(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996 et j'ai vécu de nombreux bienfaits depuis cet époque.

Devenir bien-portant

Enfant, j'étais fragile et j'avais eu de nombreuses maladies, dont des bronchites, des migraines, et des insomnies. Après avoir été opéré en 1982, je ne pouvais plus dormir sur le côté.

Les examens faits à l'hôpital ne montraient rien de précis et les médecins étaient déconcertés par ce nouvel état étrange.

Mais, après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996, je n'ai plus ressenti les symptômes de cette maladie étrange. Ceci a renforcé ma détermination à cultiver et à croire dans le Maître et le Fa, quel que soit la quantité de tribulations auxquelles j'avais à faire face.

Je souffrais d'un bras infecté et douloureux en 2006. Le mal est parti après avoir étudié le Fa et cherché à l'intérieur, mais il est revenu par la suite. J'ai continué l'étude du Fa et à chercher à l'intérieur encore et encore.

Ceci a continué jusqu'en 2007 quand je me suis finalement rendu compte que cette situation portait préjudice à tout ce qu'un pratiquant doit faire, y compris l'étude des livres de Dafa, l'émission de la pensée droite et parler de la pratique aux gens.

Chercher à l'intérieur m'a aidé à trouver beaucoup d'attachements, et finalement je me suis rendu compte qu'inconsciemment je souhaitais être dans cet état étrange. Je me demandais si, d'une façon ou d'une autre, ces pensées encourageaient l’interférence des forces anciennes.

La capacité à chercher à l'intérieur est une arme précieuse du Fa que le Maître nous a donné et c'est quelque chose que tout pratiquant doit faire. Mais la maladie ou l'inconfort ne devraient pas servir de rappel constant à chercher à l'intérieur. Le Maître n'avait pas arrangé cela et je ne devais plus permettre à cela de continuer. Après l'avoir compris, je n'ai plus été dérangé par la douleur de mon bras.

Cet incident m'a aidé à comprendre que la cultivation et pratique doit être prise au sérieux. On ne peut sous aucun prétexte être influencé par les arrangements des forces anciennes.

Pensées et actions droites

J'étais d'accord avec des compagnons de pratique pour aller distribuer des documents de Dafa et mettre des affiches d'information sur Dafa dans des villages de campagne. Juste avant de partir, je me suis fait une entorse.

J'étais assis par terre avec mon pied qui me faisait très mal, et j'ai vu que ma cheville était devenue noire et enflée. Nous avions prévu de couvrir de nombreux village ce soir-là et nous savions que nous faisions ce qui est la chose la plus juste : parler du Falun Dafa aux gens. Je me suis décidé à y aller quand même, et mon pied ne m'a plus fait mal.

Cette nuit-là, nous avons mis plusieurs centaines d'affiches dans plus de 20 villages. Quand je suis rentré à la maison, mon pied était tellement enflé que je n'arrivais pas à enlever ma chaussure, mais le lendemain après-midi ma cheville était redevenue normale.

Une autre fois, je me suis levé à 6h pour émettre la pensée droite et j'ai découvert que je n'avais plus de sensation dans ma jambe gauche. Je me suis quand même mis dans la position du double lotus pour émettre les pensées droites.

Ensuite, j'ai préparé le petit déjeuner et étudié le Fa, émis les pensées droites et cherché à l'intérieur. J'ai pensé « Je suis un pratiquant et je ne peux pas rester paralysé. Cette situation devrait être résolue par mes pensées et actions droites ». Ensuite, cet après-midi-là, j'ai, comme il avait été convenu, distribué les Neuf commentaires sur le Parti communiste

Cette nuit-là, en rentrant chez moi, ma jambe allait bien. Comme j'ai traité le problème comme une illusion, ce qui avait affecté ma jambe a été éliminé.

La colère est une chute dans la cultivation

J'ai décidé d'étudier le Fa avec mon père de 86 ans qui est partiellement sourd. Je devais répéter mes explications deux trois fois, ce qui irritait mon père et le mettait en colère Il m'a accusé de me laisser aller à la nature perverse.

J'ai eu la sensation d'avoir été maltraité, parce que je le faisais pour son bien et je trouvais que les mots durs n'étaient pas nécessaires. J'ai quitté la maison dans un accès de colère.

Le lendemain matin, je me suis réveillé avec de fortes douleurs au ventre. J'ai cherché à l'intérieur, mais je ne comprenais pas pourquoi j'avais mal. C'était tellement fort qu'à 10h, j'ai trouvé que c'était difficile à supporter. Dans mon cœur j'ai dit au Maître : « Maître, votre disciple n'arrive pas à comprendre ce qui se passe. S'il vous plaît, éclairez-moi ».

Aussitôt, je me suis souvenu à quel point j'avais été en colère en quittant furieux la maison de mon père. Je me suis rendu compte que se mettre en colère constitue une sérieuse défaillance dans ma cultivation. J'ai avoué silencieusement au Maître à quel point j'avais eu tort.

J'ai compris que j'ai eu ces douleurs au ventre parce que je voulais imposer ma volonté aux autres, et aussi que j'étais incapable d'accepter la critique. J'ai fait sortir ces attachements par la racine, et la douleur a disparu.

Je remercie le Maître de m'avoir guidé sur mon chemin de cultivation.

Traduit de l'anglais en France