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Ce que le PCC tente de dissimuler sous la censure d’Internet et les cyber-attaques

26 mars 2013 |   Écrit par Zhong Yan

(Minghui.org) Selon le Wall Street Journal, l’homme d’affaire suédois Frederik Bergman a rencontré un problème en Chine : chaque fois qu’un client particulier en Suède essayait de transférer des fichiers vers le bureau de sa société en Chine, sa connexion Internet était coupée pendant environ une heure ! Après plusieurs semaines à subir de multiples coupures chaque jour, il a finalement découvert pourquoi cela se produisait : les fichiers contenaient le nom de la ville suédoise de « Falun ».

Parce que le nom de la ville contenait le mot « Falun », cela a sans doute déclenché les filtres de la censure en ligne en Chine visant à bloquer les discussions concernant le Falun Gong, une cultivation pratique interdite par le régime communiste en Chine.

Diakrit, la société de M. Bergman, fabrique des visites virtuelles et des modèles tridimensionnels pour des promoteurs immobiliers et doit livrer chaque jour jusqu’à un millier de plans. « Subir deux ou trois coupures par jour pendant plusieurs semaines nous a beaucoup affectés, » a déclaré M. Bergman. Une fois que les fichiers ont été renommés, les transferts se sont déroulés sans problème.

Récemment, le Washington Post a rapporté que les réseaux de presque tous les organes gouvernementaux de Washington, des bureaux du congrès, des agences fédérales, des groupes de réflexion, des cabinets juridiques, des organisations d’informations jusqu'aux groupes des droits de l’homme et des ambassades ont été infiltrés par des pirates du régime communiste chinois (PCC). Ceci a une fois de plus attiré l’attention des médias.

De la censure à l’intérieur de Chine aux cyber-attaques dans les pays occidentaux, le régime du PCC vise non seulement à obtenir des avantages commerciaux et économiques, mais sa véritable motivation est de contrôler l’opinion publique à l’intérieur et à l’extérieur de Chine.

En attaquant des sites Internet clarifiant les faits, il chercher à dissimuler ses crimes contre l’humanité. Par exemple, le PCC veut obtenir des informations sur des personnes clé en prenant le contrôle des réseaux des bureaux parlementaires ou des agences gouvernementales des pays occidentaux comme les États-Unis, de façon à pouvoir établir des contacts avec ces personnes. Le motif sous-jacent est d'essayer d'amener ces personnes à faire la sourde oreille face à la persécution de Falun Gong.

Le PCC impose la censure d'Internet et attaque les réseaux dans le but de dissimuler ses crimes contre l’humanité

Le régime du PCC a toujours dissimulé ses crimes contre l’humanité dans la persécution de dizaines de millions de pratiquants de Falun Gong. La persécution a été lancée par l’ancien dirigeant du PCC Jiang Zemin et les crimes commis incluent des arrestations illégales, plus d’une centaine de formes de torture, le lavage de cerveau forcé, l'abus de drogues psychiatriques et les prélèvements d’organes, sans parler du meurtre de milliers de pratiquants de Falun Gong.

Les criminels savent bien qu’une fois leurs crimes dénoncés en pleine lumière et à grande échelle, ce sera leur fin. Ils ont donc utilisé tous les réseaux médiatiques sous leur contrôle pour diffuser la haine contre le Falun Gong et en même temps faire tout leur possible pour bloquer les faits concernant Falun Gong à l’intérieur et à l’extérieur de Chine.

Lorsque Google est entré sur le marché chinois en 2006, il a été forcé de signer un accord afin de filtrer les faits à propos du Falun Gong.

Les mots « Falun Gong » ont été les plus strictement filtrés sur toute la liste de censure d'Internet du PCC.

En 2010, avant que Google ne quitte la Chine, le régime a levé l’interdiction sur certains mots sensibles tels que 4 juin, démocratie, Dalai Lama, etc, mais n’a jamais retiré le filtre sur les mots « Falun Gong ».

En décembre de la même année, Google a déclaré ne plus pouvoir tolérer la pression du régime du PCC visant à filtrer des informations de navigation et a décidé de quitter la Chine.

Selon une enquête sociale internationale, Google a filtré 97 % des informations sur Falun Gong sous la pression du régime du PCC.

Depuis 1999, date à laquelle la persécution du Falun Gong a commencé, les mots « Falun Gong » sont devenus les plus craints et les plus sensibles pour la faction de Jiang Zemin. En-dehors de la propagande du PCC visant à diaboliser le Falun Gong, les gens ne pouvaient pas trouver d’informations ni de faits véridiques concernant le Falun Gong sur les sites Internet chinois.

Dans un programme intitulé « Technologie militaire » diffusé par CCTV-7 (canal 7 de la Télévision centrale de Chine) le 17 juillet 2011, une capture d’écran d’ordinateur a été diffusée montrant le système d’attaque d’Internet de l’Institut d’ingénierie électronique de l’Armée de Libération du peuple (PLA). La cible était une liste de sites du Falun Gong, parmi lesquels « Falun Dafa en Amérique du nord », « Falun Dafa en Alabama », « Site Internet Falun Dafa », « Site Internet Minghui », « site de témoignages du Falun Gong (1)», etc. (Voir image 1)

Image 1

Sur un autre écran, le système attaquait le site Internet Minghui et entrait une adresse IP: 138.26.72.17 (Voir Image 2), utilisée par un pratiquant de Falun Gong en Amérique.

Image 2

Lors d’un entretien avec Minghui, Mme Zhou Limin, la porte-parole de l’Association Falun Gong du Canada, a déclaré qu’après que le PCC ait lancé sa persécution contre le Falun Gong, son ordinateur et ceux d’autres pratiquants ont fréquemment subi des problèmes inhabituels. Elle a déclaré : « Lorsque Hu Jintao a visité le Canada l’an dernier, les ordinateurs de plusieurs intervenants invités spéciaux ont été attaqués avant une conférence de presse. Certains d’entre eux avaient des virus tandis que d’autres ont été détruits »

Mme Zhou Limin a souligné : « Depuis que la persécution a commencé en 1999, les sites Internet de Falun Dafa hors de Chine ont été fréquemment attaqués par le PCC. Ce dernier utilise les ressources d’état et même la puissance militaire pour attaquer les sites Internet de Falun Dafa. Cela montre que le PCC est extrêmement effrayé par le Falun Gong. D’un autre coté, cela a permis au reste du monde de voir la vraie nature du PCC. »

Le PCC utilise l’appareil d'état pour étendre le terrorisme Internet et les cyber-attaques se sont accrues exponentiellement

Les cyber-attaques par l’armée du PCC sont allées au-delà des sites Internet du Falun Gong. Selon un reportage du Washington Post du 21 février, Mandiant, une entreprise de sécurité américaine, a publié un rapport détaillant l’unité militaire chinoise responsable des intrusions informatiques dans 141 organisations de 20 industries aux États-Unis et dans le monde.

Le rapport déclarait aussi que l'entreprise s’était procurée plus de 3 000 preuves et désignait l’unité 61398, une organisation militaire secrète chinoise, comme la source la plus probable des attaques.

Depuis 2006, l’Unité 61398 a indubitablement volé des informations massives dans 150 sociétés et agences gouvernementales américaines. En se basant sur les estimations d’experts externes, l’économie américaine a perdu des dizaines de milliards de dollars américains suite aux cyber-attaques des pirates chinois.

« Le rôle direct des autorités chinoises dans le vol informatiques est endémique et les problèmes se sont accrus exponentiellement » a déclaré le Républicain Mike Rogers (Michigan), président du Comité des services de renseignements de la Chambre.

Selon le rapport, presque toutes les institutions de Washington DC ont été infiltrées par des cyber-espions chinois, y compris des bureaux du Congrès, des agences fédérales, des groupes de réflexion, des cabinets d'avocats, des organisations d’informations, des groupes des droits de l’homme, des entrepreneurs et les ambassades.

Des experts affirment que les données et informations massivement dérobées pourraient offrir un aperçu aux services de renseignements chinois désireux de comprendre le fonctionnement de Washington.

« Ils tentent d’établir des connexions entre les personnes importantes qui travaillent dans des groupes de réflexions, des bailleurs de fonds importants dont ils ont entendu parler et la façon dont le gouvernement prend des décisions » a déclaré Dan Blumenthal, directeur des études asiatiques à l’Institut des entreprises américaines, qui a aussi été piraté. « C’est un effort sophistiqué de collecte de renseignements visant à établir des liens humains entre des personnes au pouvoir, qu’ils soient au Congrès ou dans des postes exécutifs. »

Ces dernières années, les pratiquants de Falun Gong de divers pays ont remarqué que certains hommes politiques dans les pays occidentaux qui soutenaient habituellement ouvertement e Falun Gong et les droits de l’homme en Chine, ont totalement changé d’attitude après avoir été invités en Chine.

En 2010, Richard Fadden, responsable du Service de renseignements de la sécurité canadienne, a ouvertement dénoncé que des hommes politiques canadiens ont été influencés par les gouvernements étrangers, dont la Chine, et que la communauté canadienne a été infiltrée par la propagande de ces pays.

Outre les États-Unis, des cyber-attaques et des infiltrations du PCC se sont aussi produites en Europe, en Australie, en Asie et dans d’autres pays démocratiques.

Le PCC a déclaré la guerre au monde civilisé avec ses cyber-attaques, mais les forces de la justice prévaudront

Tout comme le PCC a étendu la persécution du Falun Gong aux masses populaires en contrôlant les systèmes politique et judiciaire en Chine dans le but de maintenir la persécution et dissimuler les faits, il utilise les réseaux et les médias pour étendre la persécution dans le monde, tentant d’influencer les pays occidentaux pour qu’ils ferment les yeux sur ses crimes et abus des droits de l’homme.

Dean Chen, chercheur à la Fondation Heritage sur les affaires politiques et de sécurité chinoises, a publié un article dans lequel il a confirmé le témoignage fourni par la société de sécurité informatique Mandiant et appelé le gouvernement américain à adopter une réponse forte contre les cyber-attaques chinoises.

L’article disait que le rapport de « Mandiant » confirme ce qui était suspecté depuis longtemps dans le monde : non seulement les Chinois se lancent dans diverses activités de cyber-espionnage et de piratage, mais beaucoup agissent sous la direction et avec l’approbation des autorités chinoises. »

L’article avance plusieurs suggestions sur la façon dont les États-Unis devraient répondre aux cyber-attaques de l’armée du PCC, comme forger une réponse internationale parmi les principaux pays de l’OCDE qui ont tous été la cible des opérations des réseaux informatiques chinois. Il suggère que les États-Unis soient la force dirigeante et adoptent une position plus ferme envers la Chine.

En avril 2011, une station vde télévision nationale canadienne a rapporté que des pirates chinois avaient attaqué les ordinateurs, non seulement dans les agences fédérales sensibles, mais aussi au Parlement canadien, ciblant les membres du parlement de circonscriptions ayant un nombre important d'électeurs chinois.

Une source interne a indiqué que l'Institut de sécurité des communications du Canada avait localisé des pirates à l’ambassade chinoise d'Ottawa et des serveurs à Pékin.

Dans le rapport, Derek Lee, un député de Toronto, a déclaré que le Canada doit montrer qu’il est capable de riposter. « C’est inacceptable et je pense que nous devrions exercer des menaces—une menace de contre-attaque, » a-t-il déclaré.

Lorsqu’elles atteignent leur extrême, les choses se renversent et ont l’effet opposé.

Le PCC utilise l’appareil d'état pour faire le mal dans le monde, mais il ne fera que précipiter sa propre destruction. Les pays, les organisations et les personnes victimes de cyber-attaques du PCC verront plus clairement la nature perverse du régime et formeront une alliance contre ce mal.

Traduit de l'anglais en Europe