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Les résidents de Toronto fêtent les 200 millions de Chinois qui se sont libérés des chaînes du communisme

23 avril 2015 |   Écrit par Zhang Yun, un correspondant de Minghui

(Minghui.org) Les résidents de Toronto se sont joints aux pratiquants de Falun Gong pour fêter les 200 millions de Chinois qui ont retrouvé leur liberté en renonçant à leurs adhésions aux organisations communistes. Le 11 avril, au cours de l'activité de deux heures dans le quartier chinois de Toronto, 61 Chinois se sont joints aux 200 millions.

Plus de 100 pratiquants de Falun Gong et résidents locaux longeaient les principales intersections du quartier chinois avec des banderoles telles que « Soutenez les 200 millions de Chinois qui ont quitté le PCC » et « Le Parti communiste chinois se désintègre. »

Les pratiquants de Toronto et des résidents locaux fêtent les 200 millions de Chinois qui ont démissionné des organisations communistes.

L'Epoch Times a publié les Neuf commentaires sur le Parti communiste en 2004, qui analyse systématiquement comment le Parti a maltraité les gens avec la violence et des propagandes trompeuses. Ceci a lancé un mouvement populaire très répandu parmi les Chinois pour rompre leurs liens avec le Parti.

« Plus de 199 millions de Chinois ont quitté les organisations du PCC, à un rythme de plus de 100 000 par jour », a dit Mme Dong, une bénévole et pratiquante de Falun Gong. Elle a expliqué que ces chiffres font référence à ceux qui ont quitté le PCC ou ses organisations affiliées, y compris la Ligue de la jeunesse et les Jeunes pionniers.

En date du 16 avril, le nombre total avait dépassé 200 millions.

Banderoles lors de l'activité.

 

Il est écrit en chinois sur la banderole : « Cessez de persécuter le Falun Gong ».

« Je sais que c'est difficile, mais s'il vous plaît continuez »

Cet événement a attiré beaucoup d'attention de la part des passants. Generiere Smith, une étudiante de l'Université de Toronto, s'est arrêtée pour en savoir plus après avoir vu les banderoles.

Mme Smith a signé la pétition demandant à mettre fin aux atrocités des prélèvements d'organes à vif en Chine. Les larmes aux yeux, elle a dit au correspondant de Minghui qu'elle savait que les pratiquants travaillaient fort à ce sujet, parce qu'elle les voyait souvent sensibiliser les gens dans la région.

Les pratiquants récoltent des signatures appelant à mettre fin à la persécution et aux prélèvements d'organes à vif en Chine.

« Je sais que c'est difficile, mais s'il vous plaît continuez », a dit Mme Smith. « Si tout le monde signait la pétition en soutien, nous pourrions faire cesser les prélèvements d'organes à vif qui ne devraient pas se produire à la base. »

Generiere Smith, une étudiante de l'Université de Toronto.

Vlad, un Canadien, et son amie coréenne, parlent tous deux le chinois et ont discuté longuement avec un pratiquant et ont signé la pétition.

Curieux au sujet des exercices, Vlad a posé beaucoup de questions. Le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance l'interpelait et il a demandé plus d'informations pour l'aider à commencer à apprendre la pratique.

Vlad (à gauche) est intéressé à apprendre le Falun Gong.

Un groupe de cinq étudiants universitaires des États-Unis se sont arrêtés pour signer la pétition. « Vous faites la bonne chose et nous soutenons ce que vous faites », a dit Rana Rhalil, l'un des étudiants.

Trois Tibétains se sont arrêtés et ont décidé de quitter les organisations du PCC. Ils ont remercié les bénévoles qui les ont aidés à déclarer leurs démissions et ont dit qu'ils espéraient que le Parti s'effondre bientôt.

 

Une chauffeuse s'est arrêtée pour signer la pétition.

Un ancien sénateur : « Les gens doivent être libres »

Le mouvement de quitter le PCC n'est pas accidentel, a expliqué Consiglio Di Nino, un ancien sénateur canadien (1990-2012) au cours d'une récente entrevue téléphonique : « Il a été prouvé que chaque fois que le communisme a été présenté comme un parti politique, il a échoué. »

« 200 millions de personnes est un nombre impressionnant », a dit Di Nino. « Nous pourrions avoir besoin d'un nombre encore plus élevé pour que la Chine se soumette à un véritable changement, mais jusqu'à présent, ce nombre augmente rapidement. De plus, certains hauts dirigeants qui comprennent la situation vont peut-être commencer à agir de l'intérieur. »

Di Nino a dit que de plus en plus de gens commencent à s'opposer au Parti communiste chinois et que leur courage l'inspire. « Les gens doivent être libres », a-t-il dit.

Consiglio Di Nino, ancien sénateur canadien (1990-2012)

La cause de ce problème, selon M. Di Nino, est que le communisme restreint la liberté. « Il ne permet pas la liberté d'expression ni la liberté de la presse, bien que ce soient des principes fondamentaux de la nature humaine. » Il a félicité les Chinois, qui sont reconnus pour être de bons citoyens, de bons travailleurs ayant de bonnes valeurs familiales et sociales. « Mais le communisme ne favorise pas cela. »

Banderoles au Pacific Mall dans le nord de Toronto.

Le mouvement de démissionner du PCC s'accélère

Notant également les changements positifs, Mme Dong, une bénévole du Centre d'aide pour démissionner du PCC, a dit qu'elle était heureuse de voir maintenant plus de Chinois quitter le Parti en groupe.

« Beaucoup de nos bénévoles appellent en Chine, les informant au sujet des Neuf commentaires et des choses que le PCC a fait pour nuire aux gens. Parfois, nous parlons avec une personne au téléphone, qui partage ensuite la conversation téléphonique avec sa famille ou avec ses collègues au travail et un grand nombre de personnes décide de quitter le PCC en même temps. »

Mme Dong a dit avoir été particulièrement émue par le président d'une compagnie. Après avoir parlé avec une bénévole de l'étranger et avoir accepté de renoncer à son adhésion au Parti, cette personne a dit qu'il avait une demande : « Mon entreprise a plus de 1 000 employés. Vous serait-il possible de tous les aider à démissionner du Parti ? »

Traduit de l'anglais au Canada