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Fahui de Minghui | Je me suis remise d'un grave accident en seulement quatre jours

27 novembre 2019 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa dans la province du Shandong, Chine

(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1997. Une pratiquante âgée de ma région a été arrêtée dans la première moitié de l'année 2010 et illégalement détenue durant une longue période. La police n'est pas parvenue à produire des preuves pour incriminer la pratiquante, mais on a néanmoins décidé de l'envoyer dans un camp de travaux forcés.

Il y avait un marché près du centre de détention. Plusieurs autres pratiquants et moi avons décidé d'émettre la pensée droite à proximité du centre afin de désintégrer tous les facteurs maléfiques qui persécutaient la pratiquante.

Je n'oublierai jamais le jour qui a suivi (le 6 juin du calendrier lunaire chinois). J'ai traversé plusieurs villages des environs avec mon tricycle électrique afin de trouver des pratiquants qui pourraient nous aider en émettant la pensée droite.

L'après-midi, alors que je rentrais chez moi, je suis arrivée au sommet d'une pente raide au bas de laquelle se trouvait une intersection. Un gros camion qui tirait deux remorques se dirigeait vers cette intersection. Il transportait ce qui ressemblait à une cargaison de pierres. Comme je ne savais pas dans quelle direction le camion allait tourner, j'ai ralenti afin de le laisser passer l'intersection.

À cet instant, une pensée a surgi dans mon esprit : « Pour Dafa et pour mes compagnons de cultivation, je n'ai aucun regret. » Lorsque je suis arrivée à l'intersection, le gros camion commençait tout juste à tourner. Si je n'avais pas tourné, je serais entrée en collision avec lui. J'ai braqué, et c'est la dernière chose dont je me souvienne.

J'ai chuté d'un remblai de deux mètres. Lorsque j'ai retrouvé mes esprits, j'ai entendu des voix venant de la route. J'ai appris plus tard que ces voix étaient celles d'ouvriers. L'un deux a dit : « C'est vraiment un très bon tricycle. Il fonctionne toujours, même s'il est un petit peu abîmé. » Mon tricycle avait heurté une rangée d'arbres en bordure de route et n'avait pas été entraîné dans le fossé.

Un autre passant est intervenu : « Il a juste besoin d'un petit coup de soudure et il sera en état. » Aucun d'entre eux n'est venu voir comment j'allais. Peut-être pensaient-ils que j'étais morte.

À ce moment-là, j'ai entendu une voix dans ma tête qui disait très clairement et instamment : « Appelle le Maître. Dépêche-toi et appelle le Maître ! » Je n'avais pas l'esprit très clair, par conséquent, je ne suis pas parvenue à comprendre. J'ai simplement pensé : « Je dois bouger ma tête, ne serait-ce qu'un tout petit peu. Cela prouvera que ma tête obéit à mon esprit ».

Une autre voix a répété : « Appelle le Maître. Dépêche-toi et appelle le Maître. » Cependant, je n'ai pas obéi à cette voix. J'ai simplement pensé : « Je dois bouger ma tête. Si la première tentative échoue, j'essaierai deux ou trois fois. » Mais une fois encore la voix m'a calmement rappelé : « Appelle le Maître. Dépêche-toi et appelle le Maître. »

Après des efforts répétés, il a semblé que j'étais capable de bouger quelque peu ma tête. Le Maître était en train de m'aider. J'ai senti que quelqu'un utilisait un objet pointu pour écorcher mon corps, de l'abdomen jusqu'au coeur. J'ai appelé dans mon esprit : « Maître ! »

Soudain, j'ai eu l'impression que les deux côtés de mon ventre étaient en train d'être séparés en deux. J'ai pris une grande inspiration, j'ai appelé le Maître, et je me suis assise.

Je suis restée assise pendant un instant avec les yeux fermés. Un employé de la route a dit : « Oui, assieds-toi un instant et ensuite lève-toi ». J'ai étiré mon bras lentement et j'ai dit : « Tout ira bien. »

Mais je pouvais sentir que le côté gauche de mon visage était sérieusement égratigné et mes chaussettes ainsi que mon pantalon étaient déchirés. Cependant, je n'avais pas ressenti la moindre douleur pendant tout ce temps, donc je savais que le Maître était en train de me protéger.

Je me suis relevée et j'ai demandé : « Comment puis-je remonter sur la route ? » Un ouvrier m'a répondu : « Longez ce rebord en direction de l'ouest. »

J'ai tourné le dos aux ouvriers, j'ai fait face à l'ouest, j'ai touché le côté droit de mon visage et j'ai pensé : « Il faut qu'il n'y ait aucune marque sur mon visage, car ce serait négatif pour l'image de Dafa. » Après quoi j'ai marché jusqu'à mon tricycle et j'ai remercié les ouvriers de l'avoir ramassé.

J'ai tourné la clé dans le contact et la lumière s'est allumée. J'ai roulé jusqu'au domicile d'une compagne de cultivation. Le tricycle s'est arrêté et la lumière s'est éteinte environ 100 mètres avant que je n'arrive chez elle. J'ai su que le Maître m'avait guidée jusque-là.

La maison était remplie de vapeur lorsque je suis entrée, et la femme a dit : « Asseyez-vous s'il vous plaît. Le riz est cuit et nous allons dîner maintenant. »

J'ai alors retrouvé les sensations dans tout mon corps. Je ne pouvais pas tourner la tête parce que mon cou était enflé. Tous les os et les muscles de mon corps étaient désalignés, et mes disques lombaires étaient enflés, donc je ne pouvais pas tourner le corps. Ma main droite était aussi enflée qu'un petit pain cuit à la vapeur parce qu'elle avait heurté un rocher lorsque j'étais tombée.

Je n'avais plus d'énergie et mon poignet ressemblait à du caoutchouc, si bien qu'il m'était impossible de pousser mon tricycle jusqu'à la maison. Le couple a poussé mon tricycle sur un tracteur et ils l'ont attaché. Ils m'ont ramenée à la maison en tracteur.

Mon mari n'était pas encore rentré du travail, alors j'ai réfléchi à ce que j'allais cuisiner. J'ai décidé de faire du porridge, car c'était facile à faire. Il fallait juste que je lave du riz rapidement et que je laisse la cocotte-minute faire le reste. Mon mari est arrivé à la maison et a été abasourdi lorsqu'il m'a vue. Il m'a demandé ce qu'il s'était passé.

Je lui ai répondu nonchalamment : « Rien de grave. Je suis tombée dans un fossé au bord de la route en voulant éviter un camion. J'ai été quelque peu égratignée. »

Il m'a réprimandée : « Je te dis toujours de rouler plus lentement ; tu ne m'écoutes pas. » Après cela, il ne s'est plus inquiété.

J'ai cependant eu un souci en allant me coucher. Comme mes os et mes muscles étaient désalignés, je n'arrivais pas à me hisser dans mon lit. Lorsque j'essayais de bouger mes bras ou mes jambes, je sentais une douleur fulgurante parcourir tout mon corps. Que pouvais-je faire ? J'ai pensé : « Falun Dafa est tout-puissant ; un disciple de Dafa est également tout-puissant. »

J'ai eu l'idée d'utiliser ma main droite pour attraper le grand muscle de ma nuque, qui a alors resserré tous les muscles de mon corps, et j'ai lentement pu monter dans mon lit. Ensuite, je me suis allongée tout doucement. C'est seulement à cet instant que j'ai retiré la main de ma nuque. Sans cette manoeuvre, la douleur aurait été insupportable.

J'avais une forte croyance dans le Maître et dans le Fa, donc je ne me suis pas permis d'avoir peur. J'ai écouté les conférences du Maître, étudié les enseignements, émis la pensée droite et fait les exercices, malgré le fait que certains de mes mouvements n'étaient pas très précis.

Je pense que le Maître a vu ma ferme détermination et qu'il a miraculeusement guéri mon corps très rapidement.

Peut-être en raison de la pensée que j'avais eue auparavant au sujet de mon visage, celui-ci a cessé de suinter le jour suivant. Trois jours plus tard, les croûtes les plus épaisses sont tombées. Au bout du quatrième et du cinquième jours, les lésions plus profondes ont également disparu.

Avec des blessures telles que celles que j'avais, il reste normalement des cicatrices lorsque les croûtes tombent et cela prend beaucoup de temps pour que la peau redevienne normale. Il y a même des cas où elle reste abîmée pour toujours. Mais après que mes croûtes sont tombées, la peau de mon visage était exactement comme avant. Les lésions plus profondes semblaient avoir du sang et du liquide à l'intérieur, mais lorsque je les ai touchées, les croûtes sont tout simplement tombées. J'étais choquée.

J'ai rencontré un autre miracle au bout du quatrième jour. Je me suis rendue dans un atelier de réparation afin de faire réparer mon tricycle. Je n'ai rien dit au réparateur au sujet de mon accident. Lorsqu'il a ouvert le compartiment à batterie, il a demandé : « Est-ce que votre tricycle a été renversé ? » J'ai répondu avec stupéfaction : « Comment l'avez-vous su ? »

Je me suis approchée pour examiner le tricycle et j'ai vu que trois batteries étaient connectées, mais les câbles étaient déconnectés. Le réparateur a simplement reconnecté les câbles et mon tricycle était en état. Je n'ai pas dépensé un seul sou.

Or, le jour de l'accident, j'avais roulé avec mon tricycle de l'autoroute jusqu'à la maison d'une pratiquante, sur une distance d'environ 1,6 kilomètre. Le vélo n'avait pas d'électricité, comment est-il possible que je sois parvenue à rouler aussi loin ?

C'est exactement comme dit le Maître :

« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Je venais de rembourser une autre dette. Une fois encore, j'ai remercié le Maître de m'avoir sauvé la vie.

Si je n'avais pas eu la foi dans le Maître et dans le Fa, ou si j'avais été effrayée et que je m'étais rendue à l’hôpital, quand aurais-je pu être guérie ? Combien d'argent aurais-je été contrainte de dépenser ? Je ne sais même pas si j'aurais pu ou non me rétablir. Le Maître m'a sauvée parce que j'ai gardé une forte pensée droite.

Traduit de l'anglais