(Minghui.org) M. Liu Fubin, un habitant du canton autonome mongol de Dorbod, dans la province du Heilongjiang, a subi à plusieurs reprises le refus d'une libération conditionnelle pour raison médicale, en dépit de son état grave. Il a été arrêté en 2009 en raison de sa croyance en Falun Dafa et a été condamné à 10 ans de prison en mai 2010.
Le Falun Dafa, également connu sous le nom de Falun Gong, est une pratique du corps et de l'esprit qui est persécuté par le régime communiste chinois (PCC).
M. Liu vomit tout ce qu’il ingère depuis juin 2017. Tous ses symptômes indiquent une défaillance des organes et il ne peut plus s’occuper de lui-même. Sa famille a essayé à plusieurs reprises de négocier avec les autorités pénitentiaires pour libérer M. Liu pour raison médicale, mais toutes leurs demandes ont été rejetées. M. Liu est sur le point de mourir.
Ce qui suit est la lettre d'appel que la femme de M. Liu, Li Shuchun, a écrite aux procureurs du canton autonome mongol de Dorbod :
Chers officiers et procureurs de la sécurité publique du canton de Dorbod,
Je m'appelle Li Shuchun et mon mari est Liu Fubin. Je vous écris pour vous dire à quel point la persécution a été dévastatrice pour mon mari et ma famille. Nous avons été injustement persécutés pour notre croyance dans le Falun Dafa, une pratique qui nous a été bénéfique à bien des égards.
Santé et bonheur
Avant de cultiver et pratiquer le Falun Dafa, je souffrais de problèmes cardiaques, d'hyperthyroïdie et de bronchites, et ce, à l'âge de 25 ans. Ma fille, Liu Rui, qui avait quatre ans à l'époque, était également en mauvaise santé. Le revenu mensuel de mon mari était de 780 yuans, ce qui était à peine suffisant pour payer les frais médicaux de notre fille et les miens. Nous avons souvent dû emprunter de l'argent à nos parents et amis pour joindre les deux bouts.
Ma mère nous a présenté le Falun Dafa et m'a dit que le Falun Dafa pouvait guérir nos maladies et nous apporter une bonne santé. À cette époque, ma fille avait une toux sèche chronique résistante à tous les médicaments prescrits par les médecins. J'ai décidé de lui lire le Zhuan Falun, le livre principal du Falun Dafa, et en trois jours, elle a cessé de tousser.
À partir de ce moment, mon mari et moi, nous nous sommes assurés de prendre le temps de lire le Zhuan Falun chaque jour et de faire les cinq exercices ensemble. Nous avons également suivi le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, enseigné par le Falun Dafa, pour être de bonnes personnes. Peu à peu, toutes mes maladies ont été guéries et notre fille a également grandi en bonne santé.
Nous avons lancé une petite entreprise, ce qui nous a permis de rembourser nos dettes, et nous avons même réalisé des économies. Le Falun Dafa a apporté la chance à notre famille et nous avons vécu en harmonie et avec bonheur.
Persécution dévastatrice
Depuis le début de la persécution en juillet 1999, notre environnement familial a été bouleversé. Deux jours après le lancement officiel de la persécution par l'ancien dirigeant du PCC, Jiang Zemin, nous sommes allés au parc à 5 heures du matin comme d'habitude pour faire les exercices, mais nous avons été arrêtés.
Nous étions confinés dans la cour du Bureau de la sécurité publique. De nombreux pratiquants de Dafa ont été emmenés là-bas, la police nous a obligés à rester debout sous le soleil brûlant toute la journée. Nous avons été relâchés tard dans la journée et on nous a dit de ne plus pratiquer le Falun Dafa.
Ils ne pouvaient pas nous donner de bonnes raisons pour lesquelles le gouvernement nous interdisait de pratiquer les exercices de Falun Dafa qui étaient si bénéfiques. À partir de ce jour, la police est souvent venue à notre appartement pour nous surveiller. Parfois ils frappaient à notre porte au milieu de la nuit. Même nos voisins ont été dérangés. On nous a dit de nous rendre au poste de police si nous devions sortir de la ville.
Mon mari a été arrêté à nouveau le 28 octobre 1999 lorsqu'il a rendu visite à son ami avec qui il faisait les exercices avant le début de la persécution. Il a été contraint d'écrire des déclarations de garantie qu'il cesserait de pratiquer les exercices et a été libéré 28 jours plus tard.
Le gouvernement du canton de Dorbod a organisé une « classe de lavage de cerveau » le 22 janvier 2001, un jour avant le Nouvel An chinois. Mon mari a été enfermé dans le centre de Shirengou pendant 15 jours pour subir un lavage de cerveau. J'étais enceinte de six mois de notre fils à l'époque.
Je suis allée les raisonner, mais, au lieu de libérer mon mari, ils l'ont transféré au centre de détention du canton de Dorbod, où il a été incarcéré pendant 58 jours. Il n'a été libéré qu'après avoir versé 2000 yuans en argent pour garantir qu'il cesserait de pratiquer le Falun Dafa.
Un groupe de policiers a de nouveau pénétré dans notre appartement le 14 avril 2002. Après avoir fouillé notre appartement, ils ont confisqué nos biens personnels et nous ont enlevés, mon mari et moi. Pour faire pression sur moi pour leur dire qui nous avait donné nos documents de Falun Dafa, ils m'ont menottée les mains si fort que les menottes ont même pénétré dans la chair de mes bras. Mes doigts sont devenus pâles par manque de sang.
Wen Zhongge, le chef de la Division de la sécurité intérieure, m'a frappée au visage avec un journal enroulé. J'ai été relâchée ce soir-là, mais ils ont brutalement torturé mon mari. Le gardien Wang Zhongge a incité les détenus criminels du centre de détention à le battre.
Ils ont enfoncé un tuyau de fer dans la région de ses organes génitaux. « Si vous ne vous confessez pas, vous ne pourrez plus avoir d’enfants au moment où nous en aurons fini avec vous », a dit un détenu. Trois mois plus tard, mon mari a été condamné à trois ans de travaux forcés pour « perturbation de l'ordre social » et a été transféré au camp de travail de Daqing.
Les policiers Liu Fanwu et Qi Jianlong sont entrés par effraction dans notre appartement un soir de septembre 2002. Ils ont arraché de mes bras notre fils de 16 mois et l’ont jeté par terre. Puis ils m'ont arrêtée.
Mon beau-père est venu me rendre visite au centre de détention avec mon fils et ma fille qui était alors âgée de huit ans. Les gardiens l'ont menacé. « Si vous ne collaborez pas avec nous, nous vous arrêterons aussi », a dit l'un d'eux.
On m'a condamnée à un an de prison pour avoir « perturbé l'ordre social » et j'ai été incarcérée au centre de désintoxication de la ville de Harbin où j'ai été torturée au seuil de la mort.
J'aurais dû être libérée en septembre 2003, mais ma peine a été prolongée de trois mois. Quand j'ai finalement été libérée, mon fils, alors âgé de deux ans et demi, ne se souvenait plus de moi. Il semblait intimidé quand il m'a vu et a essayé de se cacher derrière sa grand-mère.
Mes beaux-parents semblaient épuisés de prendre soin de deux jeunes enfants et de s'inquiéter constamment de notre bien-être. Mon esprit était tourmenté en les voyant souffrir. Après ma libération, la police nous a continuellement harcelés à notre appartement.
Le camp de travaux forcés de Daqing a utilisé toutes sortes de méthodes pour torturer les pratiquants de Dafa : « Attacher avec une corde », « Banc du tigre » et « Arroser d’eau froide ou bouillante. » Ils ont utilisé des détenus et des criminels pour torturer mon mari et d'autres pratiquants de Falun Gong.
« Attacher avec de la corde »
Mon mari a été enfermé à l'isolement dès son incarcération dans le camp de travaux forcés en mai 2002. Les gardiens lui ont enlevé ses vêtements et ont commencé à le torturer en le ligotant. Ses bras étaient étroitement attachés avec une fine corde en nylon derrière le dos. La ficelle était si serrée qu'elle coupait sa chair. Il a été forcé de s'accroupir avec ses jambes inférieures placées verticalement au sol. Les gardiens ont inséré un bâton de bois sous ses bras, provoquant une douleur insoutenable. Il a été privé de sommeil pendant plusieurs jours.
Après cela, des gardiens ont demandé à des criminels de surveiller mon mari 24 heures sur 24. Il a été privé de sommeil pendant sept jours d'affilée. Les détenus et les criminels le frappaient et le battaient s'il fermait les yeux pendant une seconde.
« Banc du tigre »
Wang Zhong, chef de la division 2, a ordonné aux gardiens d'attacher mon mari sur un « banc du tigre ». Ils l'ont frappé au visage et aux oreilles si fort que ses os ont fracturé et que ses oreilles ont enflé.
Les gardiens ont incité les détenus criminels à frotter le visage de mon mari avec leurs mains si fort que la chair de son visage était craquelée.
Enfermé à l'isolement
Le camp de travaux forcés de la ville de Daqing a commencé une série de tortures sévères sur les pratiquants de Falun Dafa le 16 octobre 2003. Les gardiens ont attaché mon mari et les pratiquants Lu Bingsen, Hu Hongji et Guo Fadong sur des « bancs du tigre » et les ont brutalement battus. Après cela, les pratiquants ont été enfermés à l'isolement. Mon mari a été grièvement blessé.
Pulvérisation d'eau froide avec des pulvérisateurs à haute pression
En hiver, les pratiquants ont été déshabillés et enfermés dans une pièce où toutes les fenêtres étaient ouvertes. Ils ont ensuite été forcés de lever les yeux et les gardiens ont utilisé des pulvérisateurs à haute pression pour arroser le nez des pratiquants. Les pratiquants étaient incapables de respirer. Mon mari s'est étouffé et ne pouvait plus du tout respirer. M. Lu, un pratiquant, s’est étouffé sur le coup, mais le camp de travail a menti à sa famille en disant qu’il était mort d’une crise cardiaque.
Privation de liberté personnelle
Deux ans plus tard, mon mari a été transféré au camp de travaux forcés de la ville de Suihua et a été libéré le 28 janvier 2005. Après son retour à la maison, les policiers Liu Fangwu et Hu Jianlong sont souvent venus chez nous pour nous harceler. Lorsqu'ils ne venaient pas en personnes, ils téléphonaient fréquemment à la maison. Pendant toute la durée des Jeux olympiques de 2008, ils ont surveillé notre appartement 24 heures sur 24. Nous vivions tout le temps sous surveillance et avions complètement perdu notre liberté.
Notre fille aspergée de poivre, arrêtée et harcelée sexuellement
Le chef de l'association de quartier, Yu Lixiu, est venue dans notre appartement le 13 juillet 2009, dès que mon mari et moi sommes rentrés chez nous après le travail. Elle a dit qu'elle voulait juste jeter un coup d'œil et ensuite partir.
Peu après le retour de notre fille à la maison pour le déjeuner, les policiers Lin Jianwei, Hu Jianlong, Liu Fangwu et plus de 30 autres de la Division de la sécurité intérieure du canton de Dorbod ont fait irruption dans notre appartement. Le policier Lin a menotté les mains de mon mari derrière son dos et à une fenêtre.
Lorsque j'ai protesté, deux d'entre eux m'ont saisi les mains. Comme notre fille, âgée de 16 ans, était sur le point de les empêcher de nous arrêter, des policiers l’ont aspergée de poivre puis l’ont poussée par terre. Mon père âgé tremblait de peur et notre fils de 8 ans s'est caché.
Le frère cadet de mon mari, Liu Fuze, et son épouse, Zhao Mingjing, ont également été arrêtés au même moment.
Notre fille a été kidnapée et emmenée sans ses chaussures. Nos biens personnels, notamment un ordinateur, une imprimante, un graveur de CD, plus de 10 000 yuans en espèces et la camionnette de mon beau-frère, ont été confisqués.
Lorsque ma fille a été interrogée au poste de police, un policier l'a touchée de manière inappropriée. Elle lui a dit fermement : « Si vous me touchez, votre propre fille fera face à des représailles et vous aurez un accident de voiture. » Elle a été libérée le lendemain. Liu Fuze a été libéré un mois plus tard après avoir payé 1000 yuans aux fonctionnaires.
Condamnation sévère
Zhao Mingjing et moi avons été condamnées à deux ans de travaux forcés le 20 mai 2010 ; mon mari a été condamné à 10 ans de prison. Il est actuellement incarcéré à la prison de Tailai dans la province du Heilongjiang. Mon père est tombé malade suite au stress de l'épreuve et est finalement décédé lorsque j'ai été incarcérée.
Notre fille a souvent emmené notre fils de 8 ans à deux endroits différents pour nous rendre visite à moi et à mon mari.
Les autorités cachent l'état grave de mon mari
En juin 2017, mon mari a été enfermé à l'isolement pour avoir enfreint le règlement de la prison. Il n'y avait pas de ventilation dans le confinement et la chaleur de l'été l'empêchait de manger quoi que ce soit. Les gardiens l'ont gavé, mais il a tout vomi et a eu la diarrhée peu après le gavage. Le gardien Zhou Mingda a menacé d'insérer un tube d'alimentation nasal et de le gaver tous les jours, alors il s'est forcé à manger. Pourtant, il vomissait tout ce qu'il buvait et mangeait.
Trente-trois jours se sont écoulés avant que nous soyons finalement avertis qu'il dépérissait et nous avons immédiatement demandé une libération pour traitement médical. Cependant, les négociations avec les autorités pénitentiaires n'ont mené à rien. Sa situation ne s'est pas améliorée du tout. Nous avons ensuite demandé deux mois plus tard qu'il soit transféré dans un plus grand hôpital doté de meilleures installations. Cependant, les autorités pénitentiaires ont affirmé que les médecins de l’hôpital de la ville de Qiqihar lui avaient diagnostiqué une anorexie mentale légère et que ce n’était pas grave.
Ils ont menti au sujet de son état de santé parce que nous avons vu le diagnostic du médecin par la fenêtre de la voiture du chef de l'hôpital de la prison. Les papiers indiquaient que mon mari était gravement malade et devrait être transféré immédiatement. À notre forte insistance, mon mari a finalement été transféré à l’hôpital du canton de Tailai le 30 septembre 2017.
Le 18 octobre 2017, il a de nouveau été transféré à l'hôpital municipal de Harbin. On lui a diagnostiqué une cholécystite, des calculs biliaires, des gaz intestinaux, un épanchement péricardique, un épanchement pleural, une ascite, une inflammation de la mâchoire supérieure, une anémie sévère, albuminurie, anorexie mentale, déséquilibre électrolytique, gastrite superficielle et reflux de l'œsophage.
Il continuait à vomir après avoir mangé et bu. L'hôpital nous a demandé de signer un avis pour le diriger vers un hôpital avec de meilleures installations. Nous avons de nouveau demandé à la prison de Tailai de l'autoriser à être transféré, mais les autorités de la prison l'ont autorisé à seulement retourner à l'hôpital du canton de Tailai. Ils nous ont dit que nous devions payer une caution de 200 000 yuans s’il était transféré dans un autre hôpital.
Demandes de libération pour raison médicale refusées
Nous avons finalement été autorisés à le voir à l'hôpital municipal de Harbin le 24 janvier 2018. Il était émacié et n'avait même pas la force de parler. Les médecins avaient déjà arrêté tous les médicaments, y compris une solution nutritive. Il avait eu une très forte fièvre de 40 degrés Celsius après une perfusion et des vomissements après avoir mangé.
Cela dure depuis plus de sept mois. Lorsque nous avons demandé pourquoi ils avaient cessé de le soigner et pourquoi nous n’avions été informés de la décision qu’un mois plus tard, l’hôpital a déclaré qu’il avait informé la prison de Tailai dès que tous les médicaments avaient été arrêtés et la prison a également demandé à l'hôpital de Tailai de le ramener.
Nous avons une fois de plus demandé que mon mari soit libéré pour raison médicale, mais notre demande a été rejetée par les autorités pénitentiaires.
Mon mari a été transféré à la prison de Tailai en juin 2018. De juin 2017 à août 2018, l'état de mon mari s'est détérioré. Tous ses organes sont défaillants. Bien que nous ayons négocié à plusieurs reprises avec les autorités pénitentiaires pour une demande de libération pour raison médicale, ils ont rejeté toutes nos demandes. Nous ne connaissons pas son état actuel.
La persécution des pratiquants de Falun Dafa n'a aucun fondement juridique.
La loi chinoise accorde à ses citoyens la liberté de religion. Cette liberté est protégée par la Constitution chinoise.
Le directeur Liu Binjie de l’Administration générale de la presse et des publications a publié l’Annonce 50 le 1er mars 2011, abrogeant les avis 99 et 100 qui avaient été officiellement annoncés en 1999 :
« No 99. L'avis sur la réaffirmation des points de vue des publications sur le Falun Gong. Numéro : [1999] 933. Publié le 22 juillet 1999. »
« No 100. L'avis sur l'interdiction de publication des livres de Falun Gong et l'application administrative de sa publication. »
Ce document est actuellement bien conservé sur le site Internet du gouvernement de la plus haute autorité en Chine.
Dans le document : « Décision du Comité permanent de l'Assemblée populaire nationale sur l'interdiction des organisations de sectes, la prévention et la punition des activités cultuelles », le Falun Dafa n'est pas mentionné. En fait, il n'y a pas de loi en Chine, qui déclare que le Falun Dafa est une secte.
La persécution traîne depuis dix-neuf ans. D'innombrables pratiquants de Falun Dafa ont été persécutés et des milliers d'autres ont été torturés à mort. Aucun autre gouvernement au monde n'a modifié ses lois comme le fait le gouvernement du PCC. Les erreurs sont évidentes et graves, la portée est large et la durée est longue.
Cette persécution de dix-neuf ans a causé un désastre catastrophique à ma famille. Mon mari et moi avons subi d'innombrables emprisonnements. Nous sommes des citoyens respectueux des lois qui veulent suivre le principe Authenticité, Bienveillance, Tolérance pour être de bonnes personnes. Quelles lois et réglementations avons-nous violées ?
Le PCC persécute les pratiquants de Falun Dafa, et toute personne ayant une conscience peut voir clairement que le PCC est contre l'humanité.
Responsables de la sécurité publique et de l'application de la loi : Vous avez une compréhension claire de la loi. Les Chinois ordinaires comptent sur vous pour prendre les décisions les plus rationnelles et les plus consciencieuses. Vous ne devez pas commettre de crimes contre votre conscience. Dans le cadre de votre pouvoir et de votre travail, veuillez être plus gentil et plus humain. Si chacun pouvait ouvrir son cœur et traiter les autres avec compassion, nous pourrions tous vivre en harmonie.
C'est une loi du ciel, que la bonté est récompensée et que le mal est puni. Vous pouvez aider à arrêter cette persécution ! J'espère sincèrement que vous maintiendrez la justice et choisirez un avenir meilleur pour vous et votre famille.
Procureurs : Veuillez écouter mon plaidoyer et accordez nos demandes de libération de mon mari pour raison médicale. Votre aide sera très appréciée !
Voir aussi :
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Et en anglais :
Traduit de l'anglais au Canada