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Une professeur associée de l'Institut national des procureurs emprisonnée pour sept ans

10 novembre 2010

(Minghui.org)


Par un correspondant de Pékin, Chine


Nom : Li Li (李莉)
Genre : Féminin
Age : Inconnu
Adresse : Pékin
Profession : Professeur associée
Date de la dernière arrestation : Novembre 2002
Dernier lieu de détention : Prison pour femmes de Pékin (北京女子监狱 )
Ville : Pékin
sévices subis : Renvoyée de son lieu de travail, vivre sous surveillance, détention, lavage de cerveau, condamnation illégale, emprisonnement, privation de sommeil, refus de l’utilisation des toilettes, confinement solitaire.


Li Li, professeur associée du département de philosophie de l’Institut national des procureurs a été emprisonnée pendant sept ans pour sa croyance et sa pratique de Falun Dafa. Elle est actuellement détenue dans la prison pour femmes de Pékin, où elle a été privée de sommeil pendant plus de vingt jours.
Le professeur Li pratique Falun Dafa depuis 1992. Après le 20 juillet 1999, les administrateurs de l’Institut national des procureurs et son organisation associée, la http://fr.minghui.org/glossaire/glossaire.html suprême du peuple, ont tenté de forcer Mme Li à abandonner sa croyance. Celle-ci a exprimé fermement que sa pratique ne constituait pas un crime. Plus tard, elle a été renvoyée de son emploi, et son appartement lui a été confisqué. Elle a été maintenue sous surveillance par le poste de police de Bajiao, district de Shijingshan. Le professeur Li était aussi coordinatrice du site de pratique de Falun Dafa de Shijingshan et la police lui a accordé une attention spéciale, la surveillant continuellement.


En 2000, les agents du poste de police de Bajiao, ont tenté d’emmener Mme Li à des séances de lavage de cerveau, l’obligeant à quitter son domicile. En novembre 2002, elle a été arrêtée à Shenzhen pour avoir distribué des DVD de clarification des faits à propos de Falun Dafa. Elle a été détenue dans le centre de détention de Nanshan, agglomération de Shenzhen, province de Guangdong et plus tard, ramenée à Pékin.


Lors de sa détention dans le centre de détention du district de Fengtai de Pékin en 2003, elle a été emmenée au centre d’éducation légale de Pékin et soumise au lavage de cerveau. Mme Li n’a pas renoncé, même après un mois de lavage de cerveau continuel et a été ramenée dans le centre de détention.


En 2004, Mme Li a été condamnée à 9 ans, et est actuellement détenue dans la prison pour femmes de Pékin. À cette époque, les gardes de la prison menés par Tian Fenging ont persécuté les pratiquants de Falun Gong. Au début, Li Xiaomei a feint la gentillesse, mais a menti à Mme Li, qui l’a cru. Peu après, reconnaissant ces mensonges, Mme Li a écrit une lettre révélant les méthodes de tortures infligées aux pratiquantes en prison, et l’a mise dans la boite aux lettres du procureur de la prison. Bien que le procureur travaille étroitement avec les autorités de la prison, son acte a choqué les persécuteurs. La prison pour femmes de Pékin a retiré Tian Fengqing de la salle 10. Depuis les gardes n’ont plus osé torturer publiquement les pratiquantes de Falun Gong. Toutefois ils haïssent Mme Li, et pensent que sa lettre leur a fait perdre la face. Les fonctionnaires et les gardes voulaient se venger, ainsi, ils l’ont emmenée dans une salle de prison vide pour la " réformer ".


Le nouveau directeur de la prison, Zheng Yumei, et la garde Li Xiaomei l’ont torturée à tour de rôle. Ils l’ont privée de sommeil et de l’utilisation des toilettes. Ils ont écrit des mots calomniant l’enseignant de Dafa sur le mur et le sol, puis l’ont forcée à marcher dessus. Ils l’ont torturée pendant 29 jours. Mme Li s’est presque évanouie à plusieurs reprises, mais a refusé d’abandonner sa croyance. Plus tard, les gardes ont cessé de la torturer, mais ils l’ont surveillée étroitement.


La salle 10 de la prison a fermé en 2009, Mme Li a alors été transférée dans la salle 4. Elle y était aussi étroitement contrôlée. Les fonctionnaires de la prison soumettaient les pratiquantes à un travail épuisant. Les détenues ayant collaboré avec les autorités étaient autorisées à lire des livres et à ne pas effectuer le travail forcé; leurs peines de prison pouvaient aussi être réduites. Les gardes utilisaient ces méthodes pour briser les volontés. Elles disaient qu’elles torturaient les pratiquantes de cette façon pour tester leur force de volonté, et combien leurs corps physiques pouvait endurer.


La prison pour femmes de Pékin (originellement appelée prison Tiantanghe) est un endroit redoutable où les pratiquantes de Falun Gong sont vicieusement persécutées. Ceux qui la dirigent trompent les média locaux et internationaux se vantant d’une " gestion de la prison humaine et civilisée " alors qu’en fait, ils se livrent à la " transformation " des pratiquantes en les torturant à la fois physiquement et mentalement. Depuis 2000, la torture des pratiquantes dans la prison a entrainé la mort et le handicap de plusieurs d’entre elles.


Traduit de l’anglais en France