(Minghui.org)

Nous avons un groupe d'étude de la Loi à mon domicile. Une compagne de pratique nous a rejoints et la troisième fois, elle a partagé ses expériences personnelles avec nous. Elle a dit : « Le champ d'énergie dans votre groupe d’étude est si juste. Je dois vous dire quelque chose à mon sujet. Compagnons de pratique, s'il vous plaît, aidez-moi. J'ai un très mauvais attachement, cependant, je ne peux pas m'en débarrasser moi-même. » Elle semblait être dans de grandes souffrances. Je pouvais me rendre compte qu'elle avait très envie de supprimer cet attachement. J'ai pensé : « Peut-être est-il de ma responsabilité de lui venir en aide, puisque j'ai entendu ce qu'elle a dit. »


Par conséquent, les pratiquants de notre groupe d'étude de la Loi lui ont parlé de nombreux principes de la Loi pour lui laisser savoir à quel point son attachement était sale et dangereux. Au cours de ce processus, nous avons constaté qu'elle était capable de réciter Zhuan Falun et beaucoup d'autres articles de Maître. C'est juste qu'elle avait un attachement de personne ordinaire, de sorte que les forces perverses en avait profiter dans les autres dimensions. A cause de cela, elle avait sommeil lorsqu'elle étudiait la Loi et elle ne pouvait tenir la paume de la main levée, lors de l'émission de la pensée droite. Entre-temps, nous avons entendu ce que d'autres groupes d'étude de la Loi pensaient d'elle. Ils avaient perdu confiance en elle. Je me suis dit : « Elle a la Loi dans le cœur. La perversité a pu temporairement agrandir son attachement. Par conséquent, sa conscience principale n'était pas claire et elle ne pouvait reconnaître le droit chemin du mauvais. » La perversité tentait de l'affaiblir. Comment se fait-il qu'elle était incapable de revenir quand elle croyait dans le Maître et la Loi ? À mon avis, c'est parce que nos compagnons de pratique n'avait pas le cœur de l'aider. Ils disaient que les choses des compagnons de pratique sont aussi leurs responsabilités. Toutefois, leurs actions n'étaient pas en accord avec leurs paroles dans cette affaire.


En se basant sur sa situation et les choses que nous avions apprises à son sujet, nous avons décidé de l'aider. Elle avait une base d'étude de la Loi très solide. Elle ne médisait jamais. Quand les gens lui faisaient des reproches, elle regardait à l'intérieur. Elle était très attentionnée. Toutefois, en raison de la persécution, elle ne pouvait pas rentrer à la maison et elle voyait rarement son enfant. Elle errait partout, seule. Elle avait beaucoup de pression et elle était très inquiète. La seule chose, dont elle avait le plus besoin, était de l'attention et de l'amitié. À cette époque, quand quelqu'un lui témoignait de la gentillesse, elle allait à l'extrême. Même quand une personne lui feignait de l'attention, elle s'attachait à cette personne. J'ai cru que je devais la traiter comme ma petite sœur, lui donner de l'attention et des soins, et l'aider à renforcer l'étude de la Loi afin que sa conscience principale puisse devenir plus forte et qu'elle puisse trouver le chemin du retour.


Avec beaucoup de pression, j'ai fait mon choix – l'aider ! Mais pas seulement l'aider. Au lieu de la faire venir à la maison une fois par semaine, nous l'avons invitée à vivre avec nous, afin qu'elle puisse étudier la Loi avec ma femme. Une vie qui cultive la Loi doit être désintéressée et toujours tenir compte d'abord des autres. Avec cette décision, nous nous levions tous ensemble, le matin, pour étudier la Loi et faire la pratique des exercices de Dafa.


Après quelques jours, ma femme et moi, nous avons réalisé qu'un de nos problèmes était résolu. - auparavant, ma femme et moi avons essayé très fort, mais nous ne pouvions tout simplement pas nous lever à 3:50 h pour la pratique des exercices de Dafa dans la matinée. Tout à coup, nous pouvions le faire, tout comme le dit le vieux dicton, « aider les autres, c'est se venir en aide.» Nous estimions que c'était elle qui nous aidait, et non nous qui l'aidions. Cela prouve qu'avec les caractéristiques du nouvel univers nous pouvons être en mesure de nous harmoniser, en aidant les autres.


Jusqu'à présent, la compagne de pratique fait un bon travail avec les trois choses. Il lui a fallu environ six mois. Elle a eu quelques bas et des hauts, mais enfin elle a fini par abandonner son attachement. C'était comme sortir d'un cauchemar pour elle. Du fond de mon cœur, j'espère que mes compagnons de pratique ne perdent pas confiance dans l'un de nos compagnons de pratique. Même un pratiquant avec de gros attachements est encore un être qui vient de niveaux élevés pour être ici, en attente de la Loi, depuis des milliers et des milliers d'années. Ce serait une grande perte pour le salut des êtres vivants au cours de la période de rectification par la Loi, si nous perdions un seul compagnon de pratique.


Traduit de l'anglais au Canada