Comment trois jeunes femmes ont changé leurs vies

(Minghui.org)

Trois jeunes femmes ont été emprisonnées pour avoir commis des actes criminels pour différentes raisons. L'une d'entre elle est née dans une famille aisée et avait été une merveilleuse élève à l'école. Elle s'est retrouvée empêtrée dans des aventures sentimentales et puis son petit ami a tué accidentellement son ex. A ce moment là elle avait 18 ans. La seconde était emprisonnée pour avoir essayer de protéger son petit ami quand on a trouvé de la drogue dans sa résidence. La troisième vendait de la drogue par ignorance.

Il y avait de nombreux pratiquants dans cette prison, spécialement dans les cellules réservées aux femmes, et dans chaque cellule il y avait des pratiquantes. Les trois jeunes filles ont rencontré plusieurs pratiquantes qui leur ont parlé des faits de la persécution de Dafa par le Parti communiste chinois(PCC), que les pratiquants étaient violemment torturés par le PCC uniquement à cause de leur foi et que Dafa était connu dans le monde entier. Elles ont toutes vu la vérité et ont su que Dafa est bon. Elles ont reconnu la malfaisance du PCC et toutes les trois ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées. En vivant pendant un certain moment avec ces pratiquantes, elles ont été témoins de la bonté des pratiquants et de leur persévérance face aux tribulations. Elles ont observé leur fermeté, persistant à adhérer à la vérité malgré la persécution. Toutes les trois ont été profondément touchées.

Pendant ce temps là, les pratiquantes leur ont dit comment se comporter de manière appropriée et expliqué le principe de la rétribution karmique, qui est, d'être tenu au final responsable de ses propres actions. Elle ont parlé de la culture divine de la civilisation Chinoise et que l'athéisme que promeut le PCC a causé le déclin de la moralité de la société toute entière. Les pratiquantes ont écrit les poèmes de Maître qu'elles avaient mémorisé pour que ces jeunes filles puissent les lire.

Graduellement, toutes les trois ont été aptes à comprendre de plus en plus. Elles ont découvert un chemin de vie complètement différent pour une personne, celui que Dafa a révélé pour elles. Elles ont décidé de pratiquer le Falun Gong. Elles ont rapidement appris les cinq exercices et commencé à pratiquer tous les jours. Les pratiquantes leur ont également dit que, en tant que pratiquants, elles devaient être capable de s’examiner elles mêmes et de suivre les principes : "Authenticité, Compassion et Tolérance". Que ce soit en prison ou dans la société à l'avenir, elles devaient être de bonnes personnes. Toutes les trois ont compris cela, et leur vie a changé..

La vie en prison était très dure. Les détenues n'étaient pas autorisées elle-même à acheter des petits plus alimentaires ou les nécessites quotidiennes. La prison fournissait les nécessités basiques pour chacune, chaque mois. Les produits fournis étaient de piètre qualité. Les détenues devaient s'asseoir tous les jours, excepté certains moments spécifiques pour faire des exercices, elles n'étaient pas autorisées à se déplacer ou même à étendre leurs jambes. Dans de telles conditions si difficiles, la santé de beaucoup de détenues s'est rapidement détériorée et elles manifestaient des signes d'une sévère malnutrition. Si quelqu'un tombait malade, les médicaments prescrits n'étaient pas de bonne qualité, souvent prescrits pour un usage général. En 2007, une détenue est tombée malade et en est morte parce qu'elle n'avait pas été soignée de façon adéquate. Voyant que les pratiquantes étaient toutes en très bonne santé parce qu'elles pratiquaient Dafa, de nombreuses personnes ont voulu l'apprendre aussi. Quand elles se mettaient à la pratique, elles aussi recouvraient la santé, devenaient plus heureuses et des couleurs revenaient sur leurs visages.

La police utilisait toutes sortes de tactiques pour empêcher que les trois filles pratiquent les exercices. Elles étaient pénalisées en étant obligées de faire des entraînements et d'écrire des pages d'autocritique quand elles faisaient les exercices en attendant le moment d'aller à la douche. La police les a menacées de supprimer le moment TV pour tout le groupe dans la cellule, pour forcer les trois jeunes filles à écrire leurs pages d'autocritique. Ils pouvaient faire une annonce sur le système d'adresse publique pour perturber tout le groupe après qu'elles soient parties se coucher pour réclamer les pages en question. Les trois n'ont pas obéi. Au lieu de cela, elles ont écrit une lettre disant à la police les faits concernant Dafa, lettre qu'elles ont signé : "pratiquantes de Dafa." Les femmes policières de service les ont injuriées. Le lendemain, le directeur de cellule et une autre policière ont commencé à les violenter verbalement et ont ordonné aux trois jeunes filles de rester debout en guise de punition. Elles ont refusé en insistant sur le fait qu'elles n'avaient rien fait de mal. La police a immédiatement ordonnée à certaines personnes de les enchaîner et d'attacher leurs chaînes à un anneau dans un trou creusé dans le sol. Les chaînes et l'attache les maintenaient repliées dans une position douloureuse. La punition durait habituellement 15 jours selon les règles de la prison.

Après cet incident, toutes les détenues de la cellule ont signé une pétition pour que les chaînes soient enlevées aux filles. Les pratiquantes de la cellule n'ont cessé de dire les faits à la policière, lui ont écrit une lettre disant qu’il n’y avait rien de mal à pratiquer les exercices du Falun Gong. Dans le même temps, elles ont demandé à rencontrer le directeur de la prison ainsi que le procureur et demandé à parler à de plus hautes instances. Le directeur a rejeté leurs requêtes, prétextant que ces pratiquantes avaient refusé d'être menottées et de baisser leurs têtes sous la chaîne en fer. L'une des trois jeunes filles a été relâchée quand sa peine est arrivée à son terme, mais jusqu'à ce moment là, elle est restée enchaînée. Plus tard, le procureur a rejeté la requête des pratiquantes qui voulaient le rencontrer, citant le fait que les trois jeunes filles n'étaient pas emprisonnées à cause de Dafa, voulant dire par là qu'elles ne suivaient pas "Authenticité, Compassion et Tolérance" et que par conséquent, elles n'étaient pas autorisées à pratiquer.

Les trois jeunes filles n'ont enfreint aucune règle. La seule chose qu'elles aient faite a été de faire les exercices et pour cela elles ont été sévèrement punies. Elles ont l'intention de porter plainte contre la police pour "cruautés sur détenues."


Traduit de l’anglais le 24 avril 2008