(Minghui.org) J'ai une amie très têtue que j'ai rarement l'occasion de voir. Une autre amie m'a conseillé de ne pas lui parler du Falun Gong parce qu'elle était trop pragmatique et têtue. Mais je pensais que je devais continuer à essayer. Je sentais que je devais avoir des attachements qui m'avaient empêché de réussir à lui clarifier la vérité dans le passé. Je devais lui offrir le salut, alors j'ai souvent attendu qu'elle se présente chez notre amie commune, espérant avoir une autre occasion de lui parler.
Trois mois plus tard, elle est finalement venue. Quand elle a vu que j'étais là, elle n'a pas accordé d'attention aux salutations des autres et elle s'est approchée de moi tout de suite. Elle a dit : « Cela m'a vraiment ouvert les yeux ! » Tout le monde se demandait de quoi elle parlait. Elle nous a dit qu'elle avait rendu visite à son oncle, à Hong Kong, récemment et qu'elle avait vu une « chose très surprenante ».
« Le lendemain de mon arrivée, ma tante nous a emmenées faire les magasins. Nous marchions dans la rue la plus animée de Hong Kong et nous avons entendu un bruit assourdissant de gongs et de tambours. Un grand défilé approchait. Nous avons suivi la grande foule de spectateurs pour aller regarder cela.
« Après que nous avons traversé la foule pour aller devant, j'ai été choquée par ce que j'ai vu. Le défilé était dirigé par deux policiers en moto. Une immense banderole suivait, où on pouvait lire « Le PCC est condamné ! » La banderole suivante disait « Falun Dafa est bon ! »
« Je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer : 'Mon Dieu ! Personne ne les arrête ?' Ma tante a demandé : 'Arrêter qui ? Le Falun Gong est bien accueilli à Hong Kong. Ce n'est pas la Chine continentale. Ici, ils font souvent des défilés.' Je ne pouvais pas en croire mes oreilles. En Chine, ils doivent se cacher, pour faire les exercices. Personne n'ose les faire ouvertement.
« J'ai pensé que peut-être ils n'avaient rien d'autre à faire. J'ai regardé ces personnes attentivement. Ils étaient vêtus de costumes de gens d'affaires et paraissaient être instruits. Ma tante m'a dit que la plupart d'entre eux étaient des professionnels.
« J'ai demandé à ma tante de me pincer, pour m'assurer que je ne rêvais pas. Elle a dit : 'Non ! Ce n'est pas un rêve. » Je me suis pincée le visage. Ça m'a fait mal. Non ! Je ne rêvais pas ! »
Mon amie a décrit son expérience avec vivacité. Les autres écoutaient en silence et ils étaient stupéfaits. C'était complètement au-delà de leur imagination que le Falun Gong soit reçu ouvertement, ailleurs, même à Hong Kong.
Enfin, elle s'est tournée vers moi et m'a dit : « Je ne te croyais pas quand tu me disais comment les autres pays soutiennent le Falun Gong et comment il est pratiqué dans beaucoup d'autres pays. Maintenant, je crois tout ce que tu dis. Parle-moi plus sur le fait de quitter le PCC. »
C'est ainsi que mon amie a commencé à avoir une nouvelle compréhension du Falun Dafa. Je suis vraiment heureuse qu'elle ait eu l'occasion d'apprendre les faits sur le Falun Gong et qu'elle ait choisi un bel avenir pour elle-même.
Traduit de l'anglais au Canada