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Croire fermement en Dafa et dans le Maître face aux tribulations

16 novembre 2019 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Nous sommes des pratiquants de Falun Dafa qui cultivons Authenticité-Bienveillance-Tolérance, les valeurs fondamentales de l'univers. Nous pouvons sauver les êtres et remplir nos promesses seulement si nous nous cultivons bien et nous nous assimilons à Dafa.

Les tribulations que nous rencontrons lorsque nous sommes persécutés peuvent en fait nous aider à sauver les gens. Les situations qui semblent insurmontables peuvent s'avérer être de bonnes choses. Nous sauvons les êtres, y compris les gens qui nous persécutent, qui sont en fait les vraies victimes. Ils participent à la persécution des pratiquants sans connaître les faits. En nous persécutant, ils créent d'énormes karmas pour eux-mêmes et ainsi ils se détruisent sans le savoir. Il est de notre responsabilité de leur faire connaître la situation réelle.

J'ai été persécuté il y a quelques années. Avant le procès, j'ai écrit une déclaration de 7000 mots. Pendant le procès, j'ai parlé aux gens des faits et j'ai lu ma déclaration. J'ai validé Dafa et j'ai supprimé la perversité. L'avocat a suggéré que je lise seulement la partie concernant la façon dont j'ai bénéficié de la pratique du Falun Dafa, parce qu'il pensait que le juge ne me laisserait pas terminer.

Mais je suis un pratiquant de Dafa. Ma mission est de valider Dafa. Je ne peux me préoccuper que de la façon dont j'ai bénéficié de la pratique. Les gens doivent savoir que le Falun Dafa est bon. C'est la vérité de l'univers. Je me suis rappelé que j'étais là pour valider la grandeur de Dafa.

En conséquence, personne ne m'a interrompu pendant que je lisais la déclaration. Le tribunal a demandé aux responsables de me demander si j'acceptais d'être condamné à une peine à purger à l'extérieur de la prison. Je leur ai dit que je suivais Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je suis une bonne personne. Je n'étais coupable d'aucun crime alors il n'y avait aucune raison pour que je sois condamné.

J'ai parlé des faits concernant Dafa aux gens qui sont venus me voir, et je leur ai lu ma déclaration. Je leur ai demandé de réfléchir par eux-mêmes et de voir qui avait commis des crimes. Je leur ai aussi dit que j'attendais de voir les véritables criminels être jugés.

Finalement, le juge n'a pas pu résister à la pression de ses supérieurs et il m'a condamné à la prison. J'ai fait appel. Le juge de la cour supérieure a dit à mon avocat de suivre leurs directives et m'a dit de coopérer avec eux afin qu'ils puissent me libérer.

J'ai écrit une lettre au juge et je lui ai parlé des faits. J'ai dit que je me ferais du mal ainsi qu'à eux si je faisais ce qu'ils me disaient de faire. Je leur ai demandé d'examiner leur conscience. J'ai dit qu'en les laissant connaître les faits, je les aidais à distinguer le bien du mal.

J'ai fait remarquer que les gens se réincarnent. Nous récoltons ce que nous semons. Une personne va devoir rembourser pour ce qu'elle a fait. Les cas de Zhou Yongkang, Li Dongsheng, Bo Xilai et Wang Lijun ont tous confirmé cela. J'espérais qu'ils me déclareraient non coupable pour qu'ils puissent avoir un bon futur.

J'ai aussi parlé des faits à la police dans le centre de détention. J'ai écrit Hong Yin de mémoire et je le leur ai donné. Je pensais que la police là-bas devait savoir les faits pour qu'elle arrête de faire du mal à des personnes innocentes et pouvoir être sauvée. Mes compagnons de cellule ont tous pleuré et m'ont pressé de ne pas envoyer la lettre. Mais mon cœur était calme. J'ai ressenti un immense bien-être et un honneur incommensurable, parce que je faisais ce qu'il y avait de mieux, de plus droit et de plus nécessaire.

La cour a changé sa sentence un mois après que j'ai posté la lettre. Ils ont raccourci le terme à quelques mois, à peu près égal à ce que j'avais déjà fait dans le centre de détention. C'était comme l'a dit le Maître :

« Si les disciples sont emplis de pensées droites

Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel »

(« La grâce entre Maître et disciples », Hong Yin Volume II),

J'ai eu des expériences similaires dans le passé. J'ai été emprisonné pendant quatre mois en 2001 lorsque je suis allé à Pékin faire appel pour demander justice pour le Falun Dafa. Ensuite, j'ai été emmené dans un centre de détention et un centre de lavage de cerveau. J'ai refusé d'arrêter de pratiquer, malgré la pression. Tout ce que j'avais dans mon cœur, c'était le Maître et Dafa. J'ai été libéré en peu de temps.

J'ai été libéré en trois semaines lorsque j'ai été emmené dans un camp de travaux forcés il y a environ dix ans. Je veux remercier le Maître de m'avoir protégé, et les compagnons de cultivation ainsi que ma famille pour leur soutien.

Croire dans le Maître, maintenir et valider Dafa sont nos responsabilités. Le Maître va nous aider tout autant que nous agissions avec droiture et que nous faisions bien.

Je crois que les pratiquants qui sont incarcérés peuvent faire mieux que ce que j'ai fait et être libérés plus tôt, puisque pour nous les pratiquants, seul ce que le Maître dit compte.

Traduit de l'anglais