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Suivre le Maître et répandre la vérité sur le Falun Gong

19 septembre 2014 |   Écrit par une pratiquante de la province du Shandong, en Chine

(Minghui.org) Il y a quelques années j'ai fait un rêve. J'ai rêvé que j'étais à l'ouest de mon village et que je parlais du Falun Gong et de la persécution à un grand groupe de personnes. De plus en plus de personnes se sont rassemblées et m'écoutaient. Soudain, j'étais assise dans le ciel et il y avait une grande foule en dessous. Une voix a crié : « Dépêchez-vous et entrez, bientôt la porte va se fermer ! » Les gens qui étaient à l'extérieur de la porte (invisible) sont restés là et ils semblaient ne pas entendre la voix. Je me suis alors réveillée et j'ai compris que c'était un rêve.

Je n'ai toujours pas oublié ce rêve et j'y pense souvent. Nous devons nous dépêcher et éveiller les gens. Telle est notre mission et notre responsabilité.

J'ai 70 ans. Comme je ne suis pas très instruite, je n'ai pas été en mesure de contribuer beaucoup. Tout ce que je peux faire est de suivre les vœux du Maître d'accomplir notre mission sacrée. Chaque jour, je distribue des documents et je parle aux gens du Falun Gong.

Clarifier la vérité par tous les temps

Le température a été particulièrement chaude cet été, mais je ne suis pas restée à la maison et je n'ai pas pris de pause. Chaque jour, je suis sortie avec les autres compagnons pratiquants pour aider les gens à comprendre le Falun Gong et la persécution

Mon expérience la plus mémorable a été quand une dame s'est approchée de moi et m'a demandé : « Connaissez-vous quelqu'un qui pratique le Falun Gong ? » Je lui ai demandé ce dont elle avait besoin. Elle dit : « Tant de gens quittent le Parti communiste chinois (PCC). Je voudrais quitter la Ligue de la jeunesse. » Je lui ai dit que je pratiquais le Falun Gong et elle a dit : « Pourriez-vous m'aider à démissionner ? » Je lui ai répondu certainement et je lui ai demandé si elle comprenait pourquoi on devait démissionner. Elle a dit qu'elle avait compris après avoir lu des documents d'information. Elle m'a alors donné son vrai nom et m'a remerciée de l'aider.

Une autre fois, j'ai rencontré un monsieur d'âge mûr. Il a dit : « J'aime lire les documents du Falun Gong. Je m'assois souvent ici pour me reposer. S'il vous plaît apportez-moi souvent de nouveaux documents. » Il a ajouté : « Le PCC est si corrompu, il aurait dû périr il y a longtemps ! »

Bien sûr, il y a encore des gens qui refusent d'écouter la vérité. Chaque jour, je rencontre des gens qui m'insultent ou me ridiculisent. Parfois, les gens essaient de nous signaler. Mais nous n'avons pas peur. Nous cherchons toute personne qui peut être sauvée. Quand je suis couverte de sueur et que mes vêtements sont trempés, ou que j'ai très soif, je me sens incroyablement heureuse quand je regarde la liste des personnes dans mes mains qui veulent quitter le PCC.

Parfois, il faisait tellement chaud que j'étais étourdie quand je rentrais à la maison. Mon mari me disait : « Pourquoi n'es-tu pas restée à la maison aujourd'hui et n'as-tu pas fait une pause, il faisait tellement chaud, tu aimes ça souffrir, n'est-ce pas ? » Dans mon cœur, je sais que ma souffrance ne se compare pas avec ce que le Maître endure pour sauver les êtres.

Mon mari me soutient beaucoup. Il prend soin de toutes les tâches ménagères pour que j'ai du temps libre pour faire des choses pour Dafa.

Par un jour de pluie, j'ai apporté à un chantier de construction des documents d'information sur le Falun Gong. Il y avait une douzaine de travailleurs là-bas. Je leur ai dit que les pratiquants de Falun Gong sont de bonnes personnes qui suivent le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et que le PCC essaie d'empêcher les gens de pratiquer le Falun Gong et qu'ils prennent même les organes des pratiquants et les vendent pour faire de l'argent. Les travailleurs ont tous compris et ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées.

Quand j'ai donné à une professeur de danse, mon dernier DVD de Shen Yun, je lui ai dit : « C'est un don précieux. Il contient des choses étonnantes et il vous aidera. » Elle a dit : « Je vais le regarder tout de suite ! » Quand je lui ai dit de quitter le PCC, elle a immédiatement accepté de démissionner.

Arrêter le mal avec des pensées droites

Une fois, une pratiquante avait rendez-vous avec moi pour aller parler aux gens du Falun Gong. Elle est arrivée la première et elle a vu un jeune homme qui attendait l'autobus. Elle s'est approchée de lui et lui a donné le logiciel Internet anti-blocus. L'homme l'a attrapée par le bras et a essayé de téléphoner à la police. La pratiquante m'a vue venir. Elle s'est libérée et a couru vers moi et m'a dit que l'homme appelait la police.

J'ai tout de suite dit à la pratiquante de partir. Puis je me suis dirigée vers l'homme et je lui ai dit : « Jeune homme, cette dame voulait que vous sachiez la vérité et c'est pour votre bénéfice. Pourquoi voulez-vous que la police l'arrête ? » L'homme a dit : « Oublions cela, » et il a raccroché le téléphone.

Il m'a demandé : « Avez-vous de ces documents d'information dans votre sac vous aussi ? » Mon sac en était plein, mais j'étais très calme et je ne lui ai pas répondu directement. Je lui ai dit que j'allais magasiner au marché. Par souci de sécurité, je ne lui ai pas parlé du Falun Gong. Mais plus tard, j'ai découvert qu'il travaillait pour le Bureau 610.

Renvoyée chez moi deux heures après avoir été arrêtée

Le 17 août de l'année dernière, quand une pratiquante et moi distribuions des DVD de Shen Yun, quelqu'un nous a signalées. Nous avons été arrêtées et emmenées au poste de police.

Un policier m'a demandé qui m'avait donné les DVD. Je lui ai dit : « Je ne vais pas vous le dire. » Il m'a demandé pourquoi. J'ai répondu : « Si je vous dis qui est la personne, vous allez l'arrêter. » Il s'est levé et a quitté la pièce. Maintenant il n'y avait que la pratiquante et moi dans la salle. J'ai émis la pensée droite et j'ai demandé au Maître de nous aider. J'ai pu passer un appel téléphonique à un autre pratiquant et je lui ai dit que nous étions détenues au poste de police.

Après avoir reçu mon appel, le pratiquant a immédiatement informé les membres de ma famille. Ma famille est venue au poste de police tout de suite et a demandé que je sois libérée. Le pratiquant a aussi informé les autres pratiquants locaux d'émettre la pensée droite. Je pouvais sentir la perversité être en train d'être défaite.

Avec la protection du Maître, mes compagnons de pratique et les membres de ma famille ont agi comme un seul corps. En l'espace de deux heures, nous sommes retournées saines et sauves à la maison.

Traduit de l'anglais au Canada

Version chinoisse : http://www.minghui.org/mh/articles/2014/8/31/听师父的话-讲真相不怠