(Minghui.org) Bonjour Maître bienveillant et grandiose ! Bonjour à tous les pratiquants !

Un jour d'avril 1997, le frère et la sœur de mon mari m'ont demandé : « Pourquoi ne pratiques-tu pas le Falun Dafa ? » À cette époque, afin de me débarrasser de mes maladies, je pratiquais un qigong avec possession par des esprits qui faisait du tort à beaucoup de gens à travers la nation. La sœur de mon mari m'a dit que le Falun Dafa était le Fa juste. Elle m'a donné le livre Zhuan Falun.

1. Obtenir le Fa et un cœur pur

En ouvrant le livre, j'avais du mal à respirer. Mais une force puissante me soutenait pendant ma lecture. Je me suis forcée à continuer de lire. Plus je lisais, plus je me sentais à bout de souffle. Mais je continuais à lire. C'était presque l'aube et je lisais le paragraphe : « L'installation de la Passe mystérieuse » dans la « Quatrième leçon ». Je me suis soudain sentie beaucoup mieux. Je ne m'étais jamais sentie aussi bien. Plus tard, grâce à une étude plus approfondie du Fa, j'ai réalisé que c'était les choses perverses qui interféraient avec mon étude du Fa, parce que je les avais invitées en pratiquant un qigong avec esprits de possession. Alors que je lisais le livre, le Maître les a enlevées.

Le Maître grandiose m'avait sauvée ! Bien que je n'étais pas claire au sujet du Fa, j'avais une grande foi. Non seulement je croyais, mais même mon frère, mon mari, ma sœur aînée, mes beaux-parents et la sœur de mon mari ont tous commencé à cultiver et pratiquer dans le Falun Dafa.

Chaque fois que j'en avais le temps, je lisais les livres de Dafa. Un jour, je lisais le court texte « Frapper un grand coup » dans le livre Points essentiels pour un avancement diligent et j'ai lu ceci :

« Mes disciples ! Vous ne devez pas toujours vous rendre compte de ce genre de choses seulement quand je vous les indique, en réalité tout existe dans la Loi, pourquoi ne lisez-vous pas davantage le livre ? Je suggère que chacun apaise son cœur et lise 10 fois le « Jing Jin Yao Zhi » (« Points essentiels pour un avancement diligent ») que j’ai écrit et que vous appelez Jing Wen, quand le cœur n’est pas paisible apprendre la Loi ne sert à rien, calmez votre cœur et apprenez-la. »

J'ai pensé que comme le Maître avait dit de lire le livre dix fois, j'allais le lire dix fois.

La troisième fois que je lisais le livre, les mots ont commencé à devenir rose. La quatrième fois, les mots sont devenus verts. La cinquième fois, les mots sont devenus bleu. Quand je l'ai lu pour la sixième fois, le livre a commencé à émettre de la lumière dorée. La septième fois, le livre émettait beaucoup de lumières colorées et de couleurs. La dixième fois, le livre était extrêmement beau, car toutes les différents lumières et couleurs étaient mélangées ensemble. En outre, les différentes lumières nettoyaient mon corps comme des brosses et je me sentais très bien.

Le 20 juillet 1999, le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Dafa et ses pratiquants. Mon unité de travail appartenait à la section de l'entreprise, et elle était sous la supervision directe de Zhou Yongkang, le chef de la perversité. Chaque jour, l'unité de travail était emplie de peur. Chaque ministère devait faire des rapports. J'étais la chef du bureau et j'étais en charge d'obtenir des documents signés. Quand j'ai lu le contenu diffamant Dafa, je me suis sentie très mal à l'aise. Je sentais que cette bonne pratique était injustement traitée et qu'ils diffamaient un Maître si droit. Ainsi, j'ai confisqué tous les documents. Plus tard, l'entreprise a tenu une réunion pour discuter spécifiquement de la situation de la persécution du Falun Dafa. Ils m'ont demandé les documents. J'ai répondu : « Je n'ai les ai jamais vus. » À cette époque, je suppliais le Maître pour sa protection, pour qu'ils n'enquêtent pas pour savoir où les documents avaient disparu. Plus tard, il n'y a vraiment pas eu de nouvelles subséquentes. Avant cela, comme aucun d'entre eux n'avait vu les documents, notre département n'avait jamais tenu de réunion sur la persécution du Falun Dafa.

Après que l'incident des « auto-immolations sur la place Tiananmen » ait été mis en scène par le PCC et diffusé, mes collègues se sont tous réunis autour du bureau de la sécurité afin de regarder la télévision. Ainsi, je leur ai parlé des points suspects de l'incident des « auto-immolations ».

En août 2005, l'enfant d'un collègue a été admis dans une bonne école. Je suis allée assister aux festivités dans un restaurant. Il était arrangé que je m'assois avec les onze responsables de notre unité de travail. Ces gens étaient tous membres du PCC. Je voulais faire bon usage de cette opportunité offerte par le Maître pour sauver les êtres. Je leur ai parlé de la démission de leur adhésion au PCC. Aucun d'entre eux ne m'a interrompu et ils ont tous écouté très attentivement. Plus tard, quand ils sont sortis du restaurant, un directeur adjoint m'a rattrapé et m'a dit : « Aidez-moi à démissionner de mon adhésion au PCC. Dans l'avenir, lorsqu'il y aura des tribulations, vous me protégerez. » J'ai dit : « Ce n'est pas moi qui vous protégerai. C'est votre croyance en Dafa qui permet au Maître de Dafa de vous protéger. »

3. Être témoin des miracles de Dafa

A. Une deuxième chance

Après avoir quitté mon unité de travail, je suis allée vendre du pain au marché pendant un certain temps. Un jour, un tracteur transportant une dizaine de personnes d'une autre région est venu à mon stand pour acheter du pain. Ils ont dit qu'ils venaient d'un autre canton à des dizaines de kilomètres d'ici. Ils ont dit que bien que mon pain était délicieux, ils ne seraient pas en mesure de revenir. Je ne leur ai pas clarifié la vérité. Après le départ du tracteur, j'avais tant de regrets ! J'ai dit au Maître : « Je me suis trompée ; si jamais une telle chance se reproduit de nouveau, je ne la manquerai pas. »

Le deuxième jour, un employé d'un magasin de poterie m'a dit qu'ils voulaient m'acheter du pain. Mais ils n'allaient être en mesure de prendre le pain qu'après être sortis du travail à 17 h. Ils voulaient à la place que je livre le pain à leur boutique. Habituellement, je rentrais à la maison avant l'heure du midi pour pouvoir préparer des documents de clarification de la vérité dans l'après-midi. Je me suis dit que c'était le Maître qui m'arrangeait une occasion de clarifier la vérité. J'ai ainsi accepté. À 17 h, ils étaient toujours en réunion. La vendeuse m'a demandé d'attendre pendant un certain temps. J'ai accepté. À ce moment-là, quelqu'un a crié : « Hé, il y a une voiture là-bas qui cherche à acheter du pain ! » J'ai jeté un coup d'œil et j'ai vu qu'il s'agissait du tracteur que j'avais vu la veille et il transportait encore tant de gens ! Je savais que je ne devais pas rater cette chance. Comme je leur vendais du pain, je leur ai parlé de la vérité sur le Falun Dafa. Comme ils avaient goûté au pain que je leur avais vendu la veille, ils voulaient en acheter davantage. Je me concentrais tellement sur la clarification de la vérité que j'ai oublié de recueillir l'argent pour le pain. À ce moment-là, une vieille dame est arrivée, elle s'est tenue près de moi et a crié : « Celui-ci n'a pas payé et celui-là n'a pas payé », je ne connaissais pas cette dame et les clients pensaient tous qu'elle était une de mes proches et ils se sont précipités pour me payer. Lorsque le conducteur du tracteur était sur le point de partir, je lui ai demandé : « N'avez-vous pas tous dit que vous veniez de loin et que vous n'alliez pas revenir ? » Ils ont répondu : « Les graines que nous avons achetées n'étaient pas suffisantes ! Donc, nous sommes revenus pour en acheter davantage ! » Je me suis retournée pour remercier la dame qui m'avait aidée, mais la vieille dame était introuvable. À ce moment-là, mes larmes ont coulé. Ce n'était pas moi qui sauvait les gens, n'était-ce pas clairement le Maître!

B. Les bords de papiers que j'ai coupés trop courts s'allongent miraculeusement

Après la publication de Hong Yin Vol. II, j'étais chargée de rassembler les pages du livre imprimé. À cette époque, je n'avais pas un gros coupe-papier, de sorte que les pages n'étaient pas égales. Je me sentais très triste. J'ai dit au Maître : « Ce disciple était trop pressé. Je voulais terminer rapidement les livres afin que les pratiquants puissent les lire. Demain, je vais certainement faire les bords droits. » Le soir, il y avait une pratique de groupe et tandis que je faisais la deuxième série d'exercices et que je portais le Falun au-dessus de ma tête, j'ai vu que mon bras droit, du poignet jusqu'en bas, s'était allongé. Les deux compagnons pratiquants et moi-même ne savions pas ce que cela signifiait. Le lendemain, quand je suis tombée sur les livres, j'ai vu que les bords des livres étaient droits. J'ai demandé à mon mari à quel moment il avait égalisé les bords. Il a dit qu'il ne l'avait pas fait. J'ai dit : « Alors, ce doit être le Maître qui a aidé à égaliser les bords. » J'étais tellement émue et je me suis écriée : « C'est le Maître qui a égalisé les bords ! »

Un jour en 2007, j'ai de nouveau pensé à la façon dont mon bras s'était allongé et j'ai finalement compris que ce n'était pas que le Maître avait coupé les bords droits, mais le Maître avait allongé les bords qui avaient été coupés trop courts.

4. S'éveiller à travers les tribulations

A. Interférence démoniaque due à mon attachement à me faire valoir

En octobre 2005, les policiers ont pillé mon domicile. Après avoir été illégalement détenue, j'ai été condamnée à sept ans d'emprisonnement. Avec la protection du Maître, j'ai entamé une grève de la faim afin de protester contre la persécution. La prison a refusé de m'admettre. Quatre mois plus tard, je suis retournée chez moi. Le lendemain, afin d'éviter d'être de nouveau persécutée, je suis partie de chez moi et j'ai commencé à errer. En septembre 2007, lorsque j'étais hors de chez moi, les policiers m'ont de nouveau arrêtée et m'ont emmenée au centre de détention. J'ai supplié le Maître de me protéger. J'ai de nouveau entamer une grève de la faim afin de protester contre la persécution. Je me suis éveillée à l'idée qu'il y a de l'eau et de la nourriture dans le Fa. Ainsi, j'ai pensé que je n'aurais pas faim ni soif pendant que j'étais en grève de la faim et que je n'aurais aucune réaction lorsque le tube gastrique serait inséré de force dans mon estomac. La perversité ne pouvait rien contre moi. Après la « 17e conférence du parti », les policiers du régime étaient près à me libérer. J'ai eu cette pensée : « Ces deux centres de détention ne peuvent rien me faire. Si je suis envoyée dans un camp de travail, j'y ferais également des ravages ! » Ce fort attachement à me valider moi-même a permis à la perversité à prendre avantage de mes insuffisances. Après la « conférence du parti », j'ai effectivement été envoyée à ce camp de travail.

B. Ramener les pratiquants qui s'étaient égarés

Ce camp de travail est l'endroit le plus pervers de tout le pays pour « transformer » les pratiquants. Ils avaient recours aux collaborateurs afin de transformer les pratiquants. Ces collaborateurs ont essayé de m'influencer avec leur faux raisonnement et ont essayé de me « transformer ».

En regardant ces deux collaboratrices et en me rappelant combien il est difficile pour le Maître bienveillant de nous sauver, je leur ai demandé quand elles avaient commencé à pratiquer le Falun Dafa. L'une d'elles avait commencé en 1996 et l'autre en 1994. J'ai dit : « N'avez-vous pas laissé tomber le Maître ? Si vous avez écrit une déclaration de garantie pour renoncer à votre pratique du Falun Dafa, n'avez-vous pas trahi le Maître ? Dans la cultivation et pratique du passé, le Maître se serait débarrassé de vous. Mais notre Maître est bienveillant et sait que vous avez écrit ces lettres de trahison sous la pression du parti pervers et que ces lettres ne venaient pas de votre cœur. Tant que vous reconnaissez votre erreur et que vous écrivez une déclaration solennelle pour renoncer à la déclaration de garantie, le Maître vous voudra encore comme disciple. » J'ai récité le Fa que j'avais mémorisé. Après deux jours d'échanges d'expériences, l'une d'elle s'est écriée : « Tu m'as rectifiée, merci ! » J'ai dit : « Ce n'est pas moi qui t'ai rectifiée, c'est notre Maître bienveillant qui ne veut abandonner aucun disciple. » Bien que l'autre personne ne se soit pas réveillée, lorsque nous nous sommes quittées, elle m'a dit d'être prudente parce que les gardes sont impitoyables. Plus tard, quand des personnes venaient me « transformer », c'était plutôt moi qui les changeais.

Après avoir été détenue et torturée pendant deux jours et une nuit, une pratiquante n'a pu le supporter et a été « transformée » contre sa propre volonté. La perversité a voulu me faire faire des compromis et a laissé cette pratiquante « transformée » insulter le Maître devant moi. Je l'ai regardée et j'ai dit : « C'est contre votre gré. Le Maître vous pardonnera. » Après avoir entendu mes paroles, elle a pleuré et est partie. Après cela, elle a écrit une déclaration solennelle et a nié tous ses comportements qui avaient trahi Dafa et elle a dit qu'elle serait inébranlable dans sa cultivation de Dafa.

C. Défier les mots pervers

Les gardes ont laissé une ex-pratiquante qui s'était égarée laver le cerveau des pratiquantes. Elle faisait des marques dans le livre. Elle sautait également des mots et ajoutait ses propres mots aux conférences. Je l'ai donc arrêtée dans sa lecture. Elle a dit : « Alors, lisez. » Je lui ai pris le livre et j'ai vu qu'il s'agissait des conférences du Maître. Elle enlevait intentionnellement des sections qu'elle avait marquées à lire et utilisait cette méthode pour diffamer Dafa. Je lui ai pris le livre et j'ai lu mot à mot sans manquer un seul mot. Après avoir lu quelques paragraphes, j'ai remis le livre à une autre pratiquante pour qu'elle le lise. De cette façon, nous avons étudié le Fa ensemble pendant une demi-journée.

Un jour, elle a pris des extraits du Fa du Maître et les a copiés au tableau. Elle a tenté de nous expliquer le Fa et certaines pratiquantes n'ayant pas une compréhension claire de la Loi ont été égarées par elle. J'ai dit : « Vous êtes allée trop loin. Comment osez vous changer la Loi ! » J'ai dit aux pratiquantes de ne pas écouter ses paroles perverses, parce qu'elle avait complètement trahi Dafa. De cette manière, deux autres pratiquantes et moi avons semé la pagaille dans sa classe. À partir de ce moment-là, ils n'ont plus osé me laisser m'asseoir dans sa classe.

D. Dissoudre la soi-disant « étude » au camp de travail

Quelques jours avant les Jeux olympiques de 2008, il y a eu une nouvelle série de lavage de cerveau. Ils obligeaient tout le monde dans chaque cellule à « étudier » les articles diffamant Dafa pendant la nuit. J'ai pensé que je ne devais pas laisser la perversité diffamer Dafa de manière éhontée. Ainsi, alors que les pratiquants criaient : « Falun Dafa est bon » dans les autres cellules, j'ai récité le poème « Le bien et le Mal sont déjà évidents » dans Hong Yin :

« Les êtres tournent en démons, tribulations sans fin,

La Grande Loi apporte le salut dans ce monde chaotique ;

Sans distinguer la droiture et la perversité, ils calomnient la Loi céleste,

Les individus coupables de tous les crimes attendent le vent d'automne. ». (« Le bien et le Mal sont déjà évidents » dans Hong Yin)

À ce moment-là, le chef du camp de travail a amené quelqu'un pour faire un compte-rendu. Après avoir entendu le poème, il a rapidement dit à ses subordonnés : « cesser l'étude ». Dès lors, les sessions de soi-disant « étude» ont cessé.

E. Arrêter la torture

En octobre 2008, des pratiquants et moi voulions sauver les pratiquants ayant refusé de signer le « formulaire d'évaluation du travail » et ayant donc été soumis à la torture par « étirement ». Les malfaiteurs pensaient que j'étais à la tête de l'effort de sauvetage. Ainsi, j'ai été convoquée au bureau dans lequel sept à huit malfaiteurs ont en même temps utilisé des matraques électriques pour me donner des électrochocs. Grâce à la protection du Maître, ils ne pouvaient rien me faire. Ils ont dit que mon corps ne « conduisait pas l'électricité ». Ils m'ont pressée par terre, ont enlevé mes chaussures et ont versé de l'eau sur mes pieds. Ensuite, ils ont continué de me donner des électrochocs, mais je n'avais toujours pas de réaction. Ainsi, ils ont décidé d'utiliser sur moi la torture par « étirement ».

Cette torture faisait usage d'un lit avec une couchette supérieure et inférieure. Ils ont mis le haut de mon corps sur le lit inférieur à partir de la tête du lit. Ils ont attaché mes jambes aux pieds en métal du lit inférieur, ensuite ils ont menotté mes mains aux barreaux du lit supérieur. Mon dos ne pouvait pas se redresser et mes jambes ne pouvaient pas se plier. Le poids de mon corps tout entier était sur mes bras. En l'espace de quelques minutes, j'étais couverte de sueur et j'ai perdu connaissance.

Sous cette torture, je n'ai pas eu peur. Je me suis calmée et j'ai cherché à l'intérieur. De quel attachement la perversité tirait-elle avantage ? J'ai trouvé beaucoup d'attachements. Les attachements à me faire valoir, à être heureuse de réaliser quelque chose, à l'esprit de compétition, à me valider moi-même, à la luxure et en particulier l'attachement à me faire valoir continuaient à prendre de l'expansion. Par exemple, avant les Jeux olympiques de 2008, il y avait deux pratiquantes en prison avec moi. Elles ne pouvaient supporter de recevoir des coups des matraques électriques et ont signé la « déclaration de garantie ». À cette époque, je pensais : « Qu'est-ce que la matraque électrique pour moi ?! » C'est ce fort attachement à me faire valoir qui m'apportait la matraque électrique d'aujourd'hui. En même temps, j'avais un attachement à l'esprit de compétition avec les autres pratiquants. Le Maître a dit :

« l’esprit d’étalage ajouté à l’esprit de contentement de soi est le plus facilement utilisé par l’esprit démoniaque » (« Conclusion définitive » dans Points essentiels pour un avancement diligent)

Je comprenais maintenant qu'il était honteux d'être persécuté et que j'avais créé des ennuis au Maître. J'ai dit au Maître : « Maître, je me suis trompée. Parce que je n'ai pas bien fait, ces malfaiteurs ont eu la chance de commettre des actes répréhensibles, cela cause vraiment des dommages aux êtres. À partir de maintenant, je dois bien faire et ne reconnaître aucun arrangement de la perversité. Maître, je vous prie de me renforcer. » À ce moment-là, les mots « traverser la tribulation » m'ont traversé l'esprit. J'étais ferme dans ma croyance dans le Maître et je me croyais capable de survivre à cette tribulation. Peu importe à quel point mon corps éprouvait de la douleur, je devais arrêter la torture. À l'avenir, aucun pratiquant ne devrait avoir à subir cette torture. J'ai pensé : « Puisque vous m'étirez, je vous étire ». J'ai crié très fort : « Bouddha Maitreya étire ! Libère ». À ce moment-là, bien qu'il y avait un ruban adhésif sur ma bouche, je pouvais encore crier. Quand j'ai crié : « Libère », la menotte qui était fixée au barreau en face de moi s'est déplacée. À ce moment là, un agent est venu et m'a demandé qui m'avait menottée si fermement. Il a dit qu'il allait la desserrer pour moi. Je savais que le Maître avait encore supporté des difficultés pour moi dans d'autres espaces. Au cours des deux jours et de la nuit suivants, une pratiquante me soutenait le bras droit. Je me couchais avec la tête posée sur mon bras droit. Quand j'avais soif, une autre pratiquante me donnait quelque chose à boire. Quand j'avais faim, on me donnait du lait. Les autres pratiquantes qui étaient au courant de ma tribulation ont émis la pensée droite pour moi. Ainsi, j'ai de cette façon pu traverser cette torture.

Après qu'on m'ait descendue, je ne pouvais pas sentir le côté droit de mon corps. Les policiers m'ont envoyée à l'hôpital du centre. Le médecin a dit : « Si elle ne fait pas de physiothérapie, elle ne s'en remettra jamais avant huit à dix ans. » Mais après avoir été libérée du camp de travail, mon corps était meilleur que jamais. C'est un miracle causé par le retour d'une vie à Dafa.

5. Manifester la dignité des pratiquants de Dafa

Je me rappelle toujours que je suis une pratiquante de Dafa et que je ne dois pas laisser tomber le Maître. Quand j'étais incarcérée dans la Division no 1, la chef m'a demandé de signer le « formulaire d'évaluation ». J'ai refusé et elle m'a demandé pourquoi. J'ai dit : « Un pratiquant ne s'en tient qu'à une seule voie de cultivation. Le formulaire d'examen est signé pour le PCC et le PCC est une secte ; si je le signe, alors je ne pourrai plus terminer ma cultivation » Elle a dit : « Je vais signer en votre nom » J'ai dit : « Si vous signez, ce ne sera pas non plus bénéfique pour vous. » Elle a dit : « J'abandonne votre cas. » À partir de là, personne ne m'a demandé de signer ce formulaire.

Un jour, un chef d'équipe a dit : « Tous les chefs d'équipe ont dit que vous nous regardez de haut et que vous ne nous saluez jamais. » Je lui ai répondu : « Vous supervisez l'ensemble des prisonniers. Si je vous salue, vous penserez que je suis aussi une prisonnière. Pour votre propre bien, je ne peux pas vous saluer. Si nous étions à l'extérieur, nous pourrions devenir de bons amis. »

Au Nouvel An en 2009, tous les prisonniers ont présenté leurs vœux de Nouvel An aux gardes pendant le déjeuner (petit déjeuner). J'étais la dernière à entrer dans la salle et j'ai entendu le chef d'équipe me crier des vœux de Nouvel An. Tous les gens dans la salle me regardaient. Des pratiquants ont été réconfortés et quelques gardes ont été bouleversés. De nombreux prisonniers ont été remplis de respect pour les pratiquants de Dafa !

6. Le Maître m'a aidée à sortir du camp de travail

Trois jours avant que je sois libérée du camp de travail, j'ai fait un rêve. J'ai rêvé que la perversité présentait un film. Je refusais de le regarder et je sortais en courant de la salle. Un groupe de policiers me poursuivait avec des fusils. J'ai crié : « Maître, sauvez-moi ! » Ensuite, j'ai rêvé que j'étais dans une charrette. Il y avait quelqu'un qui me poussait tout le long. Par télépathie, on m'a dit qu'il s'agissait du chemin vers mon véritable foyer. J'ai regardé derrière et j'ai vu que la personne qui me poussait était en fait le Maître. Après m'être réveillée, j'étais en larmes. Dans mon esprit, cette scène est apparue : en 2005, la police m'avait attrapée et j'avais crié : « Maître, sauvez-moi ! » À ce moment-là, le Fashen du Maître était venu sous moi et m'avait soulevée. J'avais l'impression d'être entrée dans les nuages et je me sentais très bien. Les policiers m'avaient traînée depuis le troisième étage jusqu'au premier étage, mais je n'avais pas du tout eu mal. Trois jours plus tard, je suis sortie du camp de travail avec dignité.

Quand je me remémore mon processus de cultivation des dix dernières années et plus, le Maître m'a aidée à me nettoyer lorsque j'étais remplie de karma. Mais la perversité a pris avantage de mes insuffisances, car j'avais des attachements. J'ai été détenue. Mes attachements ont pris de l'expansion et j'ai failli mourir à maintes reprises sur les instruments de torture. Le Maître m'a aidée à revenir après avoir été à deux doigts de la mort. Je ne peux savoir combien de difficultés le Maître a supporté pour moi. Aucun mot ne peut exprimer la gratitude que j'aie envers le Maître. À l'avenir, je ne peux que bien me cultiver et être diligente dans ma cultivation. Je vais sauver davantage d'êtres, accomplir mes vœux pré-historique et suivre le Maître jusqu'à mon foyer d'origine.

Je m'agenouille et m'incline devant notre Maître bienveillant et grandiose !

Merci compagnons pratiquants! Veuillez m'indiquer s'il y a quoi que ce soit d'inapproprié.

Traduit de l'anglais au Canada