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Minghui de Fahui | N'oublions pas que nous sommes des pratiquants de Falun Dafa

28 janvier 2013 |   Écrit par un pratiquant de Dafa de la province du Shanxi, Chine

(Minghui.org)

Bonjour, vénérable Maître, et bonjour, compagnons de pratique !

Je suis reconnaissant envers le Maître de m'avoir offert le salut et de nous donner un autre Fahui via Internet pour partager nos expériences.

Je suis pratiquant vétéran de Falun Dafa dans la cinquantaine, ayant entamé le chemin de la cultivation en 1996. J'ai fait face à des procès, j'ai abandonné des attachements et j'ai manqué de diligence à certains moments, mais le Maître a toujours été à mon côté. Je ne décevrai ni le Maître, ni les êtres, et j'accomplirai ma mission historique comme je l'ai promis il y a tant d'éons.

Je voudrais vous partager mes expériences de cultivation, de regarder à l'intérieur, de la vraie cultivation et comment clarifier les faits sur le Falun Dafa de personne à personne.

Regarder à l'intérieur inconditionnellement

Il n'y a pas longtemps, j'ai eu un désaccord avec un compagnon de pratique et nous étions contrôlés par l'esprit de compétition. Nous savions que notre attitude était mauvaise, mais aucun de nous n'était prêt à faire des concessions. Comme nous cherchions à nous éviter mutuellement, nous avons quitté le groupe d'étude et étudié le Fa à la maison. Nous avons oublié que nous étions des pratiquants au cours de la période de rectification de Fa et que nous devrions faire preuve de compassion. Notre action s'est traduite par la création d'une lacune importante qui a permis aux facteurs pervers de s'implanter et certains au sein de notre groupe d'étude ont commencé à montrer des symptômes de maladie.

Qu'est-il arrivé pour que nous nous trouvions dans ce pétrin ? Un pratiquant a demandé si nous pouvions nous rencontrer dans la soirée, compte tenu de la chaleur excessive de l'après-midi. J'ai attaqué et j'ai dit : « Le temps pour sauver les êtres est le plus urgent. Comment la chaleur peut-elle interférer dans le salut des êtres. Nous devons faire les trois choses pour nous qualifier en tant que pratiquants. Un bon pratiquant ne se laissera pas arrêter par le vent ou la pluie. » Ce pratiquant a répondu : « Vous êtes assez critique quand il s'agit de moi. Je peux me tromper, mais vous pourriez parler avec un peu plus de compassion. » J'ai de nouveau attaqué et j'ai dit : « Oui, je ne parlais pas avec compassion, mais je vous aidais à vous améliorer. Que vous souhaitiez vous améliorer ou non dépend de vous. »

Après cela, nous avons eu beaucoup de conflits mineurs et un sentiment d'amertume, l'esprit de compétition et la jalousie ont fait surface. J'ai cessé de fréquenter le groupe d'étude. Quand j'ai regardé à l'intérieur, je n'ai vu que les erreurs des autres. Un jour, j'ai rendu visite à une pratiquante âgée qui m'a demandé pourquoi je ne fréquentais plus le groupe d'étude. Je lui ai répondu que les pratiquants ne voulaient pas entendre ce que j'avais à dire. Elle m'a dit que quand il y avait un conflit, nous devions regarder à l'intérieur de manière inconditionnelle, ce qui était la véritable signification de la cultivation comme indiqué dans « Enseignement de la Loi donné aux pratiquants australiens ». Elle a dit que des déclarations similaires pourraient être trouvées dans le livre Zhuan Falun.

Le Maître a dit :

« Ainsi à l'avenir, dans votre pratique de gong, vous allez rencontrer toutes sortes d'épreuves dues aux démons. Sans ces épreuves-là, comment pourriez-vous cultiver ? À supposer que tout le monde s'entende bien, sans aucun conflit d'intérêts, sans aucune interférence venant de l'esprit des hommes, vous n'auriez qu'à rester assis là et votre xinxing s'élèverait ? Cela ne marchera pas. » (Zhuan Falun)

Elle m'a dit que les conflits se produisaient dans le but d'améliorer notre caractère. En traitant avec les autres pratiquants, nous devrions faire preuve d'indulgence, de tolérance et de regard sur leurs points forts. La discussion avec cette pratiquante a aidé mon esprit à se calmer. J'ai étudié et récité le Fa tranquillement. Le Maître a dit :

« C'est lui qui a raison

C'est moi qui ai tort

Qu’y a-t-il à débattre »

(« Qui a raison, qui a tort » de Hong Yin III)

Comprendre la vraie valeur et regarder à l'intérieur

Maintenant je me rends compte qu'au cours des dix dernières années et plus où j'ai rencontré un conflit, j'ai toujours appliqué le Fa pour les autres et non pour moi. Je voulais que les autres cultivent au lieu de moi. Je n'ai pas remarqué cette omission grave de toujours regarder vers l'extérieur au lieu de véritablement regarder vers l'intérieur. Quand je voyais des pratiquants utiliser des conceptions humaines, je me sentais très mal à l'aise. Je ne savais pas que les attachements et les conception humaines que je remarquais étaient celles que je me devais d'éliminer. C'était pour moi l'occasion de me perfectionner. Le Maître a dit :

« En fait, cela veut dire que d'un niveau à l'autre la même Loi varie et se manifeste sous des formes différentes, et pour les pratiquants elle peut jouer un rôle de guide à des niveaux différents. » (Zhuan Falun)

Les pratiquants ont leurs propres états de cultivation, qui sont déterminés par leur niveau de compréhension. Peut-on atteindre la plénitude parfaite en insistant sur son propre niveau de ce qui est bien ou mal ? Quand j'ai regardé tranquillement en moi-même, j'ai constaté que j'avais une croyance ferme dans les moyens des gens ordinaires et la culture du Parti communiste chinois (PCC). Ces conceptions erronées ont été causées par ma propre incapacité à me cultiver. Je n'avais pas l'esprit tranquille quand je faisais les exercices ou quand j'étudiais le Fa et je me fâchais avec les autres. Ceci a eu un impact négatif sur notre groupe d'étude.

Une fois avoir compris mon omission, j'ai été pris de remords et je voulais m'excuser auprès de mes compagnons de pratique. Je suis allé à la maison du compagnon de pratique que j'avais critiqué. De façon inattendue, quand il m'a vu, il s'est excusé. Il a dit que ce que je lui avais dit était juste et que son attitude de recherche du confort et sa crainte des critiques étaient erronés. Je me sentais vraiment bien parce que le Maître nous avait guidés tous les deux afin de nous faire progresser. Notre groupe d'étude est revenu à un état positif.

Je suis reconnaissant envers la compagne de pratique qui m'a rappelé la façon de regarder vers l'intérieur. À partir de maintenant, je regarde toujours à l'intérieur chaque fois qu'il y a un problème.

Clarifier les faits de personne à personne

Lorsque le PCC a tenu son dix-huitième congrès, la zone a été saturée d'agents d'infiltration. J'ai pensé : « Nous nous dirigeons vers la divinité. Nous suivons le Maître, faisons les trois choses et refusons tout type d'interférence. Nous continuons à faire ce que nous devons faire, qui est de sauver les êtres. »

Au cours des dernières années, la distribution de documents de clarification de la vérité et la clarification des faits de personne à personne au sujet du Falun Dafa s'est très bien passée. La plupart des gens ont accepté : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Et ils étaient prêts à démissionner de la Ligue de la Jeunesse, des Jeunes Pionniers et du PCC. J'ai rencontré des jeunes et des personnes âgées, des gens de tous les horizons de la vie. Ils ont choisi un bel avenir pour eux-mêmes. Ces dernières années m'ont aidé à acquérir une plus grande confiance.

Lorsque je sortais pour clarifier les faits de personne à personne, j'émettais la pensée droite. Par conséquent, tous les facteurs d'interférence et la perversité étaient supprimés. J'ai aussi demandé au Maître de m'amener ceux qui avaient une affinité prédestinée.

Je contactais des gens et si quelqu'un ne voulait pas se retirer du PCC et de ses organisations affiliées, je ne leur mettais pas de pression. Si quelqu'un voulait me dénoncer à la police, j'émettais la pensée droite pour éliminer le mauvais esprit qui le contrôlait. Bien sûr, il y a eu des cas où les choses ne marchaient pas, mais j'ai réalisé que c'était soit par fanatisme, soit par manque de compassion de ma part.

Les personnes ayant l'affinité prédestinée me disaient en général « Falun Dafa est bon » et j'étais heureux pour eux. J'essayais de garder mes pensées fixées sur le salut des êtres, parce que sinon mon espace aurait été pollué et des facteurs négatifs seraient apparus et auraient interféré avec ce que je faisais. Donc surveiller mes propres pensées était important. Une fois, je suis allé à la place du marché dans l'espoir de rencontrer des gens prédestinés. Quand j'en sentais un à proximité, il s'arrêtait, attendant que je vienne. Rapidement, je lui faisais faire les trois démissions et je lui donnais des documents de clarification de la vérité.

Il y avait un maraîcher qui vendait des légumes sur un marché. J'ai découvert qu'il était membre du parti, mais n'avait pas payé sa cotisation au PCC. Lorsque je lui ai conseillé de se retirer du PCC, il a dit qu'il avait reçu de l'argent du PCC et qu'il ne voulait pas aller à l'encontre des grands garçons. Je lui ai dit que cela n'allait pas contre qui que ce soit, mais que c'était seulement pour sa sécurité personnelle. Toutefois, il ne voulait pas se retirer. Une fois de retour chez moi, je me sentais très mal à l'aise. J'ai décidé que je devais avoir plus de compassion et lui parler à nouveau.

Le lendemain, je suis allé le voir et tout en achetant des légumes, je lui ai dit : « Oncle, quel âge as-tu ? » Il a dit qu'il avait 58 ans. Il paraissait plus vieux que son âge et je lui ai demandé ce qu'il faisait quand il était jeune. Il a dit qu'il était chauffeur de camion. Je lui ai demandé s'il avait souvent payé des amendes. Il était agité et il a dit : « Aujourd'hui, les fonctionnaires sont cupides et corrompus. » Je lui ai parlé de la corruption du PCC, de ses nombreux mouvements et de la répression du peuple chinois. Il était d'accord avec ce que je disais. Je lui ai dit qu'à partir du moment où il savait que le Parti était pervers, il ne devait pas se laisser duper et devenir un descendant marxiste-léniniste au lieu d'un fils du peuple chinois. Quand je l'ai payé pour les légumes, il m'a donné un billet en échange avec des mots écrits dessus. Il m'a demandé : « Qu'est-ce que les mots sur ce billet veulent dire ? » J'ai répondu : « Vous êtes béni si vous distribuez ce billet. Les mots écrits sur le billet sont : 'Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon.' et 'Le ciel va détruire le PCC. Pour votre sécurité démissionnez du PCC.' Le Falun Dafa est le Fa de Bouddha. Il fournit des conseils aux gens pour qu'ils puissent élever leur niveau moral et devenir de meilleures personnes qu'elles ne le sont maintenant. Depuis les treize dernières années, le PCC a persécuté les pratiquants de Dafa et environ quatre mille pratiquants sont morts des suites de la persécution. Le bien est récompensé par le bien et le mal rencontre le mal est une loi de la nature. Cela a été vrai à travers les âges. Quand le ciel détruira le PCC, vous ne voudrez pas en faire partie. » Il a dit : « Je vais démissionner. » Je lui ai donné le surnom de « personne prédestinée ».

Ce ne sont là que quelques-unes des histoires que je pourrais raconter. Ce que j'ai fait est très peu par rapport à ce que le Maître veut. Je mettrai de plus en plus d'efforts à faire les trois choses, à suivre la rectification de Fa et à cultiver d'une manière digne. Je vais éliminer mes attachements, regarder vers l'intérieur et nier les arrangements des forces anciennes. Je serai un véritable pratiquant qui retournera à la maison avec le Maître.

Ce qui précède est mon expérience de cultivation. Veuillez signaler tout ce qui est non conforme !

Merci !

Heshi

(Neuvième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada