(Minghui.org)


Un matin en janvier 2003, j’ai pris le bus pour aller au travail. C’était l’heure de pointe et le bus était rempli de passagers. Le bus venait de démarrer et j’ai senti quelque chose bouger dans ma poche de derrière. Instinctivement, j’ai plongé ma main dans la poche et j’ai pensé que quelque chose manquait. J’ai enlevé mon gant et j’ai vérifié à nouveau ma poche pour être certain. Oui, un paquet d’argent d’environ 200 yuans avait disparu. Une pensée a rapidement traversé mon esprit : « Ce qui vous appartient, vous ne le perdrez pas et il est inutile de vous battre pour obtenir ce qui ne peut vous appartenir. » Zhuan Falun

Lorsque j’ai sorti ma main de ma poche pour remettre mon gant, quelqu'un a enfoncé un paquet d’argent dans ma main. C’était un jeune homme. Je l’ai remercié et j’ai répondu : « Je descends ici. » Deux jeunes hommes ont ensuite sauté à l’extérieur de l’autobus. Ayant remarqué ce qui s’était produit, un jeune homme se tenant à mes côtés a remarqué : « Il a retourné l’argent! » Un autre passager a poursuivi : « Les deux voleurs viennent de sortir du bus! »

L’incident me rappelle ce que Maître a dit dans Zhuan Falun, à la troisième leçon :

« Les gens qui ont des idées mauvaises et pensent à des affaires louches peuvent aussi sous l’effet puissant de votre champ, changer leur esprit et renoncer à leurs intentions négatives. Il est possible que certaines personnes, voulant insulter une autre, changent soudain d’idée et y renoncent. Il n’y a que le champ d’énergie de la cultivation et de la pratique de la Loi juste qui est capable de jouer un tel rôle. »

C’était Maître qui a aidé à changer l’idée des voleurs. L’incident a davantage amélioré ma compréhension des paroles bouddhistes : « La lumière de Bouddha illumine tout, faisant resplendir politesse et loyauté et dissipant tout ce qui est mauvais.» (Zhuan Falun )

Un compagnon pratiquant m’a raconté une histoire qui est arrivée en octobre 2005 :

Il était environ 18 h. Je déambulais sur la route. C’était très achalandé. Une voiture allait vite et j’ai tourné. Elle m’a manqué de quelques pouces. Ensuite, un tricycle chargé très pesant a passé devant moi. Apparemment, sa roue arrière a roulé sur mon pied. Je ne m’en suis pas rendu compte et je n’ai rien senti.»

 « Une femme qui passait a dû remarquer que le véhicule avait roulé sur mon pied, parce qu’elle est venue me dire anxieuse : « Madame, laissez-moi vous emmener à l’hôpital pour que votre pied soit examiné. La blessure pourrait être grave. » Le conducteur est descendu du tricycle et semblait inquiet. Mais j’ai dit : « C’est correct. Je n’ai pas de mal. » La femme, cependant, a insisté pour que j’aille à l’hôpital. Je lui ai assuré encore une fois que tout était correct et que je devais partir. »

« Plus tard, j’ai regardé mon pied. Il n’y avait pas de contusion, seulement une petite marque sur la peau. Mais le conducteur avait été très apeuré. »


Traduit au Canada le 24 septembre 2006 de :