(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996 et j'aimerais partager mon expérience de pratique avec les compagnons de pratique.
1. Recevoir un livre précieux pendant une période critique de ma vie ; voir les miracles se produire avec les actions droites
Comme enfant, j'étais très faible et j'avais de nombreuses maladies. En tant qu'adulte, j'ai souffert d'une maladie de l'estomac, de pharyngite et d'insomnie. Je devais prendre des médicaments tous les jours et je ne savais pas ce que ce serait d'être quelqu'un sans maladie. À cette époque, ma vie était sans espoir.
En mars 1996, après avoir atteint un point de désespoir, j'ai eu la chance de tomber sur un exemplaire du Zhuan Falun. En lisant ce précieux livre, je savais que j'avais trouvé ma destinée. Depuis ce jour, je me suis strictement discipliné avec les exigences du Fa et mon corps et mon esprit ont connu des changements considérables. J'ai arrêté de prendre les médicaments que ma femme m'avait achetés tandis que ma santé tant physique que spirituelle s'améliorait.
J'ai vécu plusieurs moments d'élimination du karma mais je savais que le Maître nettoyait mon corps. Un jour, en juin 1998, j'ai mangé des morceaux de viande, et après être arrivé à la maison, j'ai commencé à avoir énormément mal à l'estomac. Je me suis souvenu de ce que le Maître avait dit :
« Mais quand la maladie survient, il y a souvent une condition extérieure du monde matériel superficiel qui en est l'amorce. Ainsi la chose se conforme-t-elle à la loi objective de notre monde matériel superficiel. C’est-à-dire qu’elle se conforme au principe de ce monde. Par conséquent, les gens ordinaires ignorent la vraie image de l’origine de leurs maladies et se perdent dans l’égarement sans s’éveiller. » (« Le karma de maladie », de Points essentiels pour un avancement diligent).
Même si je savais que le Maître nettoyait mon corps, il m'était difficile de passer le test. Tout d'abord, j'ai eu mal au ventre, et puis j'ai commencé à avoir la diarrhée mélangée à du pus et du sang. Je suis resté dans la salle de bain pendant une journée entière, et c'était comme si un couteau grattait mes organes internes couche par couche. Mon estomac était en feu. Pendant dix jours d'affilée, je n'ai ni mangé, ni bu quoi que ce soit, mais en même temps, j'ai constamment libéré de pus et du sang. Une personne ordinaire serait morte de déshydratation. Le dixième jour, j'ai relâché un caillot et immédiatement après, mon estomac ne m'a plus fait souffrir. De plus, mon appétit est revenu. Pendant cette période, j'ai perdu plus d'une douzaine de livres (environ 6 kg).
En juillet ou en août 1998, notre assistante bénévole locale m'a informé qu'une agence du gouvernement menait un sondage pour déterminer les effets du Falun Gong sur la santé physique des pratiquants. Certaines parties de mon corps me faisaient encore mal de temps en temps, lorsque l'enquête a été menée, mais je me suis souvenu de deux citations du Maître:
« Celui qui cultive véritablement n'a pas de maladie, mon corps de Fa lui a tout enlevé. » (« Explication du Fa pour les assistants de Falun Dafa à Changchun, » Expliquer le contenu du Falun Dafa) (traduction non officielle)
« Cela veut dire que même si nous avons déjà extirpé la cause fondamentale de vos maladies, la cause fondamentale de votre mauvaise santé, il vous reste encore en champ morbide. » (Zhuan Falun)
J'ai compris que les vrais pratiquants n'avaient aucune maladie parce que le Maître avait purifié nos corps pour nous, et que notre karma devait être éliminé avant que nous puissions atteindre la plénitude parfaite. Donc, nous ne devrions pas considérer ces tribulations comme une maladie. Par conséquent, sur l'enquête, j'ai écrit que les effets de guérison étaient de 100%. Miraculeusement, dès que j'ai répondu à l'enquête, tous mes malaises corporels ont disparu.
2. Avec le Fa dans mon cœur, j'ai utilisé la pensée droite pour résister à la persécution
Le Parti communiste chinois (PCC) pervers a commencé à persécuter le Falun Gong le 20 juillet 1999. Le même jour, je suis allé au gouvernement provincial afin de faire appel pour Dafa. Des policiers armés ont brutalement battu les pratiquants. Avec l'aide de quelques autres pratiquants, nous avons tenté d'empêcher l'assaut de la police. En conséquence, l'un des policiers m'a frappé à la tête, au visage et aux yeux. À ce moment-là, j'ai vu une lumière dorée tomber sur les parties qui venaient d'être frappées. Bien que j'ai été blessé, je n'ai pas senti la douleur. J'ai ensuite été illégalement détenu au département de police pendant une journée.
Quand je suis allé au travail le lendemain, le chef de mon unité de travail a essayé de me forcer à dénoncer le Falun Gong. À une autre occasion, il m'a demandé d'aller à son bureau et a affirmé que si je n'écrivais pas une déclaration de garantie de ne plus pratiquer le Falun Gong, il ne nous laisserait pas, moi et un autre collègue, rentrer à la maison.
Je lui ai dit : « Je suis à vos ordres pendant les huit heures de travail, mais je suis libre d'organiser mon temps personnel après. Votre acte est illégal. » Le directeur et quelques collègues ont été surpris, et quelques instants plus tard, le directeur a dit : « Vous pouvez tous rentrer chez-vous maintenant. » Rien de tel ne s'est reproduit.
3. Lors du Nouvel An chinois, le son « Falun Dafa est bon » a résonné dans le ciel
Malgré la forte pression faite sur nous par la persécution, certains pratiquants ont décidé de tenir une conférence de partage d'expériences à une petite échelle pour discuter de la façon d'entrer en contact avec les pratiquants d'autres régions. Un des pratiquants de notre région est entré en contact avec un pratiquant de Pékin, qui nous a apporté des informations sur la façon dont les pratiquants d'autres régions faisaient des démarches pour se rendre à Pékin pour sauvegarder le Fa, ainsi que des informations du site Minghui. Nous avons ensuite fait des copies de l'information et avons diffusé les nouvelles aux compagnons de pratique. De cette expérience, nous avons appris que nous devions continuer à propager le Fa aux gens et nous rendre à Pékin pour valider le Fa.
Après la conférence de la Loi, nous nous sommes rendus sur la Place Tiananmen la veille du Nouvel An chinois en 2000. À l'époque, un grand nombre de pratiquants de tous les coins du pays allaient à Pékin. Par conséquent, lorsque nous sommes arrivés à la rue Changan, nous avons vu des rangées de policiers postés à tous les quelques dizaines de mètres afin d'empêcher les piétons de pénétrer sur la Place Tiananmen. Accompagné par un compagnon de pratique, j'ai pu franchir plusieurs barrages. Comme nous approchions de la place, j'ai accéléré mon rythme afin d'être en mesure de déployer une banderole. Une bande de policiers s'est précipitée vers moi, et, par conséquent, j'ai été enfermé dans un véhicule de police. Pendant ce temps, les sons de « Falun Dafa est bon ! Falun Dafa est la Loi juste ! Restaurez la réputation de notre Maître ! » résonnaient sur la Place, dans la rue Changan et dans les véhicules de police. Les sons se sont répandus tout le long du chemin vers le ciel de Pékin et choquaient les forces du mal.
J'ai été ensuite conduit devant la Cour du Département de police de Tiananmen, où de nombreux pratiquants étaient incarcérés. Nous avons tous crié : « Falun Dafa est bon ! »
Deux jours plus tard, j'ai été ramené à mon unité de travail. En passant par la Place Tiananmen dans le véhicule de police, j'ai vu des pratiquants qui criaient : « Falun Dafa est bon », et des autres qui déployaient des banderoles. Des policiers ont dit que tous les Centres de détention de Pékin étaient remplis de pratiquants de Falun Gong. Je vois encore cette scène héroïque dans mon esprit aujourd'hui. C'est une autre raison pour laquelle je veux écrire cet article : laisser une source de première main de la façon dont les pratiquants de Dafa ont validé le Fa.
4. Créer un environnement de pratique à l'intérieur d'un centre de détention
J'ai été incarcéré dans un centre de détention où les gardes m'ont mis sur un banc du tigre et m'ont enfermé dans une cellule d'isolement pendant trois jours. Après en être sorti, le prisonnier en chef m'a violemment averti : « Ne dites jamais rien au sujet du Falun Gong, et ne pratiquez pas les exercices, mais récitez les règles pénitentiaires rapidement. Je vais vous vérifier dans deux jours. Si vous ne pouvez pas réciter les règles, attendez de voir comment je vais vous punir. » Je lui ai répondu : « Je n'ai violé aucune loi, donc je ne suis pas un prisonnier. Puisque je ne suis pas un prisonnier, bien sûr, je ne vais pas réciter les règles de la prison. Je suis détenu ici parce que je pratique le Falun Gong, et je vais certainement parler du Falun Gong et pratiquer les exercices. » Maître m'a sauvé, et je serais mort maintenant si je n'avais pas pratiqué les exercices. J'avais pris la décision de créer un environnement à l'intérieur du centre de détention pour que les pratiquants puissent pratiquer les exercices en toute liberté.
Je me suis levé à minuit ce jour-là pour pratiquer les exercices. Le prisonnier en chef s'est tout simplement couvert la tête, feignant de ne pas me voir, et a continué de dormir. À 8h du matin, j'ai commencé à pratiquer l'exercice assis pendant l'appel. Le prisonnier en chef a poussé 4 à 5 prisonniers à essayer de m'ouvrir les mains et les jambes de force. Je me suis dit que j'étais un Bouddha. En conséquence, les prisonniers n'ont pas pu me desserrer les membres, peu importe la façon dont ils s'essayaient. En désespoir de cause, le prisonnier en chef m'a frappé la tête par terre. J'ai roulé une fois, je me suis assis et j'ai continué de croiser mes jambes et mes mains qui sont restés soudés. Je n'avais qu'une pensée à ce moment-là : je vais continuer de pratiquer les exercices ! J'ai donc terminé l'exercice assis comme ça le premier jour.
Après, pendant plus d'un mois, chaque fois que je pratiquais l'exercice assis, la cellule entière était dans le chaos : les prisonniers faisaient tout pour m'empêcher de pratiquer. Parfois, 12 d'entre eux à tour de rôle me battaient le visage, les côtes et le dos. Après cela, mon corps me faisait mal comme si j'avais été frappé par la foudre. Ils utilisaient également une petite pince pour tirer sur ma barbe et après mon visage était couvert de sang. Peu importe ce qu'ils faisaient, ils ne m'ont pas empêché de pratiquer les exercices. J'étais déterminé que tant que je pourrais respirer, je pratiquerais les exercices.
Pendant ce temps-là, le Maître m'envoyait des indices le soir pour m'encourager. Une fois, j'ai rêvé que je conduisais un véhicule blindé sur une route de gravier. À la fin de la route, je me suis retourné et j'ai vu qu'il s'était transformé en un boulevard couvert de sable doré. J'ai su alors que je faisais la bonne chose.
Un jour, alors que je pratiquais la méditation assise, les prisonniers m'ont mis une bassine d'eau froide sur la tête et ont dit : « Si tu ne renverses pas d'eau aujourd'hui, tu auras l'autorisation de pratiquer les exercices à partir de maintenant. » Assis les jambes croisées, je ne bougeais pas, même pas un peu, et, par conséquent, pas une seule goutte d'eau a été renversée. Ils ont dit : « Le Falun Gong est remarquable. À partir de maintenant, tu peux pratiquer de n'importe quelle manière que ce soit. Tu as l'autorisation de pratiquer les exercices maintenant. »
À partir de là, je m'entendais très bien avec eux. Je leur ai dit comment le Falun Gong enseignait aux gens à être bons. Deux mois plus tard, tous les pratiquants détenus ont commencé une grève de la faim collective pour protester contre l'incarcération illégale et ont demandé à être libérés. Après cela, nous avons tous été libérés sans condition.
5. La musique mélodieuse des exercices s'est envolée à travers la place
Lors de l'anniversaire du Maître, le 13 mai 2000, de nombreux pratiquants voulaient sortir. Nous avons décidé que les pratiquants qui pouvaient aller à Pékin partiraient le 10 mai, et ceux qui ne pouvaient pas aller à Pékin iraient à la place de la ville le 11 mai pour pratiquer les exercices ensemble.
À 4h30, le 11 mai, je suis arrivé à la place de la ville avec quelques dizaines de pratiquants. Un pratiquant a apporté un gros magnétophone et a commencé à faire jouer la musique des exercices haut et fort. Tout en suivant la musique, nous avons pratiqué les exercices calmement. Les mouvements familiers, ainsi que la musique mélodieuse, ont rempli la place. Les gens qui étaient là pour faire d'autres pratiques, ainsi que des résidents à l'intérieur des bâtiments voisins, tous se sont arrêtés pour nous regarder. Les agents de police sont également venus, mais personne ne nous a arrêtés. C'était comme si tout ce qui nous entourait était gelé. Certains se sont demandés si le Falun Gong était disculpé. Nous avons ensuite terminé les quatre premiers exercices. Le simple fait que la musique du Falun Gong ait été joué sur le parvis de l'édifice municipal pendant une heure entière fut un miracle.
Le fait que tant de pratiquants de Falun Gong aient publiquement osé pratiquer les exercices sur la place de la ville était devenu la plus grande nouvelle dans notre région. Beaucoup de gens avec des pensées droites ont dit : « Les pratiquants de Falun Gong sont supers. » Cet événement a grandement choqué les forces de la perversité et a encouragé les autres compagnons pratiquants.
Ensuite, j'ai été envoyé dans un camp de travail forcé pendant plus d'un an. Avec des pensées droites, j'ai pu m'échapper du camp de travail forcé en août 2000.
6. Le Maître a le dernier mot sur tout : j'ai retrouvé mon travail et mon salaire
Après avoir été incarcéré en 2000, autant le salaire de ma femme que le mien ont été retenus. J'ai dû vendre des fruits dans la campagne pour gagner notre vie. J'ai accroché des affiches du Falun Gong sur des poteaux électriques partout où je voyageais. Certaines de ces affiches étaient encore en place quelques années plus tard.
J'ai également écrit une lettre au chef politique du canton et je la lui ai livrée en main propre. Deux jours plus tard, ma femme a été libérée du centre de détention. Après que ma femme soit revenue, nous avons étudié le Fa ensemble et nous nous sommes éveillés sur le fait que nous n'aurions pas dû perdre nos emplois parce qu'ils nous avaient été donnés par le Maître pour valider le Fa. Nous devions complètement nier les arrangements de la perversité et retrouver nos emplois. Nous avons immédiatement commencé à travailler à l'obtention de nos emplois.
J'allais souvent vendre des fruits à l'entrée de mon unité de travail à la fin de chaque journée pour clarifier la vérité à mes collègues. Plus tard, j'ai cessé de vendre des fruits, mais de temps à autre, je suis allé parler au directeur de mon unité de travail pour lui demander de retrouver mon travail. Au début, il était cruel, mais j'ai gardé une attitude calme et paisible. Plus il était excité, plus je restais calme. En conséquence, il est devenu amical et était prêt à m'écouter. Finalement, il a accepté de me laisser retourner au travail.
J'ai commencé à écrire une lettre de clarification de la vérité au directeur nouvellement promu du canton. Enfin, en 2002, ma femme et moi, ainsi qu'un autre pratiquant, sommes retournés au travail, et les salaires retenus nous ont été rendus.
7. Refuser de signer un contrat pervers, je vais au travail comme d'habitude
Je travaillais avec diligence à mon travail et les directeurs de l'unité de travail m'ont fait confiance. J'ai profité de la commodité de l'ambiance de travail et j'ai clarifié la vérité à mes collègues et amis.
En avril 2004, tous les organismes gouvernementaux et les unités de travail dans toute la province ont exigé que tous les employés signent « un contrat de travail. » Cependant, un article dans le contrat déclarait : « Les pensées et les actes doivent strictement respecter le Gouvernement central du PCC. »
Tous les pratiquants qui travaillaient dans le même système que nous, ont étudié : « Enseignement de la Loi à la conférence de Loi internationale à New York »
« Un être sera ce que contient sa tête, pour ce qui sera éliminé et pour ce qui sera résolu avec bienveillance, tout sera joué en un clin d’œil. Certaines personnes diront qu'elles croient juste dans un certain parti politique ou qu'elles veulent juste travailler pour ce parti. Si la Loi de l'Univers considère que ce parti est bon, alors en un clin d’œil elles seront gardées ; si la Loi de l'Univers considère que ce parti est pervers, alors elles seront éliminées quand ce moment arrivera. À ce moment-là, on ne clarifiera plus la vérité ni ne donnera plus d’occasion de pouvoir connaître. À ce moment-là, il ne sera plus question de tout cela, vous faites partie de ce dont vous êtes rempli, c'est-à-dire qu'on vous considère comme un de ses éléments. Une personne sera une partie de ce que sa tête contient, tout sera joué en un clin d’œil. »
Nous avons tous convenu que nous ne devrions pas signer nos noms sur ce contrat. Cependant, si l'on refusait de signer, nous pouvions être renvoyés. Un compagnon de pratique a dit : « Nous ne signerons pas, même si nous sommes renvoyés. » Ma femme et moi, nous nous sommes sentis sous pression parce que nous risquions de perdre nos emplois à nouveau.
J'ai partagé avec mon épouse, et elle a dit : « Ce contrat est contraire au Fa. Les forces de la perversité l'utilisent comme un moyen pour détruire les êtres. Nous ne devons pas l'accepter et tu te dois de refuser de le signer. Nous suivons les exigences du Maître. Pourquoi devrions-nous perdre nos emplois, si nous faisons la bonne chose ? »
Nous avons aussi partagé notre compréhension avec quelques pratiquants le lendemain. Au travail, le chef de l'unité de travail a dit que si nous refusions de signer le contrat, cela signifiait que nous portions atteinte à la « réforme. » Je lui ai dit : « Aucun contrat devrait être contraire à la loi. Ce contrat vise à contrôler nos pensées. Comme chef de l'unité de travail, vous devriez protéger les droits juridiques de base de vos employés. Aider les gens de bonne volonté vous apportera des bienfaits. »
Aucun des pratiquants n'a signé le contrat, mais nous avons tous gardé nos emplois. Cela n'aurait pas été possible sans notre conviction inébranlable. Quand j'ai refusé de signer le contrat, certains collègues bienveillants qui avaient peur que je perde mon travail ont publiquement condamné le PCC.
8. Propager la vérité partout; marcher avec droiture sur le chemin pour sauver les gens
En tant que vendeur de fruits, je voyageais dans chaque ville et village dans un rayon de 10 milles (plus de 16 km). En plus de clarifier la vérité aux gens directement et de produire des affiches de clarification de la vérité, je voulais aussi distribuer ces documents directement aux gens
Dans le passé, les agriculteurs avaient été profondément pollués par la propagande du PCC et possédaient une attitude hostile envers les pratiquants de Dafa. Des pratiquants ont été arrêtés quand ils sont allés à la campagne pour distribuer des documents de clarification de la vérité. J'ai commencé à distribuer des documents dans la campagne, le soir, sur mon vélo. Après un certain temps, un compagnon de pratique m'a rejoint. Jusqu'en 2004, nous avions couvert toutes les régions que nous pouvions atteindre en vélo. Pour atteindre les zones les plus reculées, j'ai acheté une moto. À ce stade, nous avons couvert presque toutes les villes et villages de notre région. Parfois, lorsque les villageois voyaient les pratiquants venir, ils criaient : « Falun Dafa est bon ! »
Traduit de l'anglais au Canada