(Minghui.org)
Le 14 avril 2006, des pratiquants du Japon se sont rendus, une autre fois, au Parlement japonais pour dénoncer les atrocités du PCC qui prélève les organes des pratiquants encore vivants et qui les vend dans un but lucratif, et demander à la communauté internationale et à tous gens de conscience d’aider à faire cesser immédiatement ces massacres du régime communiste chinois.
Dès 10 h, des pratiquants de la région de Tokyo, Shizuoka-Ken, Osaka, Nagano, Kobe etc, portant des fleurs blanches, ont formé un mur humain devant l’édifice du parlement. Ils ont dressé des grosses affiches et des photos pour dénoncer les crimes en cours en Chine.
Dans des haut-parleurs, des pratiquants ont condamné la brutale persécution du régime communiste chinois. La voix faisait écho tout autour de l’édifice du parlement et les gens pouvaient entendre jusqu’à l’entrée du métro. Les explications, plus les immenses bannières et les affiches ont profondément touchés les membres du parlement, les policiers, les touristes et les autres passants. Quelques pratiquants ont distribué des dépliants et une édition spéciale des atrocités commises par le régime communiste chinois dans les camps de travaux forcés et les camps de concentration. Quelques pratiquants ont ramassé quelques signatures pour appuyer l’enquête indépendante sur le prélèvement des organes des pratiquants du Falun Gong dans les camps de travaux forcés. Quelques pratiquants ont visité les bureaux des membres du parlement et leur ont demandé leur aide.
Une immense bannière demandant la fin des persécutions par le régime communiste chinois à l’encontre des pratiquants a été accrochée sur le mur de la seconde entrée de la Maison des Représentants. Des membres du parlement passent souvent là et ils ont accepté les documents que les pratiquants distribuaient.
Monsieur Tsuruzono Masaaki de l’Association du Falun Dafa au Japon a dit dans une entrevue : “ Nous espérons réellement que les membres du parlement puissent en apprendre plus au sujet des atrocités du PCC. Nous espérons que le gouvernement japonais et les membres du parlement vont se renseigner au sujet des atrocités inhumaines du régime communiste chinois et qu’ils vont aider à les arrêter.
Quand des passants ont été interviewés sur le sujet, ils ont exprimé leurs outrages et leurs dégoûts des crimes du PCC.
Un policier a dit à un journaliste qu’il avait lu les « Neuf commentaires du parti communiste ». Il a dit qu’il sait que le parti communiste est réellement pervers et capable de commettre n’importe quel crime.
Traduit au Canada le 25 avril 2006