Loi, et nous travaillons dur pour bien faire les trois choses que le Maître nous a demandé de faire. Ces dernières années, nous avons vécu dans un quartier fréquenté du centre ville alors que nous faisions des affaires dans une maison louée. Nous validons la Loi d’une manière ouverte et digne.

Un jour à la fin du mois de septembre 2005, des agents d’un poste de police local sont arrivés pour arrêter des joueurs au troisième étage de l’immeuble où se trouve aussi notre maison louée. Tandis qu’un policier essayait de trouver l’escalier pour y monter, il a pénétré par hasard dans ma pièce, celle-ci n’ayant pas de porte. Lorsqu’il a vu la photo du Maître il a fait semblant d’être sérieux, en disant : « Vous accrochez encore cela ? » Je travaillais dans la boutique. Avant que je puisse l’arrêter, il a vite enlevé la photo du mur. Mon mari et moi avons vite posé notre travail et essayé de la lui enlever. Cependant, il a vite disparu dans la foule. Mon mari et moi étions déterminés à récupérer la photo.

Avec des esprits droits, nous nous sommes rendus immédiatement au département de police et au poste de police local pour découvrir le scélérat et clarifier la vérité. À la fin, ils nous ont finalement rendu la photo, assez poliment. Nous avons raccroché la photo.

Peu de temps après, la police locale est revenue pour essayer d’arrêter ces joueurs, cette fois-ci, le chef du poste de police, l’adjoint en chef et le chef de police sont arrivés avec de nombreux policiers. Alors qu’ils essayaient de trouver l’escalier, ils sont arrivés dans ma pièce et ont regardé autour. La photo du Maître et l’emblème « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » du Falun étaient accrochés dans notre pièce. Ils ont marché à l’intérieur et à l’extérieur comme s’ils ne les avaient pas vus. Ayant surmonté la dernière tribulation, nous étions calme cette fois. Le chef de la station de police et le chef de police (qui m’avait persécuté avant) étaient très polis. Ceci avait vraiment rapport avec le fait que nous soyons allés clarifier la vérité au poste de police. Ils connaissaient la vérité et ne nous occasionnaient plus de trouble à ce moment-là.

Bientôt il y a eu le Nouvel An chinois. Nous avons bien ordonné la boutique. Mon mari et moi avons décidé d’accrocher l’emblème « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » du Falun dans la boutique au lieu de le mettre dans notre pièce pour laisser la chance à plus de personnes ayant de l’affinité prédestinée de connaître l’existence de la Loi. Nous avons ainsi accroché publiquement l’emblème dans notre boutique. Quand les gens marchent dans la rue, ils peuvent voir l’emblème depuis dehors, ce qui nous a donné beaucoup d’opportunités pour clarifier la vérité. Il y a en effet beaucoup de personnes qui ont vu l’emblème et ainsi pu connaître la vérité. Parmi eux il y a des policiers ainsi que les membres de leurs familles, des fonctionnaires de la commune, des gens du monde des affaires, des comités du voisinage, du département de l’hygiène et de la santé et du poste de prévention des épidémies, etc. Une fois qu’ils étaient dans ma boutique, je pouvais leur clarifier la vérité. La plupart d’entre eux acceptaient ce que je leur disais. Ainsi ils connaissent la vérité et peuvent avoir la chance d’être sauvés. La photo est suspendue comme cela pendant plusieurs mois et nous n’avons rencontré aucun problème.

Le 4 juillet 2006, vers 9 h du matin, alors que nous étions très affairés dans notre boutique, le secrétaire de la succursale du parti communiste chinois (PCC) de mon village natal ainsi qu’une personne inconnue sont venus devant notre boutique. Je leur ai proposé de venir et de se reposer un petit peu. Ils ont accepté mon invitation. Une fois qu’ils sont entrés, j’ai pointé l’emblème du Falun et commencé à leur clarifier la vérité. L’inconnu m’a demandé : « Est-ce que vous pratiquez encore le Falun Gong? » J’ai répondu : « Oui. Vous voyez comme je suis en bonne santé. Notre commerce nécessite un travail extrêmement intensif. Si je ne pratiquais pas le Falun Gong, je ne pourrais pas garantir de rester en bonne santé. »

J’ai demandé au secrétaire du village qui était l’étranger et il m’a dit que c’était un fonctionnaire de la ville. J’ai demandé quel était son rôle. Le secrétaire du village m’a expliqué qu’il s’occupait du comité politique et judiciaire. J’ai attiré l’attention sur l’emblème et j’ai dit à cette personne : « Si vous suivez les trois mots : « Authenticité, Bienveillance, Tolérance », peu importe où vous allez, les gens vont dire que vous êtes un bon fonctionnaire. » Il a fait un signe de la tête : « Ces mots sont bien. Ces mots sont bien. Nous avons annoncé au gouvernement supérieur qu’il n’y avait plus de personnes pratiquant le Falun Gong dans la ville. »

J’ai dit : « En se rappelant que « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » est bon et que le Falun Dafa est bon », vous allez pouvoir considérer le Falun Gong aimablement. » Cependant, il a dit : « Vous ne devriez pas aller faire appel. Ne distribuez pas de dépliants et ne contactez pas d’autres pratiquants. » Mon mari est venu et a dit : « Tous les gens de cette rue savent que nous pratiquons le Falun Gong. Nous informons ouvertement les gens et leur faisons se rappeler que « Falun Gong est bon, Falun Dafa est bon ». Cela est bon pour eux. Peu importe combien d’argent possède une personne et combien sa position est élevée, sa vie est encore plus précieuse que ces choses. »

Après avoir écouté les mots de mon mari, le secrétaire du comité politique et judiciaire est devenu muet. Ensuite, son téléphone a sonné et il a répondu. En moins de trois minutes l’adjoint en chef du poste de police de la ville est arrivé. Après qu’il soit entré, je lui ai dit en attirant son attention sur l’emblème du Falun : « Les membres de ma famille pratiquent cela. » Le policier, qui avait une apparence à faire peur aux gens a dit : « Ce n’est pas permis. C’est contre la loi. » Je lui ai dit fermement : « La Constitution chinoise dit clairement que les citoyens ont le droit à la liberté de croyance. Par ailleurs, la Constitution n’a pas mentionné que se comporter en suivant « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » était interdit. » Il a été incapable de me réfuter et a juste répété : « Ce n’est pas permis. Le gouvernement interdit cela. Ce que vous faites est contre la loi. »

Je lui ai raconté l’histoire du policier qui avait emmené la photo du Maître alors qu’il tentait d’arrêter des joueurs et que nous étions allés directement allés au poste de police, demandant à ce qu’on nous rende la photo et que la police était venue en personne et nous avait rendu la photo. Après avoir écouté l’histoire ils sont restés silencieux. L’adjoint en chef de police a regardé le secrétaire du comité politique et judiciaire et lui a demandé : « Devrions-nous écrire quelque chose comme preuve ? » J’ai dit que je suivais : « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » pour être une bonne personne, et que je n’avais rien à écrire. Il a insisté, il a sorti un crayon et du papier, a écrit quelque chose et a ensuite voulu que je le signe. J’ai fermement refusé. J’ai dit que je pratiquais : « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » et que je ne pouvais pas mentir et que ce n’était pas bon ni pour lui ni pour moi. Il a semblé soudainement comprendre quelque chose et a ensuite dit : « Tant que le chef de la ville peut prouver que nous sommes venus et avons fait quelque chose cela va être bien. » Il ne m’a plus obligé à signer mon nom. Ils sont partis peu après. Alors que je leur disais adieu j’ai dit : « S’il-vous-plaît, rappelez-vous que « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » est bon et que Falun Dafa est bon. »

Ces gens sont partis et l’emblème du Falun Dafa est resté exposé, « Authenticité, Bienveillance, Tolérance » est encore accroché ouvertement dans notre boutique.

Ces quelques incidents m’ont à nouveau fait comprendre le poème du Maître,

« Vous avez de la peur, alors on la saisit
Dès que la pensée est droite, la perversité s'écroule »

(« De quoi avez-vous peur ? » de Hong Yin volume II)

La bienveillante protection du Maître, le puissant et vertueux pouvoir de Dafa, et aussi les champs droits des pratiquants ont supprimé la perversité. Ces quelques incidents où l’on doit surmonter les tribulations avec des pensées droites ont encore démontré le principe que quand une tribulation arrive, la forte pensée droite d’un disciple de Dafa va terrifier la perversité et la rendre impuissante.


Traduit de l’anglais en Suisse le 18 novembre 2006