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Grandir sous la protection de Dafa

18 octobre 2018 |   Écrit par un jeune pratiquant de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Je suis né dans les années 2000 et je vis toujours chez mes parents. J'ai commencé mon chemin de cultivation et de pratique du Falun Dafa en 2012. J'ai beaucoup changé en grandissant avec le Fa pour me guider et j'aimerais partager certaines de mes expériences.

Une brute m'a aidé à améliorer ma vertu

Dans ma classe en cinquième année, nous avions une brute qui s'asseyait près de moi. Il ne faisait pas attention en classe et nous dérangeait tous. Il nous maltraitait verbalement. Beaucoup d'élèves ne l'aimaient pas et ils étaient mécontents de son comportement. Ils se sont plaints de lui à l'enseignant et l'enseignant a essayé de le convaincre de bien se comporter, mais cela n'a pas marché.

Il essayait toujours de trouver qui le dénonçait. De plus en plus d'élèves avaient peur de lui et prenaient son parti, perturbant la classe avec lui. J'ai essayé de le dissuader de son mauvais comportement, mais il n'a pas voulu m'écouter. Je me suis souvenu de ce que Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, a dit :

« Comme personne qui pratique le gong, vous devez d’abord parvenir à ne pas rendre les coups quand on vous frappe, à ne pas rétorquer quand on vous insulte ; vous devez exercer le Ren. Sinon, comment seriez-vous digne d’être un pratiquant de gong ? » (Zhuan Falun)

Finalement, j'ai été le seul à ne pas faire partie de son gang, alors je suis devenu sa cible privilégiée. Il essayait tout pour me faire tomber et m'insultait tous les jours. Notre professeur vérifiait chaque jour si notre espace était propre. Cette brute n'arrêtait pas de jeter ses ordures sous ma chaise.

Le Maître a dit :

« Chaque fois qu’il faisait venir des choses malfaisantes, je les purgeais, et après les avoir nettoyées, je continuais d’enseigner la Loi. » (Zhuan Falun)

Je nettoyais ses ordures, peu importe ce qu'il jetait dans mon espace. Il a vu que je tolérais ce comportement, alors il a changé de stratégie. Quand il était temps de faire ses devoirs, il était violent verbalement, mais je l'ignorais. Lui et ses acolytes me pourchassaient et me battaient pendant les cours d'éducation physique ou les récréations. Un jour, je me suis énervé, j'ai crié et je l'ai frappé.

J'en ai parlé à ma mère. Elle est aussi une pratiquante. Elle m'a encouragé : « Essaie plus fort de l'éviter, ne le laisse pas t'ennuyer. Tu es un pratiquant et il n'est qu'une personne ordinaire. Tu devrais être tolérant. » J'ai compris que je n'avais pas bien réagi.

Il aimait me crier dessus et m'intimider, mais juste moi, personne d'autre. Il avait beaucoup d'acolytes. Ils ont même inventé des mensonges à mon sujet et les ont répandus ; certains élèves y ont cru.

Un jour, nous étions tous les deux dans le bus. J'étais près de la porte et il m'a frappé par-derrière. La porte était ouverte et je suis sorti en volant, en heurtant fort le sol et en atterrissant sur ma main droite. Mon genou était meurtri et mon pantalon déchiré. Je me suis retourné et je l'ai regardé, mais je n'ai rien dit. Il n'arrêtait pas de me crier dessus. Je me suis levé et je suis parti.

Mon bras droit était enflé quand je suis rentré à la maison et il me faisait mal. Je n'ai pas dit ce qu'il avait fait au professeur ni à ses parents. À l'école, nous préparions un spectacle pour la Journée des enfants. J'ai répété dans la douleur ; je ne pouvais rien soulever de lourd ni fermer le poing. Ma mère était inquiète, mais je lui ai dit : « Le Maître prend soin de moi. Tu n'as pas à t'inquiéter. » L'enflure a disparu en deux semaines et la douleur a disparu en un mois.

Quelque temps plus tard, quelqu'un a dit au professeur tout ce qu'il m'avait fait. Le professeur lui a parlé deux fois. Alors, il m'a détesté encore plus. Un jour, deux des membres de son petit gang m'ont secrètement dit qu'il avait apporté un couteau à l'école pour me menacer. Ils m'ont averti que je devais rentrer chez moi quand la journée d'école serait terminée. J'ai pensé que je pratiquais le Falun Dafa et que je serais protégé.

Après l'école, j'ai fini le nettoyage de routine. Sur le chemin du retour, j'ai demandé au Maître de me protéger. Cette brute m'a regardé rentrer chez moi à pied, mais n'a pas fait un pas dans ma direction. J'ai réussi à rentrer chez moi en toute sécurité.

Depuis ce jour-là, il a arrêté de m'intimider. De plus en plus d'élèves quittent son gang.

Dafa m'a donné la sagesse

Le professeur aime demander mon aide. Je l'ai aidé à organiser des activités en classe et à résoudre des problèmes techniques. Et j'ai bien fait mon travail. Je sais très bien que ma sagesse et mes capacités viennent de Dafa. Je ne pourrais pas réussir sans Dafa ni le Maître.

Mémoriser des mots anglais n'est pas facile. Pour certains élèves, il leur faut habituellement une demi-heure pour mémoriser 20 mots. Mais ça ne me prend que cinq minutes.

Je trouve le travail scolaire très facile, alors j'ai beaucoup de temps à consacrer à l'étude du Fa. J'ai une bonne mémoire parce que j'étudie une conférence du Zhuan Falun par jour. Je comprends que l'arrangement du Maître est toujours le meilleur.

Je suis prudent avec mon argent

Beaucoup d'élèves achètent des collations après l'école, mais pas moi. Ma mère ne me donne pas beaucoup d'argent de poche. Je pense qu'être économe est une vertu. J'ai Dafa dans mon cœur et ça c'est la vraie richesse.

Chaque année, je dépense 500 yuans de mes propres économies pour aider mes compagnons de cultivation à produire des documents de clarification de la vérité. Parfois, j'en mets un peu dans le porte-monnaie de ma mère quand je sais que l'argent est rare. Mes économies augmentent !

Merci, Maître, de vous occuper de moi ! Merci, mes compagnons de cultivation !

Traduit de l'anglais au Canada