(Minghui.org) Je suis un pratiquant de Falun Dafa âgé de 16 ans de la province du Hunan, Chine. J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1998. Voici mon expérience de cultivation.
Protégé par la grâce de la Loi de Bouddha
Ma mère m'a raconté qu'elle avait auparavant mauvais caractère. Elle m'a dit qu'elle avait souvent eu des avortements après être entrée en conflit avec mon père. Après cinq avortements, elle n'a plus été capable de tomber enceinte pendant plus de 10 ans. Ce n'est qu'après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa qu'elle m'a finalement eu.
J'ai été plongé dans la grâce de la Loi de Bouddha dès ma naissance. Les histoires de mon enfance qui suivent sont mes souvenirs et ce que ma mère et d'autres pratiquants m'ont raconté.
Ma mère a commencé à m'amener aux sessions d'étude du Fa quand je n'avais qu'un mois. Je ne pleurais pas, ni n'interrompais leur étude, même s'ils étudiaient pendant des heures.
Quand j'avais deux ans, je jouais avec mon cousin âgé de trois ans à l'extérieur devant sa maison. J'ai vu qu'une moto garée devant la maison allait lui tomber dessus, donc je me suis précipité pour l'aider. Il n'a pas été blessé, mais j'ai été renversé.
Ma tête saignait terriblement. En me voyant couvert de sang, ma mère a commencé à pleurer. Je lui ai dit : « Ne t'inquiète pas. Le Maître me protège. » J'ai commencé à répéter :« Falun Dafa est bon ». Je pouvais sentir un Falun tourner sur ma tête. J'ai eu neuf points de suture, mais j'ai récupéré en quelques jours.
Après que le Parti communiste chinois ait commencé à persécuter le Falun Gong, ma mère et mon père m'ont emmené avec eux pour protester contre la répression à Pékin. J'avais presque deux ans. Dans le train, j'ai récité les poèmes de Hong Yin et j'ai salué chaleureusement les gens.
Les passagers me félicitaient tous d'être aussi intelligent et poli. Ma mère, mon père et moi avons distribué des dépliants et affichés des informations sur le Falun Dafa dans les rues de Pékin de 6 h à 23 h.
Un jour, ma mère affichait de l'information sur le Falun Dafa dans notre ville natale, quand quelqu'un l'a pourchassée et a essayé de l'arrêter. J'ai ramassé un drapeau que j'ai vu par terre, je l'ai agité et j'ai crié fort : « Comment pouvons-nous laisser les corbeaux bloquer le soleil ? » J'ai distrait avec succès la personne qui pourchassait ma mère. Ma mère a pu se faufiler dans une foule de gens et a ainsi été sauvée.
Je suis ma mère pour clarifier les faits sur le Falun Dafa depuis de nombreuses années. Nous distribuons des dépliants, accrochons des banderoles, émettons la pensée droite à proximité des prisons et des camps de travail. Nous continuons pendant les vacances, la nuit et par mauvais temps.
Parfois, les quatre membres de notre famille sortent la nuit pour distribuer des dépliants et peindre des informations sur le Falun Dafa dans la rue. Au début, mes idéogrammes peints n'étaient pas très beaux, mais ma mère m'encourageait à pratiquer à les écrire. Nous avons peint des caractères chinois presque toutes les nuits et au fil du temps, mon écriture est devenue de plus en plus belle.
Une fois, j'ai peint en énormes caractères sur un mur : « Falun Dafa est bon ». Les autorités n'ont pas pu effacer mes mots pendant presqu'une année. Quand une équipe d'inspection de plus haut niveau est venue dans notre ville, ils ont enquêté sur les caractères et m'ont soupçonné.
Pendant plusieurs jours, un grand groupe de policiers a entouré notre immeuble de 5 h du matin jusqu'à tard dans la nuit. Ils ont coupé l'approvisionnement en eau et en électricité. Nos voisins ont dit à la police : « Pourquoi ne vous en prenez-vous pas aux voleurs et aux brigands ? Les membres de cette famille sont de bonnes personnes. Ils nettoient souvent nos escaliers et l'ascenseur et peignent nos rampes d'escalier. Pourquoi en avez-vous contre eux ? » La police a finalement abandonné.
À l'été 2005, ma mère et moi sommes allés à la campagne pendant une journée distribuer des dépliants de Falun Dafa. Une personne influencée par le Parti communiste nous a signalés. Une voiture de police a bloqué notre chemin.
Ma mère venait tout juste de terminer de clarifier la vérité à une gentille dame. La dame nous a cachés dans sa maison. Un policier est venu à sa porte et lui a demandé si elle nous avait vus. Elle a dit non. Après que le policier soit parti, la dame nous a recouverts avec d'épaisses couvertures. Nous étions trempés de sueur après une demi-heure.
Le poème du Maître dans « Qu'y at-il à craindre » de Hong Yin Vol. II, m'est venu à l'esprit :
« Si tu as peur, elle t'attrapera
Quand les pensées sont droites la perversité s'écroule
Ceux qui cultivent et pratiquent sont remplis de la Loi
En émettant la pensée droite les diables pourris explosent
Divinités dans ce monde validez la Loi »
J'ai dit à ma mère de se lever et d'émettre la pensée droite. Nous avons demandé au Maître de nous aider. La météo a radicalement changé. C'était une belle journée ensoleillée, mais il s'est soudainement mis à pleuvoir à verse. La gentille dame nous a donné des imperméables. Nous sommes partis en toute sécurité, en passant devant la voiture de police.
Quand mes amis venaient chez moi pour jouer, je leur parlais de la méditation et de démissionner des Jeunes pionniers, une organisation affiliée au Parti communiste chinois. Ils m'aidaient à passer le mot.
J'ai aussi aidé mes camarades de classe à démissionner des Jeunes pionniers sur mon chemin vers l'école. Une fois, j'ai mis plusieurs copies d'une lettre de clarification de la vérité sur les bancs de l'école après que tout le monde ait quitté l'école. J'étais en sécurité sous la protection du Maître. De nombreux élèves ont lu la lettre le lendemain.
Merci à la protection du Maître, j'ai survécu à des tribulations les unes après les autres et j'ai validé le Falun Dafa encore et encore. Il y a trop de tribulations à énumérer. Je ne suis encore pas à la hauteur sur de nombreux aspects de ma cultivation par rapport à d'autres pratiquants de Dafa.
Les pratiquants d'outremer ont travaillé si fort pour atténuer la persécution. Ce qu'ils ont fait est grand et encourageant. Je ferai les trois choses de mon mieux, comme le Maître nous dit de le faire. Mes actions justes sur le chemin de la rectification de Fa seront ma façon de remercier le Maître.
Veuillez m'indiquer quoi que ce soit d'inapproprié.
Merci encore Maître pour votre salut bienveillant et votre attention. Aucun mot ne peut décrire la gratitude que j'ai envers vous.
Traduit de l'anglais au Canada