(Minghui.org) L'instructeur politique, le chef adjoint du poste de police du bourg et deux autres policiers sont entrés par effraction chez moi, à 17 h 45, le 6 août 2015. Ils ont déclaré qu'ils enquêtaient sur les poursuites judiciaires contre Jiang Zemin. Ils ont vite montré leur identification et ils ont commencé à chercher dans mon domicile.
Je les ai avertis : « Vous enquêtez au sujet des actions en justice contre Jiang Zemin. Pourquoi cherchez-vous chez moi ? Ne faites pas de mauvaises choses en suivant Jiang. » Ils ont répondu : « Nous ne faisons que suivre les ordres. » J'ai dit : « C'est un mauvais ordre. Vous serez tenus responsables de vos actes. » Ils ont continué à chercher et ils ont pris de nombreux livres de Dafa, des copies de l'Hebdomadaire Minghui et d'autres documents. Ils m'ont arrêté à 18 h 30.
Au poste de police, j'ai eu une pensée : « Je suis un disciple de Dafa. Mon Maître décide tout. Je ne coopère pas avec la perversité. » J'ai émis la pensée droite et j'ai clarifié la vérité aux policiers. À 20 h, ils m'ont renvoyé chez moi.
Le lendemain matin, ils m'ont arrêté à nouveau et m'ont dit que le chef de la division de la sécurité intérieure locale allait s'occuper de mon cas. Il a dit que vu les objets trouvés chez moi, j'allais être condamné à au moins deux ans de prison.
Six policiers sont venus à tour de rôle m'interroger. Je n'avais pas peur. Je leur ai dit qu'ils violaient la loi et commettaient des crimes en fouillant les domiciles des pratiquants sans mandat de perquisition et en m’arrêtant. Je leur ai dit que la Cour populaire suprême maintenant garantissait le processus de toutes les plaintes criminelles et civiles, ainsi j'avais le droit de poursuivre Jiang Zemin en justice. Je leur ai demandé de me libérer immédiatement.
À midi, ils ont permis à ma fille de me rendre visite et de m'apporter un déjeuner. Ma fille a partagé avec moi que la police lui avait demandé 20 000 yuans pour me laisser partir. J'ai dit à ma fille : « Je n'ai commis aucun crime. Ne t'inquiète pas. Je t'en prie ne leur donne aucun argent. » J'ai commencé à émettre la pensée droite après le déjeuner et j'ai demandé au Maître de me renforcer.
Durant l'après-midi, j'ai partagé mes expériences de cultivation avec les policiers et je leur ai dit comment je faisais de bonnes actions et comment nous nous efforçons à être de bonnes personnes. Ils m'ont dit de signer leur paperasse pour m'envoyer au département de police, mais j'ai refusé. Plus tard, j'ai appris que ma famille avait eu peur que je sois condamné, alors elle avait négocié avec eux et leur avait donné dix mille yuans, vers midi. La police avait accepté de me détenir pendant 15 jours, sans condamnation.
En allant au département de police, le chef de la circonscription administrative a reçu un appel téléphonique du département lui disant de me ramener et de me rendre l'argent. En l'espace d'une heure, ils ont rendu les dix mille yuans à ma famille.
Le chef de la circonscription administrative a refusé d'obtempérer, alors nous nous sommes rendus au département de police. Il est allé avec ses gens et m'a laissé avec un autre policier dans la voiture. J'ai clarifié la vérité au policier et il a été d'accord pour retirer son adhésion au Parti communiste chinois.
Une heure plus tard, le chef de la circonscription administrative est revenu. Il a dit que le directeur n'était pas là, que nous devions repartir.
Sur le chemin du retour, je leur ai dit : « Vous ne serez plus capables de vivre une vie paisible si vous continuer à persécuter le Falun Gong. De nombreuses personnes qui ont participé à la persécution ont reçu des rétributions karmiques. Ces fonctionnaires corrompus sont maintenant punis, comme Zhou Yongkang, Xu Caihou, Guo Boxiong et Li Dongsheng, tous ont reçu la rétribution karmique à cause de leur rôle actif dans la persécution. Vous devriez arrêter de suivre Jiang en persécutant le Falun Gong. »
Le chef a dit : « Nous ne savions pas cela. Si nous l'avions su, nous ne l'aurions pas fait. Nous sommes désolés. Nous ne savions pas que ceci allait causer autant de problèmes. » Ils ont continué de s'excuser devant moi. J'ai dit : « Je vous dois des excuses. J'aurais dû vous clarifier la vérité plus tôt. »
Ils ont demandé : « Est-ce le moment de prendre le droit chemin ? » J'ai dit : « Oui, c'est le moment. Si vous choisissez de vous placer du coté de Jiang Zemin et continuez de persécuter le Falun Gong, vous irez contre la volonté du Ciel. Si vous choisissez de protéger le Falun Gong, votre vie sera en sécurité et heureuse. »
Nous avons discuté tout le reste du voyage. Le chef a demandé : « Que devrions-nous faire dans cette enquête ? Nous allons vous écouter. » J'ai dit : « Si vous traitez les autres pratiquants de Falun Gong comme vous me traitez, vous commettez des crimes. Ils ont tous été beaucoup persécutés. S'il vous plaît, ne les harcelez plus. » Ils étaient tous d'accord.
Ils ont dit : « Vous pouvez rentrez chez vous d'abord. Si qui que ce soit nous ordonne à nouveau [de vous harceler], nous ne vous dérangerons plus de nouveau. » J'ai dit : « Ils ne vont pas vous l'ordonner. » Et ils ont répliqué : « S'il vous plaît, demandez à votre Maître de ne pas nous punir. S'il vous plaît, aidez-nous à prier. » J'ai dit : « Personne ne vous punira. C'est le ciel qui juge le bien et le mail. Si vous vous rappelez 'Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon', vous serez bénis. »
Merci Maître ! Compagnons de cultivation, veuillez m'indiquez tout ce qui est inapproprié.
(Douzième conférence de partage d'expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)
Traduit de l'anglais au Canada