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Fahui de Minghui | Valider le Fa tout en faisant un travail manuel journalier

1 décembre 2014 |   Écrit par Huilian, une pratiquante de Falun Dafa de la province du Liaoning

(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour, compagnons de cultivation !

J'ai découvert le Falun Dafa alors que j'étais en train de chercher un moyen pour guérir mes maladies. Après avoir étudié le Fa, j'ai compris que le Falun Dafa enseigne le principe Authenticité – Bienveillance - Tolérance. C'est une grande pratique, de haut niveau de l'école de Bouddha. J'ai laissé tomber ma recherche de vouloir guérir mes maladies - Je voulais être une pratiquante déterminée.

Une semaine après avoir commencé à pratiquer Dafa, les maux qui m'avaient torturée pendant de nombreuses années ont disparu.

Comme j'étudiais plus, j'ai appris à regarder à l'intérieur et à penser d'abord aux autres. J'ai travaillé sur l'abandon de mes attachements, tel que ma mentalité de vouloir me faire valoir, la jalousie, l'esprit de compétition et de me plaindre de l'injustice. Bientôt, la tension entre mon mari et moi a disparu.

Voyant mes changements physiques et spirituels, mon mari a commencé à pratiquer. Avec les millions de pratiquants de Dafa, nous avons suivi le principe Authenticité – Bienveillance - Tolérance pour purifier nos esprits et nous avons commencé à apporter à la société une moralité renforcée.

Cependant, le 20 juillet 1999, Jiang Zemin, alors à la tête du Parti communiste chinois (PCC), a commencé à réprimer le Falun Dafa. Les pratiquants de Dafa étaient persécutés.

Je suis allée chez un parent pour parler aux gens des faits sur le Falun Dafa, pour qu'ils puissent comprendre la magnificence de Dafa, la grandeur et la bienveillance du Maître, la gentillesse des disciples de Dafa et la vraie nature du PCC.

Sur mon chemin de retour, j'ai été arrêtée par la police à un poste de contrôle. Ils ont fouillé mon sac et trouvé des livres de Dafa. J'ai été arrêtée et placée dans un centre de détention où j'ai été forcée, pendant trois mois, à passer à travers le processus d'une réforme intensive.

Mon mari m'a rendu visite au centre de détention. Il m'a apporté une copie du nouvel article du Maître. Les gardes l'ont trouvé et l'ont arrêté. Il a été condamné à deux ans de camp de travail forcé.

Notre fils de neuf ans a été laissé tout seul chez nous. Nos voisins ont pris soin de lui. Plus tard, un de mes parents l'a pris chez lui.

J'ai été libérée après 90 jours. J'ai perdu mon travail parce que j'étais une pratiquante de Dafa. Pour subvenir à nos besoins mon fils et moi, j'ai accepté de faire un travail manuel journalier. Je plantais des arbres, chargeais des camions, cassais des pierres et j'ai ramassé de l'aubépine et des épis de maïs. Je prenais ce qu'on m'offrait, peu m'importait le travail.

On m'a demandé : « D'habitude vous étiez vêtue de blanc et travailliez dans un immeuble à bureaux. N'est-ce pas une souffrance pour vous de faire du travail manuel ? »

Je savais que ce n'était pas par hasard qu'une telle question m'était posée. En regardant à l'intérieur, j'ai trouvé plusieurs attachements : avoir le souci de ne pas perdre la face, avoir peur d'endurer des épreuves et celui de me plaindre de l'injustice. Je lui ai répondu, avec un sourire : « Je suis à l'aise de faire de l'argent avec mes propres mains. Ce n'est pas du tout une souffrance. » Alors je me suis débarrassée de ces attachements.

J'ai souvent répété par cœur, le poème du Maître : « Faire souffrir le cœur et la volonté » de Hong Yin :

« […] Prendre la souffrance comme de la joie.

La peine physique ne compte pas comme souffrance,

Cultiver le cœur est le plus difficile à supporter […]. »

En suivant le principe Authenticité – Bienveillance - Tolérance, je pensais aux autres. Nous avions généralement une pause pour le déjeuner d'une heure. D'autres personnes se reposaient en attendant le déjeuner. J'aidais le patron à mettre les choses en place pour le déjeuner.

J'ai continué de dire aux gens à quel point Dafa est merveilleux et les bienfaits que j'avais eus en pratiquant. Je leur disais aussi de faire attention aux mensonges que le PCC avait fabriqués au sujet de Dafa et des dommages que l'athéisme fait aux gens. Ils comprenaient et étaient ouverts à ce que j'avais à dire.

Puisque les gens appréciaient mon caractère et ma bonne attitude envers le travail, je trouvais toujours un autre emploi lorsque j'en terminais un.

Une fois, j'ai travaillé à la cueillette de maïs, pour un couple qui me connaissait. C'était des camarades de classe de mon frère. La femme m'a demandé : « Pouvez-vous faire du travail difficile ? Je me rappelle qu'il y a quelques années, vous aviez eu une crise cardiaque. C'était très effrayant. » Cela s'était produit il y a plusieurs années. Elle rendait visite à un membre de ma famille et j'étais là aussi. Soudain, j'ai fait une crise cardiaque. Elle m'avait vue m'allonger sur le lit, ma face pâlir et mes lèvres devenir pourpres ; et puis peu de temps après, on m'avait transportée.

« Aie-je l'air de quelqu'un qui est sur le point de mourir ? » lui ai-je demandé avec un sourire.

« Non, pas du tout. Vous paraissez en très bonne santé. Comment avez-vous recouvré votre santé ? »

Je leur ai dit que je pratiquais le Falun Dafa. Je travaillais rapidement en ramassant le maïs. Mon travail était propre et soigné. Le mari et femme ont dit : « C'est vraiment bien de pratiquer le Falun Dafa ! »

Une autre fois, j'ai ramassé du maïs pour un autre propriétaire. En travaillant, je récitais continuellement les enseignements du Maître :

« L'éveil dont nous parlons n'est pas celui-là ; être un peu idiot face à nos intérêts personnels, comme dit l'autre, c'est précisément ce que nous appelons l'éveil. Bien sûr, nous ne sommes vraiment pas des idiots, simplement nous prenons ces intérêts personnels avec légèreté, alors que dans d'autres domaines, nous sommes très intelligents. Que ce soit un projet de recherche ou une tâche confiée par le chef ou tout autre travail, nous les menons à bien avec l'esprit clair. C'est seulement lorsqu'il s'agit de nos intérêts personnels et de conflits entre les gens que nous prenons les choses avec légèreté. Qui pourrait vous traiter d'idiot ? Personne ne vous traitera d'idiot, c'est garanti. » (Zhuan Falun)

Puis j'ai regardé les autres travailleurs - j'étais quatre mètres devant eux.

À un autre emploi, je marchais vers la maison du propriétaire pendant la pause déjeuner. Soudain, je me suis sentie extrêmement fatiguée et ma poitrine serrait. J'ai réussi à entrer à l'intérieur et je me suis assise sur un kang (lit de briques chauffé qui sert à la fois de lit et de salon dans le Nord-Est de la Chine ). Je me suis allongée, j'avais l'impression d'être dans une fosse. J'étais étourdie et à bout de souffle. Mon corps était hors de mon contrôle. Je sentais que j'allais mourir.

J'ai eu une pensée : « Je suis une pratiquante. J'ai mon Maître. » Alors j'ai pu penser clairement. Je me suis dit : « Je suis une pratiquante. Je suis supranormale. » J'ai continué de me parler à moi-même : « Est-ce que j'ai une maladie ? Non. Alors pourquoi devrais-je être allongée ? » Je me suis levée immédiatement. J'ai apporté un bol de tofu à la table, puis un bol de petits pains. Mes jambes étaient si faibles que j'avais la sensation de marcher sur du coton. Je savais que le Maître était en train de me renforcer puisque j'avais eu la pensée d'être « une personne supranormale ».

Assise sur un tabouret, je voulais manger, mais je n'avais même pas la force de tenir un petit pain. La femme du propriétaire m'a demandé : « Vous êtes toute pâle. Êtes-vous souffrante ? »

Je me suis dit : « Je ne devrais pas m'asseoir ici et laisser les gens voir que je suis en mauvais état. Ce serait endommager la réputation de Dafa. » Je lui ai dit que j'allais bien et je me suis rendue à la salle de bain. Je ne pouvais pas me tenir debout dans la salle de bain non plus.

Appuyée contre le mur, j'ai commencé à regarder à l'intérieur. « Quelle était la cause de cela ? J'avais bien travaillé ce matin-là. J'avais aussi parlé aux gens à propos du Falun Dafa et ils avaient aimé écouter. Puis ensuite j'avais développé une attitude d'exaltation et les forces anciennes avait pris avantage de cela pour me créer des problèmes. Cet état était de la persécution et non pas un cas d'élimination de karma. Les forces anciennes ne voulaient pas que je parle aux gens des faits au sujet de Dafa. »

J'ai émis la pensée droite pour éliminer la perversité qui persécutait mon corps et la tentative vicieuse des forces anciennes de m'empêcher de faire entendre aux gens la vérité sur Dafa. L'interférence était forte. Je ne pouvais pas me concentrer. J'ai dit à voix haute la formule de rectification du Fa. Vingt minutes plus tard, mon esprit était clair. Mais je n'avais pas encore de force. Ni ne voulais manger non plus.

« Comment allez-vous ? » est venue me demander la femme du propriétaire.

« Je vais bien », ai-je répondu. Et j'ai suivi les autres jusqu'au champ de maïs.

Il m'était pénible de marcher. Je répétais sans cesse, dans mon esprit :

« […] c'est difficile à endurer, endurez-le quand même ; lorsque cela vous paraît impossible à faire,ou si on dit que c'est difficile à faire, essayez donc pour voir si c'est impossible. » (Zhuan Falun)

J'ai réussi à me rendre au champ de maïs, mais je n'avais pas la force de casser les épis de maïs. J'ai utilisé un clou pour briser la tige de l'épi. Puis j'ai mis le clou dans la tige et j'ai appuyé mon poids sur elle pour faire un trou. Puis j'ai mis le clou de l'autre côté pour faire un autre trou. Après quelques temps, c'est devenu plus facile de casser l'épi de maïs de la tige. En mettant la tige contre ma jambe, j'ai appliqué tout le poids de mon corps entier contre l'épi pour le rompre.

Mais cela me prenait trop de temps.

J'ai demandé au Maître de renforcer ma pensée droite. J'ai répété de mémoire, le poème du Maître « Pensée droites, comportement droit » (Hong Yin Vol. II)

« Les grand éveillés ne craignent pas les épreuves

La volonté taillée dans le diamant

Aucun attachement à la vie ou à la mort

Franc et sans obstacle, le chemin de la rectification de la Loi »

Ma force a commencé à revenir. J'ai cassé et récolté la même quantité de maïs que les autres travailleurs.

Lorsque nous avons terminé le travail ce soir-là, je ne ressentais aucune douleur. Mon corps était léger. J'ai roulé à vélo, « en volant » comme un oiseau jusqu'à la maison.

Je savais très bien que c'était le Maître qui me renforçait. Avec des pensées droites, j'ai pu surpasser la persécution contre mon corps de la part des forces anciennes. Sinon, les conséquences auraient pu être très mauvaises.

Merci Maître ! Merci, Dafa !

Je ne peux pas décrire la bienveillance et la magnificence du Maître avec des mots humains. La seule chose que je peux faire, c'est d'être diligente et de plus en plus diligente !

Merci Maître ! Heshi.

Traduit de l'anglais au Canada