(Minghui.org) Avant que je commence à pratiquer le Falun Dafa en 2001, mon oreille céleste s’était ouverte et j’avais aussi développé des capacités surnaturelles. Si quelqu’un avait un bras ou une épaule disloquée, j’appliquais un simple traitement et la personne était guérie. Cela fonctionnait très bien, alors j’ai accroché une enseigne devant ma maison, ouvert un commerce et j’ai commencé à traiter les gens.
Au début, je refusais d’accepter de l’argent, alors mes clients m’offraient des œufs, de la farine et d’autres aliments, mais je les refusais souvent aussi. Je pensais seulement à faire de bonnes actions et à avoir une bonne réputation.
Cependant, je n’ai pas pu maintenir mon xinxing. Les villageois voyageaient de longues distances pour me voir et obtenir un traitement, et dépensaient beaucoup d’argent, alors je sentais qu’il était un peu injuste pour moi de fournir mes services gratuitement. Par conséquent, j’ai commencé à accepter de l’argent pour mes traitements. Graduellement, je n’étais pas content si les gens ne me donnaient pas assez d’argent.
Après avoir guéri certaines maladies graves, j’ai même commencé à regarder de haut les médecins et les thérapeutes à l’hôpital. Mes attachements à la renommée et à l’égoïsme ont explosé. Je n’avais aucune idée que mes capacités surnaturelles étaient arrangées pour que je cultive. Je comprends maintenant que lorsqu’on développe certaines capacités, elles sont très facilement affectées par la renommée et l’égoïsme.
Faire un choix
J’ai commencé à traiter les gens à l’automne 2000 et environ un an plus tard, j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa. Pendant que le Maître nettoyait mon corps, je continuais à traiter les maladies des gens et je ruinais mon corps. Mais le Maître ne m’a pas abandonné.
Il est clairement expliqué dans le Zhuan Falun, les raisons pour lesquelles un pratiquant ne doit pas traiter les maladies avec leurs capacités surnaturelles. Les conséquences, en faisant cela, sont que l’on ruine son corps, sans résoudre à la racine le problème de la personne malade. Mais j’ai continué à traiter les gens quand même.
Ensuite, j’ai expérimenté une insupportable douleur. J’ai senti que j’avais développé une sérieuse maladie et je suis devenu physiquement malade. Alors que je souffrais, j’en suis venu à réaliser que je devais faire un choix : soit pratiquer le Falun Dafa et faire les choses selon les exigences de Dafa, soit continuer à traiter les autres et à me ruiner. J’ai décidé que je voulais seulement Dafa.
Ce n’était pas difficile d’arrêter de traiter des clients, mais c'était beaucoup plus dur de ne pas aider les proches et les amis, spécialement mes frères et sœurs, et ma mère. Quand ils avaient des douleurs, je ne pouvais pas dire « non ». Je n'arrivais pas à abandonner la sentimentalité. Finalement, le Fa du Maître m’a ouvert les yeux.
Le Maître a dit :
« C’est uniquement à cause du karma accumulé par de mauvaises actions commises dans le passé qu’on est affecté par des maladies ou qu’on rencontre des épreuves dues aux démons. Endurer des souffrances, c’est rembourser ses dettes karmiques, c’est pourquoi personne ne peut changer cela à sa guise ; si on le changeait, cela signifierait qu’il est permis de contracter des dettes sans les rembourser ; on ne peut d’ailleurs pas le faire à sa guise, sinon ce serait commettre une mauvaise action. » (Première Leçon, Zhuan Falun)
Clarifier la vérité dans un nouvel emploi
J’ai fait un rêve une fois, m’indiquant que je trouverais un travail. Assez vite, j’ai été engagé comme chef à la cafétéria d’un bain public.
Cependant, après mon premier jour au travail, j’étais désappointé. Je détestais l’environnement là-bas. Les gens parlaient des choses libertines qui arrivaient là-bas et des images de corps nus étaient affichées sur le mur du sauna. Je pensais que mon esprit pourrait être contaminé avec des choses sales si je restais là. J’ai pensé à laisser le travail, mais le Maître m’avait indiqué dans un rêve que je devais plutôt arrêter tout ce qui nuisait aux gens là-bas.
Le lendemain, mon patron, le propriétaire du bain public, m’a demandé de faire des courses pour lui. Je lui ai dit : « Je pratique le Falun Dafa et je cultive Authenticité-Bienveillance-Tolérance, qui est quelque chose de totalement différent de la propagande [du gouvernement] que vous avez entendu à la télévision [au sujet de Dafa]. Si vous voulez toujours m’avoir, alors je travaillerai ici. »
Il m’a dit qu’il n’avait pas d’objection à ce que je travaille là. Je lui ai ensuite parlé davantage du Falun Dafa et de l’importance de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse.
Protégé d’être persécuté
L’endroit où je travaillais était d’un niveau assez élevé. Certains résidents sont directeurs de départements de police, chefs de division, secrétaires du Parti de comités municipaux, chefs de division de la sécurité intérieure, chefs du Bureau 610, et autres responsables à des postes clés du PCC.
Quand j’ai parlé à ces gens du Falun Dafa, certains m’ont signalé à mon patron. Il leur a dit : « Il est mon employé, je ne laisserai personne le toucher. »
L’un des gérants a dit que le propriétaire m’avait protégé à plusieurs reprises. À cause des bonnes choses qu’il a faites, son entreprise allait très bien.
Pendant les quelques années où j’ai travaillé au bain public, après avoir fini de cuisiner le matin et de nettoyer la cafétéria l’après-midi, je sortais parler aux gens de Dafa. Le soir, soit j’étudiais le Fa soit j’émettais la pensée droite jusqu’à minuit.
Le bain public avait un taux de roulement du personnel élevé, alors je ne cessais de rencontrer de nouveaux employés. Je n’avais pas peur de leur parler du Falun Dafa, j’ai aussi clarifié la vérité au nouveau gérant. Souvent, quand un nouvel employé arrivait, quelqu’un me rappelait de lui parler du Falun Dafa. Beaucoup de mes collègues ont démissionné du PCC, après leur avoir parlé.
Quand les gens étaient à la cafétéria le midi, un moment où, généralement, ils parlaient de choses libertines, j’ouvrais mon lecteur-mp3 pour diffuser des podcasts de Minghui au sujet de la culture divine. J’ai aussi fait jouer Pu Du, Ji Shi, ou d’autres musiques de Dafa. Du fait de ce champ droit, les gens ne parlaient presque plus de choses sales.
J’émettais souvent la pensée droite au sauna. Grâce à ce champ droit, les images de nu dans le sauna ont été enlevées.
En travaillant au bain public, j’ai essayé de vivre selon le critère d’un pratiquant, cultivant mon xinxing, faisant les exercices de Falun Dafa, étudiant le Fa, émettant la pensée droite et clarifiant la vérité. Sur le mur derrière l’endroit où je faisais la méditation assise, il est apparu 28 fleurs d’Udumbara. Je savais que le Maître m’encourageait.
Traduit de l’anglais au Canada