1ère partie : http://fr.minghui.org/articles/2013/9/11/44881.html
2e partie : http://fr.minghui.org/articles/2013/9/12/44888.html
3e partie : http://fr.minghui.org/articles/2013/9/17/44922.html
4e partie : http://fr.minghui.org/articles/2013/9/20/44948.html
(Minghui.org)
41. Une journaliste de CCTV reconnaît qu’une partie de l’auto-immolation a été mise en scène
Li Yuqiang est la principale journaliste pour l’émission Point de mire de CCTV. Depuis le début de la persécution en 1999, elle a été responsable de la production de programmes diffamant le Falun Gong, y compris plusieurs programmes d'interviews.
Au début de 2002, Li a interviewé des gens dans le camp de travail de Tuanhe à propos de l'auto-immolation, Zhao Ming, un prisonnier de Falun Gong, a soulevé la question de la bouteille de Sprite. Li a franchement répondu à la bizarrerie en disant : « Nous avons tourné cette scène après le fait. Si cela vous semble suspect, nous allons arrêter de la montrer. » Elle a ensuite tenté de faire valoir que la scène avait été organisée dans le but de prouver au public que les pratiquants de Falun Gong avaient dirigé l'auto-immolation.
Comment se fait-il que CCTV ait tourné des scènes « après le fait ? » Pourquoi Wang Jindong, quelqu'un qui est sensé être tellement fou et zélé qu'il s’immole par le feu, coopère-t-il pleinement avec le désir de CCTV pour filmer de nouveau la scène ?
42. Des organisations à l’extérieur de la Chine reconnaissent publiquement que l’auto-immolation étaient une mise en scène
Le 14 août 2001, lors d'une réunion de l'Organisation des Nations Unies, l'ONG internationale du développement de l’éducation a fait une déclaration officielle qui disait : « Le régime chinois souligne le soi-disant incident de l'auto-immolation sur la place Tiananmen le 23 janvier 2001 comme preuve pour calomnier le Falun Gong. Cependant, nous avons obtenu une vidéo de cet incident qui, selon nous, prouve que cet événement a été organisé par le gouvernement. Nous avons des copies de cette vidéo ici et les personnes intéressées peuvent s’en procurer un exemplaire. »
L'Organisation des Nations Unies, Reporters sans frontières, Amnesty International, The Washington Post et The Epoch Times ont tous reconnu des trous dans l'histoire officielle.
En 2002, un documentaire qui décomposait les images vidéo de CCTV, le False Fire, a reçu un prix d'honneur au 51e Festival international du film de Columbus.
43. Liu debout, trois policiers utilisent des extincteurs simultanément
Quand quelqu’un s’embrase, la personne tombe rapidement et est incapable de se déplacer très loin en raison d'une douleur intense causée par le feu qui brûle. Pourtant, la vidéo de surveillance montre que Liu Chunling en feu se déplaçait vers l’avant en chancelant. C’est seulement si la caméra avait été placée avant que Liu ne prenne feu que CCTV aurait pu être en mesure de capter cela. Dans le même coup, on voit trois policiers en train d'utiliser des extincteurs pour éteindre le feu en même temps. C'est-à-dire, que les trois policiers auraient dû réagir d'abord à l'incendie, prendre les extincteurs dans la/les voiture [s], courir sur une dizaine de mètres pour se rendre sur le lieu de l'incendie (le tout en moins de 10 secondes) ; et les trois policiers, à partir de différentes distances, seraient tous arrivés sur les lieux presque simultanément. Pourtant, les images de la télévision montrent la voiture de patrouille la plus proche à environ 10 mètres, avec d'autres voitures de patrouille beaucoup plus loin.
Il est assez étrange, alors, que les images de la télévision les montrent tous les trois debout à côté de la personne embrasée, dans leurs positions respectives, réglés juste à temps pour commencer à éteindre le feu ensemble et éteindre le feu en deux secondes. On s'attendrait à ce que le premier policier arrive sur les lieux pour éteindre le feu en premier, suivi par d'autres venant de différentes directions et de différentes distances.
44. Au moins deux auto-immolés ont été détenus en résidence surveillée
Deux des auto-immolés, Chen Guo et sa mère Hao Huijun, ont été détenus en résidence surveillée à la Maison du Bien-être de la ville de Kaifeng. Zhan Jingui, un officier à la retraite du Département de Police de la ville de Kaifeng était en charge de les garder. La police surveillait Chen Guo et sa mère jour et nuit pour éviter tout contact avec le monde extérieur. La police privée a révélé que le gouvernement a essayé de prendre soin des deux et de ne pas les laisser mourir, afin qu'ils puissent être utilisés pour attaquer et discréditer le Falun Gong.
45. Liu Yunfang a été arrêté alors qu’il ne s’était jamais immolé par le feu ; il fait des déclarations contradictoires
Il a été mentionné dans le rapport de Xinhua du 28 février 2001, « Liu Yunfang, qui se considérait comme un 'pratiquant chevronné de Falun Dafa', et qui, a directement organisé l'incident de l'auto-immolation sur la place Tiananmen, n'était pas aussi 'dévoué'. ... Conformément à leur accord préétabli, ils se seraient mis le feu à eux-mêmes pour parvenir à la « plénitude » sur la place Tiananmen, et programmé [l'incident] pour coïncider avec la Fête du Printemps. Mais Liu n'a même pas versé une goutte d'essence sur son corps. » Dans le Bureau de la sécurité publique du centre de détention de Pékin, quand un journaliste l’a questionné à ce sujet, Liu Yunfang s'est moqué de la question et a essayé de défendre les incohérences de ses actions et déclarations en disant : « Je n’ai pas mis le feu à ma propre personne parce que le 'maître' voulait que je reste. Il voulait que je vive pour que je puisse parler. »
Un an plus tard, les journalistes de CCTV ont interviewé Liu Yunfang. Lorsqu'on l'a interrogé sur le but de l'« «auto-immolation », Liu a déclaré que c'était pour « clarifier la vérité aux gens. »
« Clarifier la vérité » est un terme utilisé dans le Falun Gong pour décrire les efforts pour dénoncer les mensonges du régime communiste et dissiper les idées fausses au sujet de la pratique. « Plénitude » est un terme séparé qui se réfère à l'accomplissement d’une cultivation et pratique. Aucun de ces termes n'a rien à voir avec mourir ou une auto-immolation. Pourquoi Liu trompe-t-il délibérément le public avec ses paroles ? Et pourquoi Liu a-t-il changé son histoire - deux fois ?
46. Le PCC fait de fausses déclarations : « envie de s'immoler » après avoir lu des articles du fondateur du Falun Gong
Les médias du PCC ont affirmé que les « auto-immolés » ont été poussés à se faire brûler vifs après avoir lu des articles écrits par le fondateur du Falun Gong. Cela n'a pas de sens. Il y a tant de pratiquants de Falun Gong à travers le monde qui ont lu les mêmes articles.
Les pratiquants travaillent sans relâche pour clarifier les faits et dénoncer la persécution en Chine afin que les gens qui sont trompés par les rumeurs et les mensonges puissent comprendre la beauté du Falun Gong. Comment les « immolés » auraient-ils pu ne pas tenir compte du fait que d'innombrables pratiquants sont persécutés et ensuite se fassent brûler en public, donnant plus d'excuses au régime de Jiang Zemin de persécuter le Falun Gong ?
Bien sûr, depuis que la persécution a commencé, tous les livres du Falun Gong ont été interdits et personne en Chine continentale ne peut se les procurer facilement pour vérifier que cela est faux. Le PCC n'a jamais publié d'articles écrits par le fondateur du Falun Gong pour soutenir leur déclaration.
47. Un roman populaire banni immédiatement après l’incident
« Peu de temps après l'incident de l'immolation, un roman populaire qui avait été publié dix ans plus tôt, Catastrophes Jaunes (Huang Huo), a été, curieusement, interdit en Chine. Apparemment, la supposée auto-immolation sur la place Tiananmen ressemble étonnamment à un épisode de Catastrophes jaunes. Dans le chapitre deux du roman, quelqu'un paye des personnes en phase terminale pour qu’ils s’immolent, puis utilise l'incident pour diffamer les opposants à une persécution pour des motifs politiques. Jiang et compagnie ne se seraient-ils pas inspirés de l'incident de Catastrophe jaune ? Pourquoi l'interdiction soudaine ? » [1]
48. Jiang Zemin avait besoin d'un événement pour monopoliser l'opinion publique contre le Falun Gong
« Au milieu de 2000, près d'un an s'est écoulé depuis que le président d'alors Jiang Zemin a lancé sa persécution du Falun Gong. Les choses n'allaient pas comme Jiang avait imaginé cependant (c.a.d. une condamnation massive du Falun Gong par la population). Beaucoup de mensonges avaient été répandus, plus d'une critique acerbe avait été écrite et d'innombrables « sessions d'études » avaient été organisées, mais les gens ne gobaient tout simplement pas cela. Ils avaient vu un trop grand nombre de mouvements politiques de masse avant ; ils savaient ce que Jiang pouvait manigancer. De nombreuses personnes croyaient que : « Si Jiang n’aime pas le Falun Gong, qu'il se débrouille tout seul – ne nous empêtrez pas là dedans. »
« À l'exception de quelques régions qui ont scrupuleusement mis en place les politiques du Parti, les dirigeants dans de nombreuses régions, y compris même le personnel du Bureau 610, [l'organisme responsable de la mise en œuvre de la persécution du Falun Gong] n’étaient pas trop enthousiastes. Un ancien officier du Bureau 610 qui a été en charge du district de Hangu dans la ville de Tianjin a décrit la situation à ce moment-là en disant :
« Pour être honnête, les gens qui étaient en charge au niveau local n'ont pas aimé le faire [cette sorte de persécution], la police là-bas vivait à proximité de gens ordinaires. Par exemple, peut-être que vous vivez juste à côté de chez moi et nous nous voyons tout le temps. Comment pourrais-je vous arrêter, alors ? Et c’était à Hangu - une petite localité près de la mer avec seulement quatre postes de police. Qui que ce soit que tu arrêtes sera forcément une connaissance. L'épouse d'un policier peut travailler dans la même unité de travail que l'épouse de la personne qu'il arrête, par exemple. Les policiers du poste de police peuvent vivre dans la même rue dont ils ont la charge que la personne qu'ils arrêtent, qui peut vivre juste en bas de chez eux, au bout de la rue. Nous étions tous des voisins et des connaissances. Si des gens comme ça ne font rien pour corrompre ou enfreindre la loi, pourriez-vous avoir le coeur de les arrêter ?
« Lors de la cinquième session plénière du Quinzième Congrès national du PCC, tenue du 9 au 11 octobre 2000, à Pékin, plusieurs membres du Comité central du PCC ont remis en question la persécution du Falun Gong. Ils ont demandé des explications sur la campagne. Parmi les sept membres du Comité permanent du Politburo, quatre membres, soit plus de la moitié, à savoir, Zhu Rongji, Hu Jintao, Li Ruihuan, et Wei Jianxing, étaient opposés à la poursuite de la persécution du Falun Gong. Pendant ce temps l'ancien chef du Congrès du peuple, Qiao Shi, a exprimé qu'il était troublé par le meurtre d'innocents pratiquants de Falun Gong. Il est revenu à une certaine distance de Pékin et s’est rendu sur la place Tiananmen pour constater de visu le passage à tabac et l'arrestation d’adhérents dont il avait entendu parler. Zhu Rongji, premier ministre du Conseil d’État, s’est rendu en personne au cinquième département du Bureau de la sécurité publique de Pékin et a demandé aux responsables de la sécurité publique : « Ne rendez pas cela plus difficile que ça ne l'est déjà pour les pratiquants de Falun Gong ! »
« Jiang s’est creusé la tête pour trouver des façons de présenter le Falun Gong comme une « secte perverse. » Le 25 octobre 1999, dans une interview avec le journal français Le Figaro, Jiang a fait référence au Falun Gong pour la première fois en tant que « secte perverse »(xiejiao). Cette même année, lors de la réunion du Sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique (APEC) tenue à Auckland, en Nouvelle-Zélande, Jiang a personnellement remis au président des États-Unis et à d'autres dirigeants des livrets pour tenter de discréditer le Falun Gong. Il a même saisi l'occasion d'une entrevue avec Mike Wallace de CBS pour diffamer le Falun Gong, prétendant, à tort : « Des milliers de pratiquants de Falun Gong se sont suicidés. » Les médias en Chine continentale n'ont pas osé rapporter cette partie spécifique de l'entrevue, craignant que Jiang soit mis à jour et ridiculisé. Jiang a donc convoqué Luo Gan à de nombreuses réunions secrètes, afin de comploter pour inciter la haine publique envers le groupe de méditation encore populaire. Après des échecs répétés pour piéger les pratiquants de Falun Gong, Jiang a, à plusieurs reprises, discuté secrètement avec Luo Gan afin de créer une bombe qui diaboliserait le Falun Gong. Luo a donné à Jiang une garantie que cette fois, il réussirait. Luo a commencé par semer quelques graines de désinformation. Le 29 décembre 2000, l’Agence Xinhua gérée par le gouvernement et agissant selon les directives du Comité central du Bureau 610 – a présenté un récit de nouvelles anonymes qui parlait d’un « suicide collectif raté » par les membres du Falun Gong. Le reportage imprécis omettait de divulguer les noms des personnes qui auraient été impliquées, les détails de l'événement ou encore son emplacement. Selon le reportage, les adhérents avaient « suscité » et comploté un suicide collectif autour du jour de l'An. Le reportage avait pour but de préparer le lecteur à ce qui allait venir. Un mois plus tard, une fois que des images de l'auto-immolation aient été diffusées, les scènes troublantes et tragiques firent naître une colère énorme en Chine. L’animosité envers le Falun Gong a fait un bond, amenant la plupart des gens à oublier rapidement tout le bien qu'ils en étaient venus à voir dans la pratique et ses pratiquants. Les gens ont oublié ce qu'ils avaient vu avec leurs propres yeux et expérimenté pour eux-mêmes, comme si les affirmations du gouvernement étaient plus fiables. Telle était la puissance émotionnelle des images que CCTV avaient réunies. L'appareil de propagande de l'État était maintenant sorti de sa période d'accalmie avec une vengeance. Des personnalités de toutes sortes sont apparues à la télévision gérée par l'État pour condamner le Falun Gong. Comme ils parlaient, CCTV insérait périodiquement, pour un effet ajouté, une ou deux scènes effrayantes des immolations. Selon les instructions de Jiang, tous les médias en Chine, grands ou petits, ont donc lancé une nouvelle campagne de critiques visant le Falun Gong. Le Bureau général du Comité central du PCC a publié un avis déclarant qu'un mouvement politique national serait lancé pour « dénoncer davantage et critiquer le vrai visage de la secte perverse qu’est le Falun Gong. » Dans les quatre jours suivants le jour de l'immolation, l’agence Xinhua et l’agence Chine Nouvelles ont publié en ligne 107 et 64 articles, respectivement, critiquant et condamnant le Falun Gong. Les médias d'État ont affirmé que « le public » dans au moins quatorze provinces, municipalités et régions, s'était manifesté en masse pour dénoncer le Falun Gong. Il fallait que les dirigeants du Parti, du gouvernement et les militaires ainsi que des groupes de citoyens de toutes sortes montrent leur soutien au Comité central pour sa « sage décision. » Les organisations locales ont été invitées, quant à elles, à organiser des « réunions de critiques, » petites et grandes, pour condamner « les crimes innommables de la secte. » CCTV a diffusé quotidiennement des entrevues avec des personnes de tous les milieux qui montraient leur soutien, en rejouant assez souvent les scènes afin de s'assurer qu'aucuns yeux ou oreilles n'aient été manqués. L'objectif était que tous et chacun en viennent à haïr le Falun Gong. [1]
49. Jiang et Luo essayent de piéger les pratiquants de Falun Gong en mai 1999
« Avant, en mai 1999, lorsque la persécution du Falun Gong était encore dans sa phase préparatoire, Jiang et Luo ont une fois planifié une « action spéciale » à donner des frissons. D’abord, le Bureau général du Comité central a publié un document affirmant que dix mille pratiquants de Falun Gong avaient l'intention de commettre un « suicide collectif » à Xiangshan, la banlieue ouest de Pékin. Ce document a ensuite été délibérément divulgué aux médias étrangers pour être diffusé. La police locale, des policiers en civil, et des infiltrés ont passé le mot aux adhérents du Falun Gong qu'il y aurait un grand « rassemblement » à Xiangshan. Parallèlement à cela, des troupes de l'armée ont été dépêchées à Xiangshan, et la police anti-émeute a été mise en place en cachette. Tout cela était un piège élaboré. Des pratiquants de Falun Gong étaient destinés à être attirés là, à Xiangshan, où ils seraient assassinés. La scène serait alors dépeinte par la propagande des médias gérés par l’État comme un « suicide collectif » tragique ou « suicide raté. » Jiang aurait alors raison d'étiqueter le Falun Gong comme une « secte perverse », et les efforts pour encadrer et réprimer le groupe pourraient se développer avec facilité. Mais il s'est avéré que pas un seul pratiquant de Falun Gong ne s'est rendu à Xiangshan. Trois fois entre le 1er mai et le 9 septembre, des policiers et des policiers en civil ont changé la « date du rassemblement » ; ils l’ont transmise aux pratiquants de Falun Gong, espérant de meilleurs résultats. Le stratagème n’a rien donné à la fin. » [1]
50. Jiang réagit de façon excessive après la diffusion de la vidéo de déconstruction
« Dans la nuit du 5 mars 2002, la programmation normale de huit chaînes de télévision par câble a été interrompue et remplacée par une émission de 45 minutes sur le Falun Gong. L'émission comprenait des documentaires tels que « Auto-immolation ou tromperie ? » et « Propagation du Falun Dafa dans le monde ». Ce que la machine de propagande mensongère du PCC avait dit pendant des années a ainsi été discrédité en moins d'une heure. Les vidéos ont révélé une croissance rapide du Falun Gong en Chine continentale avant la répression ainsi que sa diffusion actuelle dans plus d’une soixantaine de pays ; on y soulignait la vérité à propos du Falun Gong et ses nobles enseignements de Authenticité, Bienveillance et Tolérance. Des centaines de milliers de personnes dans la ville de Changchun ont été étonnés que le documentaire « Auto-immolation ou tromperie ? » ait analysé les images de l'incident de la vidéo de CCTV au ralenti, en soulignant ses incohérences, une par une. Le lendemain, la séquence au ralenti de Liu Chunling après avoir été frappée à la tête par un policier alors qu'elle était en feu, était sur toutes les lèvres : on pouvait entendre les gens discuter de l'affaire au bureau, dans le bus, à l'école ou au supermarché, ce qui démontrait l'impact de la dénonciation d’un mensonge sur l'esprit des gens.
« Jiang était furieux quand il a entendu les nouvelles au sujet de la capture du signal télévisé ce soir-là. On a dit qu'il avait été secoué de colère pendant plusieurs minutes. Ensuite, il a réagi en martelant du poing sur la table et en criant : « Faites venir immédiatement Zeng Qinghong et Luo Gan ! » La secrétaire de Jiang, bien que déjà habituée à l'humeur de son patron, n'avait jamais vu Jiang aussi fou et violent. Pleinement conscient de la gravité de la question, la secrétaire a décroché le téléphone, ses mains tremblaient.
« Suite aux suggestions de Zeng et Luo, Jiang a ordonné que la préparation de la guerre de niveau II soit déclarée dans la Région militaire de Shenyang et que le niveau I soit établi dans la région militaire de Changchun et parmi la police armée de la province du Jilin. Luo a ordonné au Bureau de la sécurité publique de Jilin et au Bureau de la Sécurité publique de Changchun d’enquêter sur la capture du signal télévisé et de résoudre l'affaire dans un court délai. Comme Luo était au téléphone, disant à ses hommes ce qu'il fallait faire, Jiang a commandé :
« Dites à tous les policiers de tirer pour tuer tous les pratiquants de Falun Gong qui ont participé à la capture du signal de la télévision. Tuez-les, sans exception ! Je vous garantis que tout dirigeant qui tue les pratiquants de Falun Gong ne sera pas tenu pour responsable. Cette affaire doit être résolue dans une semaine, ou bien le chef du Parti de la ville de Changchun et les chefs de police à plusieurs niveaux dans la ville devront démissionner. » [2]
Références :
[1] Extrait de : « Anything for Power: The Real Story of China's Jiang Zemin – Chapter 17 »
[2] Extrait de : « Anything for Power: The Real Story of China's Jiang Zemin – Chapter 19 »
Traduit de l’anglais au Canada