(Minghui.org) Je pratique le Falun Dafa depuis plus de vingt ans. Durant cette période, j’en suis venu à comprendre que Dafa est là pour sauver tous les êtres, pour leur apprendre à faire le bien selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et pour aider chacun à revenir à sa bienveillance innée et naturelle.
Le fait que je sois parvenu jusqu’ici est un hommage au salut du Maître, qui ne peut pas être exprimé avec des mots. La seule chose que je peux faire, c’est cultiver vraiment dans Dafa et bien faire les trois choses pour sauver plus de gens.
J’aimerais partager certaines de mes expériences de distribution des documents d’information sur Dafa de l'année dernière. Pendant cette période, mon xinxing s’est élevé et un plus grand nombre de personnes ont appris la vérité.
Rentrer chez nous
En juin 2017, ma femme et moi sommes allés dans un grand immeuble pour distribuer des documents d’information sur Dafa. La sécurité de l’immeuble nous a signalé à la police.
Après avoir tout distribué, nous avons quitté l’immeuble pour rentrer chez nous, mais la police nous a arrêtés à l’arrêt du bus. J’ai réalisé que nous étions en mauvaise posture, mais après j’y ai vu l'occasion de les sauver parce qu’il était difficile de rencontrer des policiers pour leur clarifier les faits. Quand ma femme les a vus, elle a émis la pensée droite et a éliminé les éléments des forces anciennes derrière eux. Quand notre pensée droite s'est manifestée, nous n’avons plus eu peur.
En allant au bureau de la sécurité, je sentais que le Maître nous renforçait. Sur leurs bureaux, il y avait des documents de Dafa que nous venions de distribuer. Ils avaient eu vent que nous pratiquions le Falun Dafa et plusieurs d’entre eux nous regardaient avec beaucoup de curiosité.
Je leur ai dit de regarder attentivement ces informations afin qu’ils puissent comprendre la vérité sur Dafa, ce qui leur apporterait des bénédictions. Je leur ai parlé de Dafa et de la façon dont mes nombreuses maladies incurables avaient disparu, après avoir commencé à pratiquer.
Ils m’ont écouté sans m’interrompre.
Mon épouse a rapidement été autorisée à rentrer chez nous, mais ils m’ont emmené au poste de police pour me faire une prise de sang.
Si je me soumettais, n’accepterais-je pas leur persécution ?
Quand quelqu’un m'a saisi la main pour insérer l’aiguille dans mon bras, je me suis souvenu des paroles du Maître :
« Un de nos élèves est allé à l’hôpital, plusieurs aiguilles se sont tordues quand on l’a piqué et pour finir tout le liquide s’est échappé de la seringue sans qu’on ait pu enfoncer l’aiguille. » (Zhuan Falun)
« Vous ne pouvez pas me faire de piqûre », ai-je dit. « Mon Maître s’occupe de moi. » En effet, il avait beau essayer, l’homme ne pouvait pas insérer l’aiguille. Il a appelé un jeune homme pour l’aider, mais l’aiguille ne pouvait toujours pas pénétrer dans ma peau.
« Oublions ça ! Omettons cette partie », a-t-il dit. Il est ensuite allé sur l’ordinateur, mais il ne fonctionnait pas non plus.
Il s’est finalement tourné vers moi et m’a dit : « Vous êtes âgé. Je vous renverrai chez vous après cette formalité. »
Ils m’ont ensuite emmené dans un autre bureau et ont travaillé sur l’ordinateur pendant environ une heure. Puis il a demandé : « Pourquoi n’avez-vous pas signé nos papiers ? »
« Je n’ai violé aucune loi. Pourquoi devrais-je signer ? »
Après cela, ils ne m’ont plus demandé de signer quoi que ce soit et m’ont finalement permis de partir après minuit. Je suis rentré chez moi en taxi.
Le directeur adjoint veut lire le Zhuan Falun
Un policier et un directeur adjoint nouvellement nommé ont frappé à ma porte. Ce policier s'était opposé à moi pendant plus d’une décennie et savait que ma croyance en Dafa était inébranlable. Il connaissait aussi la vérité sur Dafa. Cependant, il n’avait pas pris position lorsque je lui avais demandé de démissionner du Parti communiste chinois (PCC).
J’ai accueilli les deux policiers et je les ai invités à entrer. Le directeur adjoint a exprimé sa gratitude.
« Je traitais habituellement les affaires de vols dans une autre région et je ne comprenais pas quel était le problème avec le Falun Dafa, » a-t-il dit. « J’aimerais en apprendre davantage sur la pratique. J’ai entendu dire que vous êtes un pratiquant engagé. Pourquoi tant de gens le pratiquent ? »
Je lui ai expliqué pourquoi nous défendions le principe de Dafa Authenticité-Bienveillance-Tolérance, même face à une persécution extrême. Je lui ai aussi expliqué que j’avais de nombreuses maladies, qui ont été guéries sans traitement après avoir commencé à pratiquer. Et j’ai expliqué comment devenir une bonne personne en ayant une meilleure compréhension de la relation entre la perte et le gain.
« Pouvez-vous s’il vous plaît me prêter le livre pour le lire ? » a-t-il demandé.
« Les pratiquants chérissent ce livre », ai-je répondu. « C’est un livre provenant du ciel. Un vrai pratiquant se comporte conformément aux exigences énoncées dans le livre, l'étude et la pratique tout au long de la vie vont continuer à élever l’état d’esprit et les normes morales de la personne. C’est une expérience commune parmi les pratiquants de Dafa. C’est pour cela qu’il est précieux. » J’ai ensuite sorti le livre pour le lui donner.
Il s’est précipité dans la cuisine pour se laver les mains. Après les avoir essuyées sur un torchon, il a pris le Zhuan Falun avec ses deux mains, s’est assis et a commencé à le lire.
Les gens aiment lire Le but fondamental du communisme
La publication du livre Le but fondamental du communisme peut réveiller le monde de l’esprit pervers du communisme et ramener les gens à la culture traditionnelle chinoise. Cette publication est fortement recommandée pour sauver les gens. J’en ai fabriqué plus de 50 exemplaires et je les ai distribués.
Une fois, dans un bus, j’étais assis à côté d’un homme âgé. Au cours de notre conversation, j’ai demandé s’il avait lu ce livre. Il a dit qu’il ne l’avait jamais vu. « Il est très bon », lui ai-je répondu en le lui remettant.
Il l’a regardé et a dit : « Merci ! Je le lirai en rentrant chez moi. »
Un autre jour, un homme a laissé tomber de la monnaie alors qu’il payait ses courses. J’ai ramassé les pièces de monnaie, je les lui ai remises et je lui ai dit : « Nous devons avoir une relation prédestinée. je vais vous donner un nouveau livre. »
Il l’a regardé et a dit : « Oh ! C’est bien. Nos destinées doivent vraiment être liées. »
J’essaie de parler du livre au plus grand nombre de personnes possible. Je suis allé dans un quartier commerçant bondé et j’ai vu un homme âgé qui essayait de faire des achats. Il y avait trop de monde et il avait des difficultés.
Je me suis approché de lui. Je lui ai donné le livre et je lui ai demandé de le regarder.
« Je ne vois pas très bien », a-t-il dit. « Je vais devoir rentrer chez moi et prendre mes lunettes. »
Pendant que je lui parlais, la personne à côté de moi regardait aussi le livre. Il semblait aussi vouloir en avoir un, alors je lui ai remis un exemplaire. Il a souri puis est parti rapidement. Il y avait tellement de gens ce jour-là, et beaucoup voulaient un exemplaire du livre. Malheureusement, je n’en avais pas assez pour tous ceux qui en voulaient.
Traduit de l’anglais en Suisse