(Minghui.org)

Salutations au Maître !

Salutations compagnons de pratique !

J'ai une vie heureuse grâce à Maître Li, le Maître le plus grandiose et le plus bienveillant. Je n'ai pas eu la chance de voir Maître Li en personne, mais tout de même, je suis devenue une disciple de Dafa pendant la période de rectification de Fa. Je peux aider le Maître à rectifier le Fa et sauver les êtres dans l'univers. Lorsque j'atteindrai la plénitude parfaite, je pourrai dire que j'ai rempli ma promesse de pratiquante de Dafa pendant la période de la rectification de Fa. C'est un honneur si glorieux. Quel que soit le nombre de tribulations à traverser, je n'aurai jamais aucun regret.

Avoir la chance de trouver le Fa

J'ai toujours travaillé dans le secteur financier. J'ai commencé à pratiquer en 1996 et j'ai rapidement expérimenté les miracles de Dafa. Auparavant, j'étais fatiguée après avoir marché. Après avoir commencé à pratiquer, mon corps était léger et je ne me sentais plus fatiguée, quelle que soit la distance parcourue en marchant. Mes rhumatismes et mes maladies gynécologiques ont disparu. Les taches de couleur sur mon visage ont aussi disparu et j'avais l'air en très bonne santé. Mes parents et de nombreux membres de ma famille ont commencé à cultiver le Falun Gong, après avoir vu comment j'avais retrouvé la santé. Mon enfant a également étudié le Fa avec moi.

Mon domicile est devenu un lieu d'étude du Fa en groupe. Je suis aussi devenue coordinatrice d'un site de pratique. Les pratiquants sur notre site de pratique ont tous connu des changements immenses dans leur corps. Le diabète de mon voisin a disparu. Les cheveux de certains pratiquants sont passés du blanc au noir. Ma mère, qui n'était pas allée à l'école et était analphabète, peut maintenant lire le Zhuan Falun. Mon père, qui avait fumé pendant des décennies, a arrêté de fumer très facilement. Bientôt, la rumeur s'est répandue dans ma ville que le Falun Dafa était miraculeux.

Chaque jour, j'étais remplie d'énergie. Mon mari n'était pas un pratiquant, mais il m'a totalement soutenu quand il a vu les miracles de Dafa. Toute notre famille avait une vie heureuse.


Renoncer à la vie et à la mort pour valider Dafa

Lorsque la persécution a commencé, les pratiquants locaux sont allés au bureau d'appel de la ville pour faire appel pour Dafa le 22 juillet. J'ai été choisie comme représentante et j'ai parlé avec le directeur du bureau d'appel et du département de police. Pour cette raison, j'ai été répertoriée comme « personne clé » par le PCC. J'ai été convoquée à un interrogatoire deux fois pendant la nuit et je n'ai pas été autorisée à rentrer chez moi. J'ai été interdire de manger ou de travailler pendant la journée. J'ai reçu l'ordre de rédiger une déclaration de garantie selon laquelle je renonçais au Falun Gong. Je devais être ramassée chaque jour par le dirigeant de mon lieu de travail et amenée au poste de police pour travailler sous surveillance. Ainsi, chaque jour, j'ai été obligée à rester au département de police pour rapporter mes actions. La nuit, je devais aller au bureau pour travailler. Face à cette forte pression, j'ai clarifié la vérité en permanence à la police et leur ai dit que les autorités centrales ne connaissaient pas la vérité et nous avaient mal compris. Je leur ai expliqué que Dafa nous enseigne à être de bonnes personnes et que Dafa était miraculeux pour renforcer le corps et éliminer la maladie. Nous ne participions pas à la vie politique. Nous voulions juste dire aux autorités que Dafa est innocent. Toutefois, les policiers ne voulaient pas du tout m'écouter. Ils m'ont dit qu'ils suivaient des ordres émanant des autorités supérieures et qu'il était inutile de leur parler.

À cette période, mon mari était parti en voyage d'affaires. J'étais seule à la maison pendant la nuit et j'avais un peu peur. Je pensais que, puisque l'ordre venait des autorités supérieures, je devais aller faire appel à Pékin, mais je savais que la police empêchait les pratiquants d'aller à Pékin dans les gares routières et aux intersections. Je suis montée dans le bus sans avoir acheté de billet. Dans le train, le conducteur m'a demandé de montrer ma carte d'identité, puis ils ont informé le département de police. Mon nom était déjà sur la liste noire parce que les autorités avaient déjà collaboré avec le département de police. La police m'a arrêtée et détenue dans un hôtel de ma ville et a commencé à surveiller ma vie quotidienne. Je n'étais pas autorisée à rentrer chez moi jusqu'à ce que mon mari soit rentré de voyage.


Plus tard, la situation s'est détériorée et beaucoup de pratiquants ont été
illégalement arrêtés et placés en centre de détention. Leurs parents ou des proches étaient également arrêtés et placés en détention. Non seulement, je devais travailler tous les jours, je devais aussi me présenter au département de police. Mon lieu de travail a également envoyé des gens pour me surveiller, ce qui a créé beaucoup de pression sur moi. C'est alors seulement que j'ai commencé à réaliser la gravité de la situation.

Je voulais aller à Pékin pour faire appel pour Dafa et pour notre Maître, qui était injustement calomnié. À cette époque, mon enfant était encore petit et mon mari ne comprenait pas ce que je voulais faire. Je lui ai dit que si j'affectais sa carrière future, nous pourrions divorcer. Je me suis assurée qu'il avait compris qu'il n'y avait absolument rien de mal à cultiver Dafa. Je vais cultiver jusqu'à la fin de ma vie. Il savait que le Falun Dafa est bon et que j'avais raison. Il ne voulait pas divorcer. En même temps, il a également compris la perversité du PCC. À ses yeux, j'étais une femme timide, mais il savait aussi que la persévérance, l'endurance et la justice faisaient partie de mon caractère. J'ai compris que le Fa que j'étudiais est la Loi de l'univers, la nature fondamentale de l'être humain et l'espoir de tous les êtres. Si les gens vont à l'encontre de Authenticité-Bienveillance-Tolérance, où iront-ils ? J'ai bénéficié de Dafa et je ne pouvais pas rester là si Dafa était persécuté.

Afin d'empêcher la police de m'arrêter, j'ai pris une voiture privée vers un autre endroit à l'extérieur de la ville. Ensuite, j'ai pris le train pour Pékin. Quand je suis finalement montée dans le train pour Pékin, j'étais très heureuse et il semblait que la pression qui s'était accumulée pendant plusieurs jours s'était finalement relâchée. Peu importait ce à quoi je ferais face à l'avenir. Quand un pratiquant peut vraiment abandonner la renommée, l'intérêt personnel, l'émotion humaine et vraiment abandonner la vie et la mort, rien ne peut jamais plus l'arrêter. Telle est la puissance de la foi et de la vérité de l'univers.


Le Maître a dit :

« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. » (Première leçon, Zhuan Falun)

J'ai compris que le Maître avait fait disparaître les mauvaises choses en moi comme la peur.

Au bureau de Pékin, j'ai été arrêtée tout de suite, avant même d'avoir pu faire appel. Ensuite, j'ai été renvoyée dans ma région par le bureau de Pékin et détenue. Mon entreprise ne me laisserait pas travailler à moins que je ne rédige une lettre de garantie déclarant que je renonce au Falun Dafa. Je me suis à nouveau rendue à Pékin pour faire appel et cela a amené de nombreux pratiquants de notre région à valider le Fa. Nous sommes allés sur la place Tiananmen pour faire les exercices et déployer des banderoles et la police nous a battus.

Le 19 juillet 2000, je suis allée à Pékin pour faire appel pour Dafa une troisième fois. À cette époque, les centres de détention de Pékin étaient pleins de pratiquants de tout le pays. Nous avons été chassés de Pékin et transférés dans les banlieues et à la campagne. Certains ont même été transférés dans un centre de détention de la province du Hebei. Nous n'avions pas peur ou n'étions pas déprimés en faisant face à la détention illégale, les travaux forcés et l'emprisonnement. Au lieu de cela, nous étions calmes et nous récitions le Fa à voix haute à l'intérieur des véhicules. Les pratiquants de tout le pays se réunissaient et partageaient leurs expériences de cultivation. Nous avions oublié tout ce que nous avons enduré dans les prisons et les centres de détention. J'ai été placée dans le véhicule avec plus de 20 pratiquants et nous avons clarifié les faits au sujet de Dafa au conducteur. Les policiers qui nous surveillaient savaient que le Falun Dafa est bon et ils ne nous ont pas interrompu.

Lorsque nous avons été renvoyés vers le centre de détention local, j'ai pris l'initiative de faire les exercices dans le centre de détention. La police a donné la responsabilité à un détenu de me battre et de me passer des menottes et des chaînes. Beaucoup de pratiquants qui ont été arrêtés étaient très instruits, mais ils ont été battus par des assassins et des toxicomanes. La nourriture dans la prison était très mauvaise, mais nous ne nous plaignions pas. Nous expliquions gentiment aux prisonniers et aux policiers que le Falun Dafa est bon. Bien que les prisonniers et les policiers nous battaient souvent, nous respections les exigences de Dafa et ne les haïssions pas.

En août 2000, j'ai été illégalement condamnée aux travaux forcés. Les conditions dans le camp de travaux forcés étaient vraiment mauvaises et le premier groupe de « pratiquants clés », c'est-à-dire les coordinateurs des sites de pratique, y était déjà emprisonné. Chaque pratiquant avait deux prisonniers affectés à sa surveillance nuit et jour. Ils n'étaient pas autorisés à faire les exercices, parler, ou même se regarder entre eux. Plus tard, afin d'empêcher les pratiquants de se parler entre eux, les pièces de la prison ont été isolées et les pratiquants ont été séparés même pour le déjeuner. L'environnement était empli de la pression du PCC pervers. Chaque jour, je pouvais entendre les collaborateurs battre et gronder les pratiquants dans d'autres pièces. Chaque jour, j'ai vu des pratiquants s'évanouir sous la torture. Les prisonniers qui avaient été envoyés pour nous surveiller utilisaient des rideaux pour nous bloquer la vue. Mais nous pouvions encore entendre les pratiquants qui étaient traînés dehors pour être torturés. Un jour, l'environnement extérieur est devenu intense et les policiers avaient l'air très nerveux. Plus tard, nous avons entendu qu'un pratiquant avait été torturé à mort. Après que les policiers aient torturé pour la première fois un pratiquant à mort, ils ne se sont plus souciés de rien. Face à cette grande épreuve, nous n'avons pas fait de compromis. Nous faisions les exercices à quatre heures du matin. Les policiers nous suspendaient au lit ou aux arbres à l'extérieur pour nous frigorifier. Ils nous ramenaient à l'intérieur juste avant le petit déjeuner.

Face à la persécution perverse, aux prisonniers qui nous battaient, aux matraques électriques et autres armes de la police, nous avons seulement utilisé la grève de la faim, pratiqué les exercices et récité le Fa pour protester contre la persécution. Nous avons également déployé dans l'auditorium une banderole sur laquelle il était écrit « Falun Dafa est bon » et nous utilisions l'opportunité d'aller aux toilettes ou d'aller aux exercices du matin pour faire nos exercices, ce qui choquait beaucoup les policiers. Lorsque deux pratiquants ont déployé la banderole, la police a essayé de la déchirer tout de suite, mais les pratiquants ont tenu bon et n'ont pas lâché. Tous les pratiquants à proximité de la banderole la protégeaient. Les policiers sont venus les battre et les prisonniers qui regardaient les pratiquants ont aidé les policiers à prendre la banderole. Près de 100 pratiquants ont participé protéger cette banderole de Dafa. La police a pris les pratiquants qui ont affiché la banderole et ont commencé à les torturer brutalement. Ensuite, tous les pratiquants étaient là et sont restés là. Nos pratiquants faisaient un seul corps. En fin de compte, les policiers ont vu des centaines de pratiquants debout pour protéger Dafa. Ils ont dû nous laisser partir. À cette époque, je menais une grève de la faim et mon corps était très faible. Chaque fois que les prisonniers me gavaient, c'était comme une torture. Les prisonniers me poussaient au sol, retenaient ma tête, mes bras et mes jambes et m'introduisaient de force un tube dans la bouche. Plusieurs fois, je me suis presque étouffé à mort. Après qu'ils aient terminé, je vomissait tout, y compris de la bile. Je croyais fermement que je devais faire la grève de la faim jusqu'à la fin.

Plus tard, l'environnement est devenu si mauvais que beaucoup de pratiquants ne pouvaient pas supporter la torture brutale. J'ai été suspendue à l'extérieur dans le froid parce que j'avais utilisé la grève de la faim pour protester contre la persécution et j'ai pris l'initiative de faire les exercices. Je n'ai pas mangé et bu pendant plus de 40 jours. Je ne connaissais plus la faim et mon esprit était vide. Je n'avais qu'une seule pensée, que je suis une pratiquante de Dafa et que je ne serai jamais transformée. À cette époque, je n'avais pas réalisé que nous pouvions nier les arrangements des forces anciennes, alors j'ai seulement enduré la torture passivement. À un moment, la police ne pouvait pas me nourrir de force avec aucune nourriture et le médecin de la prison ne pouvait pas trouver ma veine quand il essayait d'injecter une substance chimique dans mon corps. Plus tard, le médecin de la prison a eu l'idée de m'envoyer à l'hôpital psychiatrique. Je savais qu'il y avait une douzaine de pratiquants qui avaient été envoyés dans un hôpital psychiatrique et soumis à des médicaments nocifs pour le système nerveux et à des aiguilles électriques. Je pensais que je ne pourrais jamais y aller. J'ai donc clarifié la vérité au médecin de la prison et ma bonté l'a sans doute impressionné. Il a vu que ma vie était en danger et je continuais de lui dire que le Falun Dafa est bon. En effet, comment pourrait-il ne pas savoir que le Falun Dafa est bon ? Il était juste attiré par un gain personnel et persécutait les pratiquants de Dafa dans un état d'inconscience. Je lui ai parlé du principe que le bien est récompensé par le bien et que le mal recevra une rétribution. Finalement, il m'a dit qu'il m'enverrait à l'hôpital au lieu de l'hôpital psychiatrique. Deux autres pratiquants ont également été envoyés à l'hôpital avec moi. Le médecin de l'hôpital a déclaré au médecin de la prison que ma situation était très grave et ma vie était gravement en danger. J'ai demandé au Maître de m'aider dans mon cœur : « Maître, je ne peux pas mourir. J'ai besoin de valider Dafa. » En émettant cette pensée, j'ai senti une force puissante me soutenir. Je savais que le Maître me renforçait.

Quand j'ai été renvoyée au camp de travaux forcés, la police a essayé de me faire manger quelque chose, mais je n'ai pas coopéré avec eux. Je savais que quelques jours avant, quand la vie des pratiquants était en grand danger pendant la grève de la faim, la police les a renvoyés de l'hôpital au camp de travaux forcés, simplement parce qu'ils avaient bu un peu d'eau. Les paroles du Maître ont résonné à mes oreilles :

« Si aujourd'hui vous êtes face à la mort, peu importe sous quelle forme, et que face à cette mort vous n'avez aucune crainte et n'y prêtez absolument aucune attention. « Peut-être irai-je au paradis céleste après ma mort », alors la mort ne se produira effectivement pas, ce qui est crucial, c'est le coeur de la personne. Notre xiulian dans Dafa vise directement le coeur de l'homme. Le xiulian, c'est justement cultiver le coeur de l'homme. Si votre coeur ne change pas, toutes les autres manifestations sont fausses, la forme est fausse. » (« Enseignement de Fa à la Conférence de Fa en Europe »)

J'étais très calme. Je pensais que même si je mourrais ce jour-là, ça en valait le coup car j'avais sauvegardé Dafa. Ensuite, le médecin de la prison m'a informé que mon mari attendait à l'extérieur du camp de travaux forcés pour venir me chercher. Après que je sois rentrée chez moi, mes parents ont pleuré quand ils ont vu à quel point ma vie était en danger. Je leur ai dit que j'allais bien. J'ai pratiqué les exercices immédiatement après être rentrée à la maison. Le deuxième jour, je pouvais marcher et j'ai commencé à valider le Fa. Faire ainsi validait également la magnificence de Dafa.


Cependant, la police n'a pas abandonné. Ils ont vu que j'avais récupéré après être rentrée à la maison, ils voulaient donc me faire arrêter à nouveau pour m'envoyer au centre de lavage de cerveau. Ils m'ont également suivi et m'ont surveillée. Ma famille était sous une forte pression. Mon mari ne pouvait pas se concentrer sur son travail et mon enfant ne pouvait pas se concentrer sur ses études.

À cette époque, je sentais que je pouvais être arrêtée à tout moment. À la fin de 2001, j'ai de nouveau été arrêtée alors que je clarifiais la vérité. J'ai été envoyée au camp de travaux forcés directement. La police a envoyé plus de 100 collaborateurs détenus au même endroit pour me transformer jour et nuit chacun à leur tour. À cette époque, quelques centaines de personnes dans le camp de travaux forcés avaient dévié de Dafa et étaient devenues des collaborateurs. Seuls quelques pratiquants qui n'avaient pas été transformés étaient détenus séparément à l'étage supérieur. J'ai utilisé la grève de la faim pour protester contre la persécution et ils m'ont gavé de force.

Quand j'ai vu les anciens pratiquants devenus collaborateurs qui aidaient la perversité, je me suis beaucoup inquiétée pour eux. La police a vu que j'étais en grève de la faim et ils n'ont pas osé me torturer davantage, mais ils ne m'ont pas permis de dormir pendant 18 jours et nuits. Ils ont envoyé des collaborateurs pour essayer de me transformer jour et nuit. J'ai récité les écrits du Maître pour eux. Certains d'entre eux se sont réveillés. Quand la police a vu que cela ne fonctionnait pas avec eux, ils ont fait venir un collaborateur de l'extérieur pour me transformer. Elle a parlé de son illumination perverse et a cité les paroles du Maître hors contexte. Elle avait beaucoup d'arguments absurdes. Cette personne était illégalement détenue en même temps que moi et a souffert de nombreuses formes de torture. À cette époque, elle était très ferme dans Dafa et je pouvais à peine croire qu'elle avait été transformée et était tombée comme ça. En fin de compte, elle n'a pas pu réfuter mes paroles et a dû partir. Puis ils ont envoyé un ancien coordinateur qui autrefois était proche de moi, pour me transformer. Je leur ai dit : « Qui que vous envoyiez, cela ne fonctionnera pas. Regardez comment ces collaborateurs ont changé après avoir été transformés, ils abusent et attaquent verbalement les gens, rien de comparable que la gentillesse qu'ils affichaient auparavant quand ils étaient pratiquants. »

Le Maître a dit :

« Comment est-il possible que ces clowns qui font le dieu et le diable en allant dans les centres de rééducation par le travail puissent duper les disciples de Dafa ? Même s’ils ont trouvé des dizaines ou une centaine de rebuts humains, des escrocs pour faire des mascarades, un cœur sans agitation, peut dominer dix mille agitations. » (« Eliminer le dernier attachement », Point essentiels pour un avancement diligent (II))

Le Maître a ouvert mon œil céleste. J'ai découvert que tous les collaborateurs étaient devenus des squelettes et c'était très effrayant. Le directeur du camp de travaux forcés m'a interrogé et a fait semblant d'être gentil avec moi. Il a mis un bol de riz en face de moi et a dit : « Veuillez me faire une faveur et juste manger un peu. » Je lui ai répondu : « Je suis innocente. Vous êtes dans le système judiciaire et vous connaissez les lois. Il est légal d'avoir une croyance spirituelle et il est illégal de torturer les gens. Je ne souhaite pas vous mettre dans l'embarras à cause de ma grève de la faim. C'est juste que Dafa est persécuté et que je ne dois pas être emprisonnée. » Il a vu que j'avais pris ma décision. Je lui ai aussi clarifié la vérité. Finalement, il m'a demandé de revenir dans la salle d'attente. Le chef d'équipe était très en colère et je pouvais voir la haine dans ses yeux. Les collaborateurs étaient également très en colère parce qu'ils ne pouvaient pas me transformer. Certains ont commencé à me gronder et ont dit que j'étais égoïste car ils ne pouvaient pas aller dormir. Ils ont commencé à me pousser et ne me laissaient pas dormir. En fin de compte, les autorités du camp de travail ont demandé à près de 100 collaborateurs provenant d'une autre équipe de me transformer, jour et nuit. Quelques collaborateurs ont vu qu'ils ne pouvaient pas me transformer. Ils se sont agenouillés devant mon lit et me suppliaient de manger. Ils ont également commencé leurs absurdités et ont vraiment agi comme des bouffons. Leurs fausses doctrines ne pouvaient pas du tout entrer dans ma tête. Après avoir été en grève de la faim pendant un mois, avec le renforcement du Maître, je suis sortie du camp de travaux forcés et j'ai de nouveau commencé à valider la Loi.

Je savais que sans la miséricorde du Maître bienveillant et une grande endurance, je n'aurais jamais pu sortir d'un endroit aussi pervers. Merci Maître ! Merci Maître ! Chaque fois que je me rappelle ces jours difficiles, mes yeux se remplissent de larmes.

Valider Dafa et sauver les êtres

Après être sortie du camp de travaux forcés, mon corps a récupéré rapidement sans intervention médicale, ce qui a encore une fois validé la magnificence de Dafa. Au même moment, mes parents (également des pratiquants) ont été très encouragés quand ils ont vu les miracles de Dafa. Alors que j'étais emprisonnée dans le camp de travaux forcés, ils ont également enduré beaucoup d'épreuves. Ma mère pleurait tous les jours et souhaitait que je sois à la maison. Après être rentrée, mon enfant a également recommencé à cultiver Dafa. Mon mari a également soutenu Dafa, mais mon ancien employeur a encore envoyé des gens pour me surveiller, même si ils m'avaient déjà congédiée. Lors des soi-disant dates sensibles du PCC, ils ont envoyé des gens pour me surveiller à l'extérieur, en face de mon domicile.

J'ai commencé à regarder à l'intérieur et j'ai trouvé de nombreuses lacunes : la peur, l'attachement à vouloir faire les choses, ne pas être en mesure d'étudier la Loi avec un esprit calme, émettre la pensée droite comme une formalité et ainsi de suite. Après avoir trouvé mes défauts, j'ai étudié la Loi diligemment et souvent. J'ai étudié tous les livres de Dafa. Ma crainte calmée, j'ai vraiment compris, en fonction du Fa, l'importance de clarifier la vérité.

Après être sortie du camp de travaux forcés, j'ai d'abord demandé à la police l'argent qu'ils m'avaient pris. Ensuite, j'ai clarifié la vérité aux dirigeants de mon ancien lieu de travail. Je leur ai dit que le Falun Dafa est bon et que les immolations sur la Place Tiananmen avaient été manigancées par le PCC. Je leur ai dit qu'il était illégal de me congédier parce que je suis une pratiquante de Falun Gong. Je leur ai aussi parlé de la torture dont j'avais souffert dans le camp de travaux forcés et que j'espérais qu'ils ne coopèrent pas avec la police pour me persécuter. Certains d'entre eux étaient sympathique à ma cause et certains ont dit qu'ils n'auraient jamais fait cela si ils n'en avaient pas reçu l'ordre des autorités supérieures. Je leur ai dit que quoi que les gens fassent, ils en sont tenus responsables. C'est un principe céleste que le bien sera récompensé par le bien et le mal recevra une rétribution. Plus tard, certains d'entre eux ont vraiment arrêté de persécuter le Falun Gong.

Un jour, j'ai rencontré le directeur de la banque avec qui je travaillais auparavant. Je n'avais pratiquement pas pris contact avec lui avant, comme il était déjà à la retraite depuis ce temps. Je lui ai dit que le Falun Dafa est bon. Il n'a pas écouté et m'a demandé de partir dès que j'ai commencé à lui parler du Falun Gong. Je ne me suis pas découragée et je lui ai dit qu'il ne devait rien faire pour moi et que je voulais juste lui parler des faits. Mais il avait toujours peur d'écouter et il s'est éloigné après que je lui ai dit quelques mots. Plus tard, je l'ai à nouveau rencontré dans la rue. Il était sur le chemin de l'hôpital pour se faire soigner et son visage était pâle et maladif. Je lui ai dit que c'était grâce à une relation prédestinée que nous nous sommes rencontrés à nouveau et je lui ai parlé à nouveau du Falun Dafa. Cette fois, il a écouté et ne m'a pas rejetée comme avant. Je lui ai dit de réciter « Falun Dafa est bon », ce qui sera bénéfique pour lui.


Il y a quelques jours, je l'ai à nouveau rencontré. Il m'a saluée de loin et m'a dit que j'avais l'air très bien. Il a dit que j'avais l'air en bonne santé et aussi jeune qu'avant, bien que j'aie été persécutée et que j'aie perdu mon emploi. Je lui ai expliqué que le Falun Dafa m'a donné une ouverture d'esprit et m'a appris la compassion et la tolérance. J'avais un esprit paisible et je ne détestais personne. Sinon, je n'aurais jamais pu y parvenir. Il l'a reconnu et j'ai vu que son visage était maintenant en très bonne santé et j'ai deviné qu'il avait dû déjà avoir accepté la vérité. J'étais vraiment heureuse pour lui.

Afin de faire face à la surveillance de la police, j'ai clarifié la vérité aux policiers chaque fois qu'ils sont venus chez moi pour me harceler.


Le Maître a dit :

« Si vous voulez qu’un être comprenne clairement ce point, vous devez aller vers lui et lui clarifier la vérité. C’est la clé à dix mille pouvoirs, la clé qui peut dévoiler cette chose qui a été scellée pour tous les êtres vivants pendant longtemps et qu’ils attendent depuis plus d’une éternité. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi à Atlanta 2003 »)

Un policier local a démissionné du PCC et de ses organisations affiliées après avoir appris la vérité. Plus tard, il a également dit au directeur du poste de police qu'ils ne devraient plus venir chez moi pour me harceler, étant donné que les pratiquants de Dafa ne vont pas causer d'ennuis pendant les Jeux olympiques de Pékin. J'ai aussi de nombreuses fois clarifié la vérité au directeur du comité résidentiel. Dans ce processus, ma compassion et ma tolérance se sont accrues. Mon égoïsme et ma peur se sont allégés. C'était vraiment comme le Maître a dit :

« Vous connaissez déjà le principe de loi d'engendrement et de domination mutuels, sans la peur, les facteurs qui vous font peur n'existeraient plus. Il ne s'agit  pas de se contraindre à agir, mais on atteint cela parce qu'on lâche vraiment prise avec le cœur tranquille. »(« Eliminer le dernier attachement », Points essentiels pour un avancement diligent (II))

Lorsque je n'ai plus eu peur, l'environnement s'est amélioré et je me sentais plus à l'aise en clarifiant ouvertement la vérité. Je n'avais plus peur de clarifier directement la vérité aux étrangers.

Au cours de la clarification de la vérité, beaucoup de choses étonnantes se sont produites. Au début de 2004, ma belle-mère, qui est septuagénaire, avait encore une maladie cardiaque pulmonaire. Le deuxième frère aîné de mon mari croyait vraiment que le Falun Dafa est bon. Il a vu que j'étais presque persécutée à mort, mais que j'ai rapidement récupéré uniquement grâce à la pratique des exercices. Il croyait que Dafa était vraiment miraculeux, il m'a donc appelé pour revenir à la maison. Nous avons roulé plus de 100 kilomètres et sommes arrivés à la maison de ma belle-mère. Dès que nous sommes entrés dans la chambre, ma belle-mère n'a pas pu s'empêcher de pleurer. Mes deux belle-soeurs se sont aussi assises sur le lit en pleurant. Les vêtements pour la tombe étaient disposés sur la commode. Ma belle-mère était si mince qu'elle semblait défigurée. Elle souffrait de cette maladie depuis ses 30 ans et son corps n'avait jamais récupéré. Je savais que sa maladie était grave. Je leur ai d'abord expliqué : « Les maladies de nombreuses personnes ont disparu en récitant Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. Mais certaines personnes ne voient pas beaucoup de changement. Qu'est-ce qui fait la différence ? C'est parce qu'ils croyaient vraiment que Dafa est bon. Cette situation est compliquée. En outre, si la maladie de ma belle-mère disparaissait après qu'elle ait eu récité Falun Dafa est bon, vous ne pourrez pas avoir peur de dire aux autres que Dafa l'a sauvée. Vous devez respecter votre conscience. » L'hôpital avait renoncé à essayer de la sauver. Tous les parents ont promis que dès que ma belle-mère serait de nouveau en bonne santé, ils diront à tout le village que le Falun Dafa est bon. Je suis allée dans la chambre de ma belle-mère avec mon mari. J'ai dit à ma belle-mère : « L'hôpital ne peut pas vous guérir. Seul Dafa peut vous sauver. Veuillez réciter sincèrement Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Ma belle-mère savait à quel point sa situation était terrible. Elle a crié de toutes ses forces : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

La santé de ma belle-mère s'est améliorée très rapidement. Bientôt, elle n'a plus eu besoin de son masque à oxygène ni de l'intra-veineuse. Elle pouvait s'asseoir et s'allonger. J'étais tellement excitée que j'ai pleuré et remercié le Maître. Le message a fait le tour du village et a provoqué un tollé. Les gens étaient étonnés que Dafa ait pu lui sauver la vie.


Avant, lorsque j'avais été illégalement condamnée aux travaux forcés, les villageois ne me comprenaient pas. Désormais, ils me regardaient avec respect. Ils sont venus pour écouter la vérité sur le Falun Dafa et ont accepté les documents clarifiant la vérité que je leur ai donnés. Tous les malentendus antérieurs ont été dissous. L'attitude de mes deux belles-sœurs envers le Falun Gong a également changé. Elles ont dit : « Le Falun Gong est vraiment bon et miraculeux. Maintenant, je comprends pourquoi les pratiquants préfèrent perdre leur emploi et être arrêtés plutôt que d'abandonner le Falun Gong. »

S'élever continuellement dans l'environnement du domicile


Le chemin de la cultivation n'est pas constant. J'ai rencontré de nombreuses tribulations créés par la famille et les amis. Passer par le processus extrêmement douloureux d'abandonner les attachements à la renommée, l'intérêt et l'émotion humaine n'a pas été plus facile que le camp de travaux forcés. Après avoir retrouvé ma liberté, en plus de bien faire le travail relié à Dafa sous une pression énorme, j'ai essayé de mon mieux de tout bien faire à la maison.

En plus de prendre soin de ma belle-mère, je devais aussi aider mes parents et les parents de ma belle-mère. Mais à la fin, personne ne m'a félicité et certains avaient même du ressentiment envers moi. Plus tard, nous avons acheté une nouvelle maison et nous avions prévu de laisser la vieille maison de trois chambres à mon enfant. Puisque mon enfant était encore trop jeune, un parent de ma belle-mère qui n'était pas encore marié est temporairement resté là. Mon frère, son enfant et mes parents sont restés dans une maison de deux chambres. J'en ai discuté avec mon mari que nous ne pouvons laisser le parent de ma belle-mère rester temporairement dans la maison de mes parents (deux chambres) afin qu'il n'ait pas besoin de louer une maison quand il se mariera. Nous avons ensuite laissé mes parents rester dans notre ancienne maison jusqu'à ce que nous ayons besoin de la maison. Donc nous avons résolu les difficultés des deux parents.


Puis l'un des parents éloignés de ma belle-mère a aussi pris la chance de déménager dans la maison de mes parents. Plus tard, un des parents de ma belle-mère s'est marié et est parti, mais l'autre parent éloigné s'est marié et a eu un enfant dans la maison de mes parents. Il a également acquis une nouvelle maison, mais personne n'y habitait. Il nous avait également emprunté 20 000 yuan quand il a acheté la maison. Mais comme elle était plus éloignée de son travail, il est toujours resté dans la maison de mes parents. Quelques années ont passé et il n'a jamais mentionné de rendre la maison ou de rembourser notre prêt. Bientôt, mon enfant a été sur le point d'aller au collège et nous avions besoin de l'argent. Dès que j'ai mentionné la maison de mon père, il s'est fâché ainsi que mon frère. Le parent éloigné de ma belle-mère ne voulait pas se déplacer ni rembourser le prêt. Je n'avais pas de revenu à l'époque et mon mari a emprunté de l'argent pour financer le collège de mon enfant. J'étais très perplexe, surtout parce que mon frère est aussi un pratiquant. Il a utilisé l'argent et les biens de mes parents, est resté chez moi et m'a aussi laissé toute seule prendre soin de ses parents. Parfois, je devais travailler de nuit pour prendre soin de mes parents. Si j'y allais moins souvent, mon frère devenait très malheureux et me criait après. Mon père était aussi un pratiquant et il nous demandait à moi et à mon frère de s'occuper de lui tout le temps. Je lui donnais toujours de bons aliments, mais il n'était pas satisfait. J'ai proposé de trouver un garde-malade, mais mon frère n'était pas d'accord. Mon mari rentrait toujours tard. Je savais qu'il avait une autre femme et elle était ma bonne amie. Ils se rejoignaient quand je prenais soin de mes parents. En outre, je devais aussi parcourir une longue route pour prendre soin de ma belle-mère qui était malade. Je subissais beaucoup de pression.

Cette série de tribulations paraissait insupportable. Comment un pratiquant (mon frère) pouvait-il être comme ça ? Le parent dont je m'étais le plus ocupée me traitait comme une ennemie, se fâchait et criait après moi dès que je parlais. Mon mari m'a trahi. Comment les gens peuvent-ils être si égoïstes ? J'ai pleuré. Dans un environnement très difficile dans le camp de travaux forcés, je n'ai jamais pleuré. J'étais dans un état différent à l'époque. Je n'avais pratiquement pas d'attachements à la renommée, l'intérêt ou les émotions humaines. Ainsi, j'ai vécu la difficulté de la cultivation et c'était tellement douloureux. Je savais que j'avais un fort attachement aux émotions pour ma famille. L'esprit d'un pratiquant ne doit être affecté par rien. Pourquoi n'ai-je pas de compassion et de tolérance pour les autres pratiquants ? Je n'ai pas regardé vers l'intérieur, mais utilisé Dafa pour juger les autres. J'ai compris que ces problèmes peuvent être liés à des relations prédestinées parce que tout ce qui se passe pendant la cultivation n'arrive pas par hasard.

Je pensais au salut bienveillant du Maître et je me suis décidé à me cultiver jusqu'à la fin. Je ne dois pas abandonner à mi-chemin. J'ai essuyé mes larmes et j'ai commencé à étudier le Fa avec un esprit calme. Chaque mot du Fa du Maître m'encourageait à m'élever. Plus j'avais des tribulations, plus je devais avancer diligemment.

Le Maître a dit :

« Chérissez-vous, chérissez surtout le chemin que vous avez achevé, alors, pour la suite de votre chemin, vous devez bien assurer vos pas également. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de Loi de la région ouest des États-Unis en 2004 »)

Si je n'avais pas cultivé dans Dafa, j'aurais divorcé de mon mari. Mais je suis une pratiquante et mon but est de retourner à mon authenticité première. Un vrai pratiquant ne devrait pas être attaché au gain et à la perte dans le monde humain. Je dois gérer tous les défis selon le Fa et bien me cultiver. C'est alors seulement que je peux mieux sauver les êtres et bien marcher sur le chemin de l'avenir.

Le Fa du Maître a clarifié mon esprit comme une source pure. Il était temps pour moi d'abandonner l'attachement fondamental aux émotions. Quand je regardais à l'intérieur avec un esprit calme, je trouvais de nombreuses lacunes. Toutes ces choses existaient pour tester mes attachements. En premier, il y avait mes émotions, dont les forces anciennes ont profité. Ensuite il y avait le gain personnel. J'ai toujours pensé que mon attachement au gain personnel était léger et que j'étais prête à dépenser de l'argent pour Dafa. Mais quand cela a vraiment touché mes intérêts, mon cœur a encore été affecté. Enfin, c'est la célébrité. J'aimais entendre de bonnes paroles à mon sujet. Je pensais avoir déjà beaucoup aidé mes parents. Au lieu de me remercier, ils m'en voulaient. Donc, mon cœur a été remué. En fait, bien que j'aie cultivé depuis plus de dix ans, j'avais encore une forte mentalité à combattre, au ressentiment, à la jalousie et à la colère. J'avais encore un fort sentiment de l'égo et de l'égoïsme. Je trainais encore dans le monde humain et je ne me conduisais pas d'une manière divine. La renommée, l'intérêt et les émotions m'ont affectée de sorte que je ne puisse pas avancer diligemment. J'utilisais les principes humains pour faire face aux problèmes que je rencontrais au cours de la cultivation. Je voulais cultiver dans la joie et je ne voulais perdre aucune chose humaine. Comment cela pouvait-il être la cultivation ? C'est seulement en renonçant aux attachements humains qu'une personne cultive vraiment.

Après que mon xinxing se soit élevé, j'ai parlé à mes proches avec un esprit calme. Ils m'ont tous compris et ont apprécié mon aide au cours des dernières années. Ils ont tous décidé de déménager. Mon mari savait déjà que les pratiquants de Dafa sont de très bonnes personnes et il regrettait ses erreurs. Afin de corriger ses erreurs, il a promis d'étudier les livres de Dafa et d'être sincèrement une bonne personne, même s'il ne cultive pas Dafa. Maintenant, je coopère bien avec les pratiquants du côté de mes parents. Nous sommes vraiment devenus un corps uni. Maintenant, nous avons moins d'attachements et plus de compassion. Les parents du côté de ma belle-mère ont également été très touchés. Ils ont prêté de l'argent à mon enfant et ont dit que nous pouvions le rendre quand nous voudrons. Après avoir abandonné tous les attachements, je me suis sentie très détendue. Actuellement, toute ma famille contribue activement à sauver les êtres. Mon enfant a également cultivé diligemment. Mon mari a commencé à lire les livres de Dafa et dit aux gens que le Falun Dafa est bon. Il aide également à distribuer un logiciel qui permet de contourner le blocus Internet. Beaucoup de ses amis ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées.

Merci Maître ! Merci Dafa ! Maître et Dafa m'ont aidée à dissoudre mon ressentiment et à émerger du monde humain pour prendre un chemin divin. Nous pouvons suivre le Maître pour rectifier le Fa et sauver les êtres. Qu'est-ce qui peut être plus important que cela ? Compagnons de pratique, avançons avec diligence pour sauver plus d'êtres. Faisons en sorte que le Maître ne s'inquiète pas de nous !

Merci Maître pour votre salut bienveillant ! Merci compagnons de pratique.

(Neuvième conférence de partage d'expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de la Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada