(Minghui.org) Pour avoir pratiqué le Falun Dafa, j’ai été persécutée par le Parti communiste chinois (PCC). Après que j’ai été emprisonnée dans un camp de travaux forcés pendant environ vingt et un mois, la direction m’a demandé de retourner au travail. C’était une opportunité pour moi d’aider mes collègues à comprendre le Falun Dafa et la perversité de la persécution.
Ensuite, après un certain temps, mon superviseur m’a conseillé à moi et mes collègues d’étudier fort pour un examen, car cela affecterait notre paie. Le jour de l’examen, j’ai répondu à certaines questions rapidement, alors qu’il y avait d’autres questions auxquelles je ne savais pas comment répondre. J’ai été la première à retourner l’examen. Le directeur m’a demandé si j’avais répondu à toutes les questions et j’ai répondu : « J’ai répondu à toutes celles que je savais. » Il se demandait pourquoi je retournais l’examen si rapidement, car j’aurais pu copier certaines des réponses de quelqu’un d’autre plus tard.
« Je suis une pratiquante de Falun Dafa », ai-je dit, « et je suis le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je vais me préparer mieux la prochaine fois pour les questions que je ne savais pas. » Le directeur a acquiescé et les gens ont dit que les pratiquants de Falun Dafa sont très sincères.
Manifester la bonté du Falun Dafa
Un jour, une collègue a crié que j’avais essayé de tirer la prise électrique sans raison, et ne cessait de crier contre moi. J’ai pensé : « Je suis une pratiquante et rien n’est fortuit. »
Le Maître a dit :
« Bien sûr, vous n’allez pas être prévenu de l’arrivée des tribulations et des conflits ; si tout vous était annoncé, comment pourriez-vous cultiver et pratiquer ? Ils ne produiraient plus d’effet. Habituellement, ils surgissent de manière inattendue, c’est seulement ainsi que l’on peut mettre à l’épreuve le xinxing d’une personne, c’est seulement ainsi qu’elle peut élever vraiment son xinxing et c’est seulement ainsi qu’on peut voir si elle est capable de maîtriser son xinxing, donc quand un conflit surgit, il n’est pas fortuit. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)
J’ai demandé au directeur ce qui se passait. Le directeur m’a dit que cette personne était instable et que tout le monde faisait attention en sa présence. Un autre collègue a dit à cette personne que la prise électrique était dans la salle de contrôle et que seul le personnel autorisé y avait accès. Elle s’est alors calmée, après quoi je lui ai donné des fruits et des biscuits. Notre collègue a apprécié mon geste de bonté et d’autres collègues ont commencé à penser du bien du Falun Dafa à cause de cet incident.
Mon environnement de cultivation au travail s’est amélioré, car je ne cessais de me rappeler que je suis une pratiquante et que mon travail et ma vie font partie de ma cultivation.
Mes collègues apprennent la bonté de Dafa
Nous n’étions pas très occupés au travail, ce qui me permettait d’étudier le Fa, de faire les exercices, de mémoriser le Fa, d’émettre la pensée droite et de clarifier la vérité.
Un collègue vivait dans le dortoir de la compagnie, car il demeurait trop loin de notre lieu de travail. Alors qu’il retournait chez lui pendant ses vacances, il m’a demandé d’écrire des poèmes de Dafa pour sa famille. Plusieurs collègues m’ont encouragée à faire les exercices au travail et environ cinq d’entre eux m’ont demandé de leur enseigner la méditation assise.
Quand une collègue avait un conflit avec notre directeur, elle disait : « J’aimerais être une pratiquante de Falun Dafa. Les pratiquants de Falun Dafa n’argumentent pas avec les autres et ils ne se fâchent jamais contre les gens. »
Ensuite, quelques stagiaires sont venus à mon travail. J’ai été très serviable, alors ils voulaient m’emmener dîner ou m’acheter de beaux fruits, mais je leur ai dit que je n’accepterais rien car je suis une pratiquante de Falun Dafa et que je suis le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je leur ai parlé de Dafa et l’un d’eux voulait pratiquer Dafa. Il a crié haut et fort : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! »
Les actions droites apportent du soutien à Dafa
Le Maître a dit :
« … les jeunes femmes font grand cas des soins de beauté, elles veulent une peau plus claire et plus belle. Je vous dis que si vous pratiquez réellement une méthode de cultivation simultanée de l’esprit et du corps, vous y parviendrez automatiquement, je vous assure que vous n’aurez plus besoin d’aller dans un salon de beauté. » (Cinquième Leçon, Zhuan Falun)
Les gens qui me connaissaient disaient que je rajeunissais sans cesse. Ils voyaient que les pratiquants bénéficient de pratiquer Dafa. Par conséquent, les gens me croyaient quand je parlais de Dafa et ils démissionnaient du PCC après que je parlais de Dafa et de la façon dont le PCC persécute brutalement le Falun Dafa.
Quand j’ai débuté mon travail, un secrétaire du Parti m’a appelée plusieurs fois pour discuter. Je lui ai naturellement clarifié la vérité. Il a compris et m’a dit de ne pas hésiter à aller le voir si j’avais besoin d’aide. Il m’a souvent offert une bonification. Je disais : « Mon enfant et moi n’avons pas besoin d’argent pour les dépenses médicales. Mon salaire est suffisant pour nous deux. » Il a suggéré que je prenne la bonification et que je mette l’argent de côté.
Cela m’a permis de parler du principe de Dafa. « Je suis le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance », ai-je dit. « Ce ne serait pas correct de mettre des bonus dans un compte d’épargne. »
Une autre fois, il m’a offert un travail plus payant. Je lui ai dit : « Si le déplacement est dû à un besoin de la compagnie, alors je ne serai pas contre. Autrement, je n’accepterai pas, car je suis une pratiquante de Falun Dafa. Je ne veux pas choisir mon environnement. Je peux utiliser mon propre comportement pour changer l’environnement. »
Après plusieurs conversations de la sorte, le secrétaire du Parti a dit : « J’ai appris ce qu’est le Falun Dafa grâce à toi. Si tu veux garder ta croyance, je vais pleinement te soutenir. Je n’ai pas peur de perdre mon titre. » Mon comportement droit a fait comprendre la vérité à ce secrétaire du Parti.
Faire face à l’adversité
Une fois, un superviseur m’a demandé de venir dans son bureau. Il y avait environ cinq personnes du département de police, incluant le secrétaire du Parti. Ils voulaient avoir une discussion avec moi.
On m’a demandé : « Récemment, certaines personnes du Falun Dafa ont essayé de diffuser de l’information sur le Falun Dafa à la télévision. Que pensez-vous de cela ? » J’ai répondu que je ne pensais pas qu’il connaissait la vérité au sujet du Falun Dafa et je lui ai expliqué que les pratiquants utilisaient cette approche pour clarifier la vérité aux gens. Les agents sont devenus tendus et l’un d’eux a demandé si je pratiquais toujours le Falun Dafa.
« Ce n’est pas seulement pratiquer les exercices », ai-je dit. « C’est aussi cultiver et devenir une meilleure personne. Cela bénéficie à la société, au travail et à la famille. »
Le secrétaire du Parti est alors intervenu et a dit : « La conversation s’arrête ici. Vous pouvez retourner travailler maintenant. » Il a ensuite invité tout le monde dans le bureau à dîner. Plus tard, il m’a dit encore qu’il me protégerait, même si la police était contre le fait qu’il me protège. Ils lui avaient dit : « Elle est si bornée et vous continuez à la déclarer comme une bonne employée. »
Retourner au travail après plus de deux ans dans un camp de travail
En 2007, alors que je parlais aux gens du Falun Dafa et de la persécution dans l’autobus en chemin vers mon travail, j’ai été arrêtée par des agents en civil et emprisonnée dans un camp de travaux forcés pendant deux ans et quatre mois.
Quand je suis retournée à mon travail après cela, l’équipe de direction avait changé. Le nouveau secrétaire du Parti était profondément empoisonné par les mensonges du PCC et diffamait Dafa et le Maître. Il a demandé que j’écrive une déclaration de garantie et que je la donne à mon superviseur.
J’étais inquiète, car je venais juste d’être libérée du camp de travail et je n’avais pas eu l’opportunité de bien étudier le Fa. J’avais encore beaucoup de conceptions humaines et je manquais d’une forte pensée droite. Je sentais que je ne devais pas commencer un conflit avec lui.
Mon plan était de retourner travailler et de clarifier la vérité plus tard après avoir eu la chance d’étudier le Fa à nouveau. Le premier jour, j’ai apporté un papier à mon superviseur qui disait : « Je suis reconnaissance pour les soins et le soutien des dirigeants. Je vais corriger tout ce que j’ai mal fait au travail. Je vais faire mieux dans le futur. »
Le superviseur a lu ma déclaration plusieurs fois. J’avais l’impression qu’il pensait peut-être que ce n’était pas ce qu’ils recherchaient. J’ai supplié le Maître dans mon cœur de protéger ces êtres, de ne pas leur faire commettre de crime contre Dafa et de ne pas laisser la perversité tirer avantage d’eux. À ce moment-là, le superviseur a ri et a dit : « Bien, bien. »
J’ai remercié le Maître dans mon cœur. C’est le Maître qui a protégé cet être. J’ai réalisé que le Maître utilisait sa bouche pour me dire que j’avais fait la bonne chose.
Mes collègues m’ont souhaité la bienvenue. Le superviseur et le directeur m’ont même aidée à trouver mon meuble de rangement perdu où j’avais rangé beaucoup de livres et documents de Dafa.
Quand j’ai pris ma retraite et que j’ai quitté mon travail, j’avais aidé la majorité de mes collègues à comprendre la bonté de Dafa et la perversité de la persécution. Beaucoup avaient démissionné du PCC.
Traduit de l’anglais au Canada