Falun Dafa Minghui.org www.minghui.org IMPRIMER

Du désespoir à être une personne vraiment heureuse

21 mai 2013 |   Écrit par Luhe, une pratiquante de la province du Shandong en Chine

(Minghui.org) J'ai 41 ans. Lorsque j'étais à l'école, je rêvais d'aller à l'université. J'étais douée pour les études depuis que j'étais jeune, et tous mes professeurs, mes parents et moi-même attendaient beaucoup de moi. Cependant, un jour, on m'a diagnostiqué de l'hyperthyroïdie. N'arrivant pas à le croire, ma mère m'a emmenée dans de nombreux hôpitaux afin qu'ils me réexaminent. Les résultats ont été les mêmes. Les médecins ont dit que c'était une maladie chronique. Je devrais prendre des médicaments toute ma vie, et cela affecterait probablement ma fertilité. Je devais aussi éviter tout stress. Finalement, on m'a dit clairement que je ne pourrais pas me présenter à l'examen d'entrée à l'université nationale. Mon rêve a brutalement pris fin. J'en pleurais de désespoir sous ma couverture.

Seize ans marquent la période la plus passionnante de la vie d'une fille, cependant c'est à ce moment-là que j'ai commencé mon traitement médical. Dès que ma mère entendait que quelque chose où que ce soit pouvait soigner ma maladie, elle m'y emmenait. J'ai essayé la médecine allopathique, la médecine chinoise et diverses pommades. Rien n'a marché. Ma mère m'a alors emmenée essayer diverses pratiques de qigong à Beidaihe, Anhui, Jinan, et à bien d'autres endroits. C'est comme ce qui est dit dans le Zhuan Falun :

« [...] ils ont parcouru le pays en tous sens à la recherche d’un maître célèbre, mais ils n’ont pas trouvé. Être bien connu ne signifie pas forcément bien connaître. Au bout du compte, ils se sont inutilement démenés, ils ont épuisé leurs forces et leur argent sans rien obtenir. » (Zhuan Falun)

En 1997, j'ai appris le Falun Gong. En un mois, j'ai jeté tous les médicaments que j'avais utilisés durant près de dix ans. Mon corps se sentait plus à l'aise que jamais, et j'ai véritablement expérimenté la sensation de n'avoir aucune maladie.

Après avoir commencé la cultivation, j'ai compris que le Falun Gong était fait pour cultiver et non pour soigner les maladies. Au travail, je fais tout selon les critères de Dafa : j'essaie d'être une personne bonne où que je sois. Je ne me chamaille pas au sujet de gains ou de pertes personnelles, et j'essaie d'être bonne avec tout le monde. Notre directeur a dit : « J'ai vraiment de la chance d'avoir une employée aussi travailleuse et aussi compétente que vous. »

Je sais que c'est Dafa qui me guide pour trouver la signification de la vie, me débarrasser de mes mauvaises pensées, et être une personne pure. Je ressens qu'être un pratiquant est la chose la plus merveilleuse qui soit.

Prouvant que l'expert avait tort, j'ai eu un bébé en bonne santé

Je suis tombée enceinte peu après m'être mariée. À cause de mon problème d'hyperthyroïdie et du fait d'avoir pris des médicaments pendant dix ans, mon gynécologue m'a dit d'avorter. Il en est arrivé à la conclusion que bien que j'aie arrêté de prendre des médicaments, il y en avait toujours des traces dans mon système sanguin qui affecteraient la croissance du bébé. Même si je n'avais pas de symptômes à l'époque, l'hyperthyroïdie pouvait se manifester de nouveau durant ma grossesse à cause de la pression supplémentaire que subirait mon cœur. Si cela se produirait, cela résulterait certainement en une fausse couche.

Lorsque je suis rentrée chez moi, ma belle-sœur m'a raconté qu'une de ses collègues de classe avait fait une fausse couche le septième mois de sa grossesse à cause de son hyperthyroïdie antérieure. Une autre amie ayant vécu une histoire similaire avait accouché avec succès, mais son bébé avait un handicap mental à cause du manque d'iode. Ces cas corroboraient ce que le médecin m'avait dit.

J'étudiais le Zhuan Falun et savais que même les plantes sont vivantes. Nous ne pouvons tuer aucune vie. Je ne savais pas quoi faire. En en parlant avec d'autres pratiquants, ils m'ont dit : « Le Maître a dit dans la Loi que le fœtus est aussi vivant. Avoir un avortement c'est aussi tuer, ce qui nous apportera un immense karma. Dafa peut corriger tout ce qui est incorrect. Étudie bien et tout ira pour le mieux. » Cela a renforcé ma confiance. J'ai déchiré la recommandation du médecin et décidé de croire dans le Fa et le Maître. Je me levais tôt à 5 heures du matin et pratiquais les exercices en position debout. J'étudiais le Fa dès que j'avais un moment libre au travail et tous les soirs une fois rentrée à la maison. J'écoutais la musique de Dafa, Pudu, je n'avais aucun symptôme lié à ma grossesse, tels que des vomissements ou des nausées. Ainsi, ce n'est que trois mois après, que les autres ont su que j'étais enceinte, lorsqu'ils ont vu les changements au niveau de mon ventre. Je faisais les mêmes choses qu'avant de tomber enceinte. Je balayais, portais l'eau, et quelques fois faisais des heures supplémentaires. Non seulement je ne me sentais pas du tout fatiguée, mais mon corps se sentait plus en forme qu'avant ma grossesse. Les gens qui me voyaient disaient : « Vous êtres très agile pour une personne enceinte. »

Une fois, durant mon cinquième mois de grossesse, l'un de mes collègues était en train de souder une canalisation. Il m'a demandé de m'éloigner de lui par sécurité. J'ai reculé mais j'avais oublié qu'il y avait un grand réservoir à oxygène derrière moi. J'ai buté dessus et suis tombée par terre. Choqué, tout le monde autour de moi m'a demandé : « Tu vas bien ? » Je me suis rapidement relevée et leur ai tiré langue, comme un enfant venant juste de trébucher en se relevant. Je savais que je pratiquais Dafa et que tout irait bien. À ce moment-là, je ne savais pas que le Maître me protégeait.

Après sa naissance, ma fille se comportait bien et pleurait rarement. Même si elle était seule dans sa chambre, elle jouait toute seule calmement. Mon voisin, qui ne savait pas que j'avais un bébé avant que je ne la sorte à l'âge de trois mois, m'a demandé : « Comment se fait-il que je ne l'aie-je jamais entendue pleurer ? » Peu après, lorsqu'elle a eu un an, elle pouvait réciter de nombreuses chansons d'enfants.

Encore maintenant, je regrette profondément de ne pas m'être éveillée au fait que ma fille était aussi venue pour le Fa, et de ne pas l'avoir guidée pour apprendre Dafa. Je ne l'ai pas éduquée sur les principes du Fa et ne l'ai pas considérée comme une petite disciple de Dafa. Je me sens indigne des arrangements du Maître et de l'espoir que ma fille a placé en moi lorsqu'elle est venue dans ce monde. Je dois bien étudier le Fa et corriger mes fautes.

Me débarrasser de mon complexe d'infériorité et de mon ressentiment, clarifier la vérité calmement

Le Falun Gong enseigne aux gens à être de bonnes personnes, à améliorer leur niveau et à se débarrasser des attachements à la réputation, à l'intérêt personnel et à la sentimentalité. Dans cette société matérialiste d'aujourd'hui, mon corps et mon esprit ont été purifiés grâce à la pratique du Falun Gong. Je connais un véritable bonheur.

Au collège, il y avait quelques mauvais garçons dans ma classe. Le professeur fit s'asseoir l'un d'entre eux juste en face de moi. J'aimais lui parler parce qu'il était drôle. Cependant, il répandait des rumeurs à mon sujet. Une fois, alors que je posais une question en classe, il m'appela « voyou ». En tant que meneur, il fit que de nombreux autres garçons se moquèrent de moi. J'avais été éduquée dans une famille traditionnelle et ne pouvais pas supporter cette sorte de moquerie. Par conséquent, j'ai passé toute ma période de collège dans la peur. C'est pourquoi lorsqu'on m'a diagnostiqué une hyperthyroïdie, mon médecin a dit à ma mère : « Votre enfant a dû être harcelée, sinon elle n'aurait pas développé cette maladie à un si jeune âge. » À partir de là, j'ai cru que la raison pour laquelle je n'allais plus au collège était la présence de ce garçon. Pendant de nombreuses années, mon expérience au collège a été un cauchemar. J'étais remplie de ressentiment envers lui et je l'ignorais dès que je le rencontrais dans la rue.

Ce n'est qu'après avoir commencé la cultivation que j'ai finalement compris que tout ce qui se produisait était lié aux relations karmiques. Les gens me traitaient de cette façon auparavant parce que j'avais du karma, et en fait, celui-ci avait été créé par moi-même :

« […] c'est que vous avez peut-être maltraité les autres dans une existence antérieure ; au fond de vous-même vous vous sentez indigné: « Comment peut-il me faire ça ? » Mais vous, pourquoi lui avez-vous fait la même chose autrefois ? Vous direz qu'à ce moment-là vous ne saviez pas et qu'on ne va pas s'occuper de ce qui s'est passé dans une autre vie. Mais ça ne marche pas comme cela ! » (Zhuan Falun)

La haine qui avait assombri mon cœur pendant des années a disparu à ce moment-là. Ma toute nouvelle tolérance faisait que je me sentais plus à l'aise que jamais. Par la suite, nous avons même fini par travailler dans la même société. Bien qu'il était en congé sans solde pour faire des affaires, nous nous rencontrions souvent pour des raisons professionnelles. À cette époque, je n'avais plus de ressentiment envers lui et je le saluais chaleureusement. Je pouvais sérieusement parler de travail avec lui. En étudiant davantage le Fa, j'ai compris que chaque personne qui obtenait Dafa avait beaucoup souffert au cours de l'histoire. Le Zhuan Falun mentionne que « La matière noire est le karma ; en endurant la souffrance, on peut éliminer le karma […] » Peut-être que c'était lui qui m'avait aidée à réduire mon karma de manière à ce que je puisse obtenir Dafa. Si je ne pratiquais pas le Falun Gong, j'aurais peut-être été comme beaucoup d'autres Chinois, trompée par le Parti communiste chinois (PCC), dans la haine de Dafa qui en réalité sauve les gens et leur enseigne à se comporter selon Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Tout dans ce monde est insignifiant si on le compare à Dafa. En pensant à cela, je me sens très reconnaissante envers lui.

Le Maître nous a demandé de clarifier la vérité de Dafa aux gens qui ont été trompés par les mensonges et par conséquent les sauver. Je pensais : « Je dois le sauver de manière à ce qu'il puisse rester lorsque la catastrophe arrivera. » La fois suivante lorsque je l'ai rencontré, je lui ai dit que le Falun Dafa enseigne de bonnes choses aux gens, qu'il apporte des bénéfices au niveau du corps et de l'esprit, et que le Parti répand des mensonges de manière à calomnier Dafa. Il m'a dit qu'il venait juste de voyager à Hong Kong et a raconté : « Lorsque j'étais à Hong Kong, je ne connaissais pas le Falun Gong. Mais j'ai vu beaucoup de gens l'étudier, alors j'ai pensé que cela devait être bon. » En entendant cela, j'ai vraiment senti que tous les pratiquants de Dafa du monde entier forment un seul corps. Des touristes étrangers n'auront peut-être pas la chance de recevoir un dépliant de clarification de la vérité, mais l'image des pratiquants eux-mêmes est la meilleure preuve des faits. Pour ceux d'entre nous en Chine continentale qui sauvons davantage de gens, cela nous aide beaucoup. Lorsque je lui ai parlé du mouvement pour démissionner du Parti et de ses organisations affiliées, il m'a dit solennellement : « Oui ! Je vais suivre tes conseils et démissionner. »

Je suis reconnaissant pour le salut compatissant du Maître qui a changé une vie pleine de dégoût de soi et de ressentiment en une vie honnête et bienveillante, aidant d'innombrables autres vies à s'élever dans le processus de la cultivation de Dafa.

Traduit de l'anglais en Europe