(Minghui.org) Du point de vue des gens ordinaires, mon mariage était une erreur et le sort n'a jamais été « juste » envers moi. Je suis née dans la famille d'un officier de l'armée, mais les deux parents de mon mari étaient employés d'usine. J'ai été employée dans une grande entreprise d’État, alors que mon mari a travaillé dans une petite entreprise collective et est devenu plus tard chômeur. J'aimais la littérature, la musique, l'art, la lecture et la propreté, alors qu'il avait du plaisir à boire, fumer, mâcher de la noix de bétel et se moquait de la propreté. Il était négligé et crachait même partout où il en avait envie.
J'étais inébranlable dans tout ce que je faisais et digne de confiance, alors qu'il aimait se vanter, mentir, il manquait souvent à sa parole et terminait rarement les choses. J'ai pris soin de ma famille et j'ai éduqué nos enfants alors qu'il était égoïste, glouton, paresseux et qu'il restait souvent dehors toute la nuit. J'étais ouverte et prête à prendre des responsabilités alors qu'il était têtu, borné, timide et indécis. J'ai chéri le mariage, les liens familiaux et leurs sentiments, alors qu'il n'avait pas le sens des responsabilités et qu'il avait des liaisons extra-conjugales. Je l'ai épousé contre la volonté de mes parents et à la suite d'une étrange coïncidence.
Un an après que nous nous sommes mariés, notre enfant est né et la vraie nature de mon mari s'est révélée. Comme notre situation financière empirait, j'ai commencé à regretter de l'avoir épousé. Il a quitté son travail et a tenté de se lancer dans les affaires, mais il a échoué dans tout ce qu'il a fait et j'ai dû aider à payer ses dettes. Je pleurais tous les jours et j'étais très malheureuse. Il n'a pas semblé remarquer ce grand changement en moi et a continué à faire ce qui l'intéressait. J'ai commencé à discuter avec lui et me sentais tellement en colère que j'étais sur le point de m'effondrer mentalement. Je lui ai dit que je voulais divorcer. Chaque fois que je soulevais cette question, il me donnait l'occasion d'entrer dans un accès de rage, puis il quittait la maison. Quelques jours plus tard, il voulait revenir comme si rien ne s'était passé. Sous aucun prétexte il n'accepterait de divorcer. Afin de donner à mon enfant ce qu'il faut pour avoir une famille complète, j'ai enduré la douleur et la souffrance, j'ai lutté tout au long et je me suis sentie découragée et perdue jour après jour, année après année.
En 1996, j'ai commencé cultiver dans le Falun Dafa. Le Maître nous a enseigné à nous conduire selon Authenticité-Bienveillance-Tolérance et à considérer toujours les autres d'abord et à être altruiste. Les gens deviennent mari et femme parce qu'ils ont des liens prédestinés et nous devons tous rembourser nos dettes karmiques. J'ai compris qu'en tant que pratiquante, je ne devrais pas essayer de résoudre les problèmes en divorçant de mon mari. Cependant, à cause de mes attachements à la renommée et à mes intérêts personnels, ainsi que l'influence et l'interférence de la société dégénérée moralement dans son ensemble, je ne voulais pas prendre la responsabilité de mon « injuste » réalité. En conséquence, j'ai trébuché sur mon chemin de cultivation dans la manière gérer la relation avec mon mari.
Je dois dire cependant que pendant les 17 années de ma cultivation, surtout quand Dafa a été persécuté par le Parti communiste chinois (PCC), quoi qu'il arrive – quand j'ai été arrêtée pour avoir été à Pékin faire appel pour Dafa, quand j'ai été envoyée au travaux forcés et que ma peine a été prolongée d'une autre année parce que j'ai refusé d'être transformée, quand j'étais surveillée et harcelée par ceux du comité de quartier qui ne connaissaient pas la vérité, quand les compagnons de pratique sans abri sont venus chez moi pour chercher de l'aide, quand les pratiquants sont venus chez moi pour étudier le Fa et partager des expériences, ou quand j'ai clarifié les faits avec des documents sur la vérité, je ne pouvais pas m'empêcher de remarquer l'attitude de mon mari. Il a toujours reconnu Dafa ! Il a aussi fait la promotion de Dafa à ses amis. Il a enduré la persécution et m'a toujours soutenue, il m'a même aidée à envoyer des lettres de clarification. Il a accueilli chaleureusement chaque compagnon de pratique qui est venu chez nous. J'ai pensé : « Il est capable de faire tout çà aux étapes finales de la période de la fin du Dharma. Quel être extraordinaire est-il ! »
En suivant les enseignements du Maître et à travers l'étude de Fa, j'ai tempéré mon cœur lorsque je rencontrais de nombreux tests. J'abandonnais les attachements et regardais à l'intérieur. J'ai compris peu à peu, « Comment puis-je juger et traiter une personne avec des idées égoïste et de bas niveau basées sur mes propres attachements à la renommée, aux intérêts personnels et aux sentiments – un être auquel j'aurais pu avoir nui profondément dans ma vie précédente ? ». Le Maître veut sauver tout le monde.
Une fois que j'ai eu une compréhension plus claire des principes de Fa, j'ai essayé de les mettre en pratique. Mais mon cœur a rencontré de nouvelles turbulences quand j'ai appris récemment que mon mari souffrait d'un cancer rectal qui s'était déjà propagé au foie. Il avait besoin d'être opéré, de suivre une chimiothérapie et cela coûterait beaucoup d'argent. Même avec le traitement, il ne pourrait avoir que deux ans à vivre.
Ma première pensée a été qu'il ne se souciait jamais de notre fille ni de moi. Quand il était en bonne santé, il se laissait tenter par la nourriture, la boisson, le jeu et la prostitution. Quand il faisait des affaires, j'étais constamment inquiète pour lui. J'ai également dû payer de nombreuses fois ses dettes. Quand j'ai été détenue dans des camps de travaux forcés et que je souffrais, il se livrait aux plaisirs sensuels et avait des relations extra-conjugales. Durant ma détention, il ne m'avais jamais donné un centime et même mon papier de toilette a dû être payé par des compagnons de pratique. Après être sortie, j'ai trouvé trois emplois pour subvenir aux besoins de la famille. Dans un emploi, je vendais du porc et j'étais méthodique. Je lavais des poulets et des canards dans l'eau froide pendant l'hiver. Je travaillais dur pour subvenir aux besoins de la famille et soutenir les études universitaires de ma fille.
En ce moment, mon mari n'a pas de travail, aucune source de revenus, pas d'assurance maladie et pas de sécurité sociale, et je n'ai que 1700 yuan par mois de pension de retraite. Pour son estime de soi, je lui donne 200 yuan par mois comme argent de poche. Quand je lui donne l'argent pour les courses, il achète des ingrédients extravagants comme des tortues, des ouaouarons et des anguilles et il cuisine lui-même un bon repas. Il refuse d'arrêter de fumer et de boire et ne veut pas faire d'exercices. J'ai pensé : « C'est de sa faute s'il a maintenant un cancer ! »
En Chine aujourd'hui,ce que les gens redoutent le plus, c'est d'être malade. Cela coûte plus de 1 000 yuan si un enfant attrape un rhume ! En tant que mari, il n'a jamais pris la responsabilité d'entretenir la famille. Maintenant, il a un cancer et je dois dépenser de l'argent pour son traitement et prendre soin de ses besoins quotidiens, mais je n'ai que 50 000 yuan qui m'avaient été laissés par ma mère quand elle est décédée. C'est tout ce que nous avons pour les cas d'urgence. En outre, c'est loin d'être suffisant pour ses traitements et je vais devoir emprunter l'argent pour lui. J'ai presque 60 ans. Dois-je encore faire des petits boulots pour payer ses dettes ? Je ne pouvais pas garder l'esprit calme pour étudier le Fa ou clarifier les faits.
Quand ma fille a appris ces nouvelles, elle s'est accrochée à moi et a crié : « Maman, je suis tellement désolée pour vous ! Vous n'avez jamais eu un jour heureux avec lui et vous avez passé toute votre vie pour cette famille et pour lui, mais il n'a jamais pris soin de nous ! Maintenant nous devons encore emprunter de l'argent et payer pour lui. » Quand ses parents ont appris sa maladie, ils ont dit aussi : « Nous nous sentons si mal pour vous ! Il a eu cette maladie et c'est de sa propre faute ! » Ils connaissaient notre situation financière désastreuse et m'ont persuadée de renoncer de payer pour son traitement. Ils ont même suggéré que je demande aux médecins de lui donner des médicaments pour « réduire ses souffrances ».
Les premiers jours après son opération, j'étais à ses côtés toute la journée, sans manger ni dormir. Je ne lui ai pas dit à quel point sa maladie était grave, de peur qu'il ne soit pas capable de le supporter. J'ai nettoyé ses excréments de la colostomie cinq à six fois par jour et retiré les sacs d'urine de la sonde vésicale pendant que je me souciais de comment faire face aux énormes factures médicales. J'ai réalisé plus tard que c'était aussi un attachement aux intérêts personnels et je n'ai pas réussi à avoir une confiance complète dans le Maître et dans le Fa.
Mon mari souffrait beaucoup et criait souvent après moi. Il ne s'est jamais soucié de savoir si j'avais quelque chose à manger ou si j'avais dormi pendant ces jours, ni de prendre soin de notre situation financière. Lorsque j'avais l'occasion de clarifier les faits au sujet du Falun Gong à d'autres patients dans la salle, il se mettait en colère et essayait de m'arrêter en tapant sur son lit. Je ne pouvais pas étudier le Fa ou faire les exercices et ne pouvais pas rejoindre les compagnons de pratique pour l'étude de Fa et le partage. Je me sentais vraiment misérable, et pendant une seconde, j'ai presque perdu le contrôle de moi-même !
Je suis une disciple de Dafa depuis 17 ans. Mon cœur est rempli des enseignements du Maître et je ne peux pas oublier ma mission et ma responsabilité. Avec les allusions du Maître dans la bouche de ma fille, je me suis rapidement calmée et suis redevenue diligente. Bien que je prenais bien soin de mon mari, j'ai pris le temps d'étudier le Fa, de faire les exercices dans la salle et d'émettre la pensée droite pour éliminer l'interférence envers mon mari dans les autres dimensions et les mains noires et diables pourris qui m'empêchaient de clarifier les faits. Je faisais écouter « Pu Du » aux autres patients et leur disais de se rappeler que « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et je leur ai donné des amulettes.
Un jour, mon mari s'est endormi. Après avoir lu un chapitre du Zhuan Falun, j'ai ouvert le livre Falun Gong de Chine et il s'est trouvé que c'était la partie sur l'élimination du karma.
Le Maître a dit :
« Tout comme la loi céleste, la loi terrestre exige de nous de payer à qui on est redevable. Même un homme ordinaire devra aussi payer son dû. Toute la vie durant, les épreuves et les malheurs qu'on ressent ne résultent que du poids de son karma, parce qu'on doit s'acquitter de ses dettes. Quant à nos vrais pratiquants, ils verront des changements dans la voie de leur vie déjà tracée, ils seront engagés dans une nouvelle voie convenable à la pratique. Le poids du karma que vous portez en vous sera en partie réduit par le maître, et la partie restante servira à élever votre Xinxing. Et vous la rembourserez ou la liquiderez en compensation au moyen de votre pratique et de votre cultivation du Xinxing. Tous les problèmes que vous rencontrez désormais ne seront plus fortuits, il faut que vous y soyez prêt psychologiquement. Il s'agit de vous laisser essuyer des épreuves et de vous faire abandonner tout ce à quoi les gens ordinaires ne peuvent pas renoncer. Vous allez rencontrer beaucoup d'ennuis, et ces problèmes pourront vous arriver de votre famille et de tous les côtés de la société. Il se peut qu'un malheur tombe soudainement sur vous, ou que vous soyez même l'objet de reproches et d'une injustice et que ce soit la faute de celui qui vous donne tort, etc. Normalement, un pratiquant ne devrait pas être malade, mais une maladie sérieuse s'abat sur vous un jour, de façon inattendue et très brutalement, et vous souffrez violemment ; vous vous faites examiner à l'hôpital, mais le diagnostic n'aboutit à rien. Quelque temps après vous êtes guéri tout seul, on ne sait pas comment. En fait, c'est sous cette forme que vous avez remboursé certaines dettes contractées. Peut-être qu'un jour, votre conjoint ou conjointe vous cherche des noises et vous fait une scène sans raison valable, une petite chose peut provoquer une querelle violente, et après coup cela lui paraît ridicule aussi. Comme vous êtes pratiquant, vous devez vous rendre compte pourquoi il vous arrive ce genre de choses, c'est le karma qui vient opérer et vous demande un remboursement. A ce moment-là, vous devez vous maîtriser, garder votre Xinxing pour réduire les disputes à rien, et chérir cette occasion tout en le (ou la) remerciant de vous aider dans votre réduction du karma. (« Réduction du karma »)
Je me sentais comme si je n'avais jamais lu ce paragraphe auparavant et je l'ai lu encore et encore avec des larmes aux yeux, en sentant que c'était très chaud et lumineux dans mon cœur. Je sentais que le Maître était à mes côtés, me protégeant tout le temps dans ma cultivation. J'ai pensé : « Je suis une disciple de Dafa. Le Maître nous a dit que rien n'est accidentel sur notre chemin de cultivation. À ce moment critique, ai-je exigé de moi selon la norme pour un disciple de Dafa ? Ai-je complètement confiance dans le Maître et dans Dafa ? Pourquoi mon mari me traite-t-il de cette façon ? Je dois avoir commis un énorme karma dans ma ou mes vies précédentes qui l'ont blessé si gravement que je dois en subir les conséquences aujourd'hui. Ai-je bien abandonné l'attachement à mes propres intérêts ? Ai-je bien agi en remboursant les blessures avec bonté ? Ne sommes-nous pas ici pour sauver les êtres ? Ai-je la compassion que je devrais avoir ? Ai-je abandonné l'ego et considéré mes actions pour sauver une vie avec une totale compassion ? » Cela fait 17 ans que j'ai commencé la cultivation. Je me sens si honteuse pour les attachements apparents à la renommée, à l'intérêt, au sentiment, à l'égoïsme et aux mauvaises pensées. Je n'ai pas bien cultivé dans ce domaine.
J'ai pensé : « Je dois rembourser les dettes que je devais dans le passé. Je dois saisir cette occasion pour abandonner les attachements égoïstes à la gloire, à l'intérêt personnel et au sentiment et sauver cet homme qui a un lien prédestiné avec Dafa. Je dois le traiter avec soin et bienveillance. Dans un monde élevé, en tant que disciple de Dafa, j'ai cultivé selon « Authenticité-Bienveillance-Tolérance ». Je ne veux pas être attachée à l'argent ou être trompée par les fausses apparences dans cette dimension. Je ne veux pas avoir de regret dans ma cultivation dans Dafa à cause de mes notions égoïstes pitoyables et risibles. » Tout ce qui nous concerne a été arrangé par le Maître et le Maître décide de tout.
Je me suis calmée, j'ai repoussé mes premières inquiétudes et j'ai commencé à fredonner des chansons de Dafa. J'ai dit à nos parents qui sont venus voir mon mari : « Je l'ai épousé dans cette période de vie et il est mon mari. Je ne peux pas rester là quand il a besoin de soins d'urgence. C'est une vie que nous partageons. Je ferai tout ce qu'il faut pour aider à le sauver. Si je n'ai pas assez d'argent, je vendrai la maison. »
J'ai aussi parlé à mon mari des miracles que Dafa a apporté aux gens et de la miséricorde et la grâce sans limite du Maître. Je n'ai pas essayé de lui faire la leçon ou de le plaindre sur quoi que ce soit. Je lui ai juste montré de l'amour profond et chaleureux et j'étais optimiste pour lui. Dans le même temps, les compagnons de pratique sont aussi venus pour l'encourager et l'aider, tout en validant le pouvoir de guérison de Dafa selon leurs propres expériences.
Le Maître a dit :
« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du Maître » (Zhuan Falun)
Quand mon cœur était droit, la compassion et la sagesse ont aussi émergé et une situation apparemment désespérée s'est complètement retournée. Mon mari qui n'a jamais cru dans le pouvoir miraculeux de Dafa, a dit qu'il aimerait cultiver dans Dafa et a renoncé à sa première idée insistant sur la chimiothérapie. Quand il est sorti de l'hôpital, le coût était d'un peu moins de 50 000 yuan, ce que nous pouvions payer. Après que les point de sutures aient été enlevés, mon mari a demandé à écouter les conférences de Fa du Maître dès que nous sommes rentrés à la maison. Après chaque conférence, il me demandait de m'asseoir à côté de lui et de partager sa compréhension des principes de Fa. Il a dit aussi que dès que sa blessure sera guérie, il voudrait commencer les exercices et se joindre à moi pour faire les choses afin de sauver les êtres. Le Maître a mentionné dans son enseignement :
« Entendre le Tao le matin, pouvoir mourir le soir. »
(« Se fondre à la Loi » dans Points essentiels pour un avancement assidu »)
C'était l'éveil d'un être, la nouvelle vie d'un être dans l'éternité !
J'ai observé tout cela avec un esprit joyeux et paisible. J'ai été profondément inspirée par la grande compassion et les merveilles de Dafa et j'ai expérimenté la grâce illimitée et le salut rigoureux du Maître. J'ai réalisé que mon affinité avec mon mari était en fait prédestinée et que devrions tous deux cultiver dans Dafa. Je n'ai pas réalisé cela plus tôt lorsque j'étais confuse. Ce n'est qu'en nous purifiant et en cultivant bien que nous pouvons remplir notre promesse !
Deux miracles me sont arrivés la veille. Le premier s'est passé quand j'essayais notre vélo électrique. Un chauffeur de taxi qui roulait à grande vitesse m'a touchée par derrière. J'ai été jetée en l'air et puis je suis tombée sur le sol. L'arrière de ma tête a heurté fortement le sol, le vélo électrique en-dessous de moi a glissé en avant et le rétroviseur, les protections sur les côtés et le seau à l'arrière ont tous été réduits en pièces.
Les gens se sont rassemblés autour de moi et je les ai entendu crier en état de choc : « C'est fini pour elle ! Elle est morte ! » J'étais couchée là tranquillement, sans ressentir de douleurs. J'ai touché l'arrière de ma tête et me suis relevée doucement. J'ai vu que j'étais pieds nus parce que mes souliers avaient été enlevés lors de l'impact. J'ai vu mon pied gauche saigner un peu, mais il ne faisait pas mal. Un homme de trente ou quarante ans est venu à côté de moi et a dit : « Vous avez beaucoup de chance ! »
Il s'est ensuite tourné vers le chauffeur de taxi qui me regardait choqué : « Donnez-lui de l'argent ! Vous l'avez si gravement touchée. Donnez- lui tout de suite son argent ! » Les spectateurs ont aussi dit qu'il devait me payer. Quelqu'un m'a demandé d'aller à l'hôpital pour passer un examen. J'ai répondu à cet homme : « Je pratique le Falun Gong. Je suis protégée par mon Maître. Tout ira bien pour moi. » L'homme regardait toujours en disant : « Qu'est-ce que cela a à voir avec le Falun Gong ? Laissez-le vous payer ! » Mais le chauffeur de taxi a commencé à se plaindre de moi en disant que j'étais en tort et que je m'étais mise dans son chemin.
Je savais que tout le monde me regardait. Alors je me suis tournée vers le chauffeur de taxi et lui ai dit à voix haute : « Je ne veux pas vous causer de problèmes. Ne vous inquiétez pas. Parce que je pratique le Falun Gong, je suis protégée par mon Maître. Nous cultivons la grande Loi de l'école de Bouddha et sommes bénis par les dieux. Tout ira bien pour moi. Cependant, vous conduisiez trop vite, cela est très dangereux. J'espère que nous ne conduirez plus si vite. Vous devez faire attention à la sécurité. Vous devez vous rappeler que « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et en cas de catastrophe, vous serez épargné. » J'ai entendu les gens me dire : « Ne le laissez pas s'en aller. Les policiers sont arrivés. Il vous a touchée. Laissez-le payer ! »
Je ne voulais pas perdre plus de temps avec la police, alors quand j'ai vu que le chauffeur de taxi prenait à contre cœur 100 yuan pour me les donner, je lui ai dit avec un sourire : « Je ne veux pas vous causer de problèmes. Je pratique le Falun Gong et je suis protégée par mon Maître. Vous devez vous rappeler que « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » Vous serez béni en faisant ainsi. » En disant cela, je suis remontée sur mon vélo électrique et me suis éloignée alors que les spectateurs clamaient leur surprise. Avec une épreuve pareille, si j'avais été une personne ordinaire, j'aurai été paralysée, si ce n'est tuée. Le Maître a enduré toutes les souffrances pour moi !
Le deuxième incident s'est produit ce soir-là. Après avoir terminé toutes les tâches et m'être assise devant l'ordinateur pour naviguer sur le site Minghui, j'ai vu tout à coup l'article que j'avais soumis l'an passé lors du Neuvième Fahui de Chine sur Minghui (dans lequel j'avais aussi évoqué comment j'avais passé les épreuves dans la façon de faire avec mon mari). Il n'avait pas été sélectionné alors. J'ai réalisé que c'était parce que j'étais loin derrière en comparaison avec les compagnons pratiquants et que j'avais encore beaucoup d'attachements. Je dois me dépêcher et bien me cultiver. Aujourd'hui, un an après, juste quand j'ai commencé à « bien équilibrer » en faisant face aux conflits avec mon mari, Minghui publiait mon article. Que cela indique-t-il ? J'ai réalisé que c'était un encouragement du Maître plein de compassion. J'avais été plutôt lente à m'éveiller aux principes de Fa.
Maître, moi, un être confus avec tant de karma, je vous ai donné tant de mal sur mon chemin cahoteux de cultivation, mais vous m'avez toujours donné le meilleur, le plus ! Je ne peux exprimer en mots mes remerciements pour votre grande grâce sans limite ! Je ne peux que m'agenouiller devant votre portrait et vous dire du fond de mon cœur : « Je veux bien me cultiver ! Je veux aider le Maître à sauver plus de personnes qui ont des liens d'affinité avec Dafa ! »