(Minghui.org) Je me sentais très seule et sentimentale avant de commencer à pratiquer le Falun Dafa (également connu sous le nom de Falun Gong). J'ai souvent versé des larmes, je me sentais inférieure et j'avais beaucoup de pitié pour moi-même. J'étais rongée par des maladies comme la polyarthrite rhumatoïde, des douleurs thoraciques, des maladies cardiaques, de la gastrite, des saignements utérins et de l'hypotension artérielle.
Perdre le contrôle de ma vie
Mon état s'est aggravé en 1994, car j'étais toujours étourdie et amnésique. Mon travail consistait à manipuler de l'argent, mais ma vision était floue et j'étais distraite. Finalement, j'ai dû prendre un congé pour maladie. J'ai cherché un traitement médical, mais aucun d'eux n'a aidé. Je continuais à vomir, que j'aie mangé ou non. J'étais incapable de tenir les choses et, si on sonnait à la porte, je n'avais pas la force de l'ouvrir.
Le docteur a dit que les choses ne feraient que s'aggraver. Mon mari a perdu confiance en moi, puis lui et ses parents ont commencé à m'ignorer. Seul mon fils est venu me voir après l'école. Il mettait sa main sous mon nez pour vérifier si je respirais encore.
La froideur de ma famille m'a fait éprouver du ressentiment. Je pensais que le monde était cruel et que la vie était amère. J'étais fatiguée de tout et j'ai décidé de confier mon fils à ma deuxième sœur aînée pour que je puisse quitter ce monde sans souci. J’ai écrit une lettre de suicide, puis je suis allée chez ma sœur lui demander de prendre soin de mon fils. Elle savait ce que je m'apprêtais à faire et a refusé de prendre soin de lui.
J'étais toujours catégorique sur le fait de m’ôter la vie. J'ai pris ma dernière photo et j'ai parlé à ma mère au téléphone. Je voulais avoir un repas avec mon fils, mais je n'arrivais pas à le trouver. Il s'était enfui de la maison parce qu'il avait mal agi et craignait que son père ne le batte.
Une voix du ciel
J'étais très inquiète et j'ai demandé à tout le monde de le chercher. Ma sœur m'a dit : « Si tu as le courage de mourir, pourquoi n'as-tu pas le courage de vivre ? Qu'arrivera-t-il à ton fils ? »
J'ai alors abandonné l'idée du suicide. Je ne peux pas être aussi égoïste et je dois vivre pour élever mon fils.
Après le retour de mon fils à la maison, j'ai décidé de faire de l'exercice pour me renforcer. Je suis restée éveillée toute la nuit et je suis sortie quand il faisait encore noir. J'étais la seule à marcher sur la route tranquille. J'étais triste et toutes sortes de sentiments emplissaient mon esprit.
J'ai soudain entendu une voix magnifique et profonde venant du ciel : « Tu iras mieux après cette année ! » J'ai levé les yeux avec étonnement. Il n'y avait que quelques étoiles dans le ciel, et il n'y avait personne autour.
Le Maître m'a lu le Zhuan Falun
En 1996, je ne travaillais plus depuis deux ans. J'étais pâle et maigre. Je me suis arrêtée au bureau de mon lieu de travail. Là, le chef du bureau m'a parlé du Falun Gong et m'a dit que j'avais une chance d'être sauvée. Il avait passé du temps à se renseigner sur la pratique et avait vu des cadres supérieurs atteints de graves maladies guérir en pratiquant le Falun Gong.
Il m'a dit qu'il se rendait à Pékin quelques jours après pour acheter des livres de Dafa, afin que d'autres employés du bureau puissent en bénéficier. Il m'a suggéré de revenir travailler et qu'il me trouverait un travail facile afin que je puisse me concentrer sur ma cultivation et sur ma santé. Il m'a dit : « Dafa est une grande loi aux vertus majestueuses que l'on peut rencontrer, mais que l'on ne peut poursuivre. »
Le chef du bureau croyait aux bouddhas et aux dieux. Il faisait souvent de bonnes actions et croyait au châtiment. J'étais tellement malade que je voulais essayer le Falun Gong. Le chef du bureau m'a dit de lire le Zhuan Falun d'abord, avec un esprit clair.
J'ai commencé à lire le livre après le petit-déjeuner et un miracle s'est produit. J'ai entendu la même voix magnifique et profonde qu'avant, et elle m'a lu le livre. Elle était puissante, compatissante et paisible, en son stéréo. Une force magique m'a poussée à la suivre. J'ai écouté, suivi la lecture et appris du livre.
Les principes du livre ont pénétré en moi. C'était tellement beau et confortable. Il me semblait que j'attendais ça depuis très longtemps. Les années d'inquiétude et de souffrance avaient toutes disparu.
Les larmes coulaient sur mon visage encore et encore. J'avais trouvé les réponses à de nombreuses questions que je me posais sur la vie, mais que je n’arrivais pas à comprendre. Des questions telles que : pourquoi une personne tombe-t-elle malade ? Pourquoi rencontre-t-on des difficultés et des conflits ?
Ma vision du monde a totalement changé. Dafa a ouvert ma sagesse et a illuminé mon cœur. J'ai lu tout le livre cette nuit-là et j'étais entourée d'une puissante énergie compatissante, paisible et pure. Je me suis sentie légère et merveilleuse pour la première fois de ma vie. Je pouvais entendre la voix du Maître enseigner le Fa du ciel chaque fois que je devenais paresseuse. C'était jusqu'au 20 juillet 1999, lorsque la persécution a commencé. Cette voix puissante m'a encouragée à continuer d'avancer et à chérir une telle occasion.
Au début, on aurait dit qu'un mécanisme me poussait à faire les exercices encore et encore, sans m'arrêter. Je ne connaissais pas l’importance d’étudier le Fa et je savais seulement faire les exercices. Quand je pratiquais davantage, je pouvais marcher si vite que mes talons ne touchaient pas le sol. C'était comme si je flottais.
Utiliser les principes de Dafa pour résoudre les problèmes
Un jour, un client devait me montrer sa carte d'identité pour des raisons professionnelles. Il ne l’avait pas avec lui et ne voulait pas retourner la chercher. Il m'a crié dessus pendant un moment avant de partir.
Je me suis considérée comme une pratiquante et j'ai gardé un esprit calme, ce que je n’aurais pas pu faire si je n'avais pas cultivé. Lorsque le client est revenu avec sa carte d'identité, il a changé d'attitude et s'est sincèrement excusé auprès de moi.
J'étais responsable d'une succursale où la plupart des employés ne travaillaient pas dur, étaient désagréables ou incapables d'accomplir leurs tâches. Mon prédécesseur avait fait l'objet d'un rapport de leur part et avait été suspendu de ses fonctions en attendant un examen. Par conséquent, personne ne voulait ou n'osait les gérer de peur de subir un sort semblable.
Le chef du bureau savait que je pratiquais le Falun Gong et m'a demandé de prendre la relève. Il a dit que je pouvais virer tous ceux qui me causaient des ennuis. À l'époque, le chômage était élevé et je ne voulais pas que les gens perdent leur emploi. Je voulais qu'ils s'en sortent bien.
Lorsque j'ai pris mes fonctions, j'ai réussi à mettre à jour une partie des équipements. Mais alors, un membre du personnel a apporté chez lui l'un des nouveaux téléphones et l'a remplacé par un ancien. Après avoir découvert ce qui s'était passé, je lui ai simplement dit de rendre le nouveau téléphone le lendemain. J'étais calme et paisible. Tout le monde pensait que je ferais toute une histoire à ce sujet, puisque je venais à peine de prendre ce nouveau poste et que je pourrais punir quelqu'un pour donner l'exemple. Mais ce n'était pas le cas.
Puisqu'un employé et moi avions des dossiers de rendement exceptionnels, tous les employés de la succursale ont pu toucher leur plein salaire et obtenir une prime, y compris ceux qui n'ont pas bien fait leur travail. Je fais de mon mieux pour aider les gens personnellement et professionnellement. Beaucoup d'entre nous en ont bénéficié, ce qui nous a valu l'envie d'autres succursales.
Il faisait très froid cet hiver-là et le système de chauffage ne fonctionnait pas bien. Les gens portaient des manteaux épais au travail et se plaignaient encore du froid. Je portais un manteau léger, mais je n’avais pas froid, je sentais plutôt la chaleur entrer et sortir de mon corps. Un employé a dit : « Vous n'avez pas froid à cause de votre pratique. »
Depuis que j'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa, j'ai connu des changements physiques et mentaux fondamentaux. J'étais entourée d'un puissant champ d'énergie, très confortable et agréable. J'étais douce, calme et en paix.
Plusieurs subordonnés m'ont un jour signalé au bureau général en prétendant que j'avais pris de l'argent qui était affecté à notre succursale au début de l'année. Cela a mis les fonctionnaires du bureau général en colère et les a fait rire en même temps, parce qu'il n'y a jamais eu un tel fonds.
Le chef du bureau a décidé de s'occuper personnellement de l'affaire et a dit : « Ces gens sont des loups et ont la tête pleine de boue. En virer quelques-uns les fera taire. »
Mais s'ils étaient licenciés, que feraient-ils à l'avenir ? Comment feraient-ils face à leurs familles, amis et voisins ? Ils pourraient être désespérés et agir de manière imprudente. Je me sentais mal pour eux. Je ne pouvais pas gâcher leur vie.
On m'a dit que je pouvais congédier n'importe qui sur-le-champ, mais j'ai décidé de prendre du recul et de traiter le personnel concerné avec compassion. Les personnes qui m'ont causé des ennuis ont été réprimandées. Je n'ai détesté ni blâmé qui que ce soit et j'ai réglé la question avec un esprit calme et paisible.
Le personnel a fait l'éloge de ma gentillesse et a dit que personne d'autre ne les aurait épargnés. Depuis, ils me respectent davantage et sont devenus plus gentils pour moi et pour les autres.
Je sais que je n'aurais pas un esprit aussi ouvert si je ne pratiquais pas le Falun Dafa.
Faire étalage de sa supériorité et s'efforcer de surpasser les autres m'ont conduit à avoir beaucoup de maladies. Heureusement, j'ai obtenu Dafa, qui a purifié mon cœur et m'a enseigné le vrai sens de la vie.
Dafa m'a donné un nouveau souffle dans la vie. Je ne pourrai jamais rembourser la puissante bienveillance du Maître.
Lors de la réunion suivante, j'ai été félicitée pour ma moralité, mon comportement noble et mes performances exceptionnelles. Mon travail a été très apprécié.
Traduit de l'anglais