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Pour surmonter les tribulations de la vie et de la mort, il est essentiel de persister dans la pensée droite

5 novembre 2019 |   Écrit par Fenfang, une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Je suis une pratiquante de Falun Dafa âgée de 64 ans à la retraite. J'ai commencé à pratiquer en 1996 et j'ai vu une fleur de lotus tôt le lendemain matin. Quand je suis allée travailler, j'ai vu un grand mot « bonheur » flotter dans le ciel comme une bannière. J'ai compris que c'étaient des formes d'encouragement de la part du Maître du Falun Dafa.

Un incident s'est produit l'année dernière qui m'a aidée à comprendre que lorsque nous croyons vraiment dans le Maître et en Dafa, il n'y a pas de tribulations que nous ne puissions surmonter.

Maintenir une pensée droite

En me souvenant de mon parcours de cultivation, je crois que j'ai parcouru mon chemin régulièrement avec l'aide et la protection du Maître pendant toutes ces années. J'ai fait les trois choses que les pratiquants sont censés faire, j'ai aidé de nombreux pratiquants à surmonter les tribulations et j'ai coopéré avec d'autres pour sauver les pratiquants qui étaient persécutés.

Beaucoup de pratiquants pensaient que j'avais une forte pensée droite et une bonne compréhension du Fa. Moi aussi, je pensais que mon chemin de cultivation allait bien, ce qui me rendait complaisante. Je n'ai pas fait d'effort pour me débarrasser de cette pensée.

Au cours du Nouvel An chinois 2018, j'étais très attachée à la sentimentalité et j'ai même conduit la jeune génération de notre famille à visiter les tombes des parents décédés. Le fait de me comporter comme une personne ordinaire a contribué à mes tribulations, et les forces anciennes voulaient me persécuter sévèrement.

Le Maître a dit :

« Les sentiments sont le propre des gens ordinaires, les gens ordinaires ne vivent que pour les sentiments. » (Sixième Leçon, Zhuan Falun)

« Beaucoup de gens n’arrivent pas à bien se discipliner, ce qui provoque des difficultés dans leur cultivation et leur pratique. » (Sixième Leçon, Zhuan Falun)

Le huitième jour du Nouvel An 2018, je suis sortie pour expliquer les faits à propos de Dafa avec une autre pratiquante. Dans une autre dimension, une substance noire est venue de nulle part et s'est précipitée dans le côté gauche de ma tête. J'ai essayé de l'attraper avec ma main et j'ai émis la pensée droite pour l'éliminer.

J'ai dit à la substance : « Pour qui te prends-tu ? Je suis une disciple de Dafa, et tu ne peux pas m'en empêcher ! »

Immédiatement, les gens autour de moi avaient l'air flous, et j'ai senti une énorme pression sur ma tête. Au bout d'un moment, mon cœur s'est senti mal à l'aise. Je suis allée aux toilettes dans un centre commercial et j'ai eu la diarrhée et des vomissements.

Le côté droit de mon corps était faible et engourdi, mon œil droit et ma bouche tombaient vers la gauche. Mon corps s'est aussi incliné vers la gauche. Je n'avais pas peur et je savais que les forces anciennes essayaient de m'empêcher de faire ce que je devais faire en tant que pratiquante.

Être prise en embuscade par des entités malfaisantes

Je suis sortie du centre commercial et je me sentais encore mal. Des entités maléfiques m'ont encerclée dans une autre dimension, essayant de me battre jusqu'au sol. Je me suis tournée vers elles et je leur ai dit : « Je suis une disciple de Dafa. Je ne serai pas battue. Même si j'ai des lacunes, vous n'êtes pas qualifiées pour me persécuter. J'ai mon Maître pour s'occuper de moi ! » Je l'ai répété trois fois, mais elles n'ont pas abandonné.

Dans cette dimension, l'autre pratiquante a vu que je ne pouvais pas marcher droit. Ma conscience principale et ma pensée droite restaient fortes. On aurait dit qu'une bataille intense se déroulait pour me prendre la vie. J'ai réussi à lâcher la pensée de la vie et de la mort, et je me suis dit : « J'ai le Maître et Dafa. Quel que soit le genre d'astuce qu'utilisent ces entités maléfiques, je n'aurai pas peur. »

Ces entités maléfiques n'ont pas atteint leur but à la fin. Le Maître m'a sauvée.

Le Maître a dit :

« La différence entre un homme et une divinité est justement là. Si tu abandonnes la vie et la mort, tu es une divinité ; si tu ne peux pas y renoncer, tu es un être humain. Voilà la différence. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Fa à New York », Enseignement du Fa aux Conférences de Fa aux États-Unis)

J'ai conduit une moto ce jour-là et j'ai voulu rentrer chez moi. Mais la pratiquante m'a suggéré de ne pas monter dessus. Je lui ai dit que tout irait bien et que le mal n'était rien. Elle semblait rassurée et est montée à l'arrière de la moto.

Il y avait beaucoup de circulation sur la route. Ma vision n'était toujours pas bonne et je n'avais pas de force dans la main droite. Je me suis arrêtée plus loin sur la route et je suis descendue de la moto . Mes jambes étaient faibles et je ne pouvais pas me tenir correctement debout. Très vite, la moto est tombée sur nous. J'avais mal aux jambes et un piéton nous a aidées à nous relever.

La pratiquante a insisté pour que nous laissions la moto et prenions l'autobus pour rentrer chez nous. Je ne voulais pas l'écouter et je lui ai dit qu'elle pouvait prendre l'autobus, mais que je continuerais sur ma moto.

Après environ un kilomètre, j'ai dû m'arrêter. J'ai vomi, et la moto est de nouveau tombée sur moi. Un piéton m'a aidée à me relever.

À ce moment-là, la pratiquante m'avait rattrapée. Elle n'avait pas pris le bus et s'inquiétait pour moi. Elle avait 70 ans et était très fatiguée. J'étais embarrassée et vraiment touchée par sa gentillesse. Elle a réussi à arrêter un taxi et le chauffeur nous a ramenées chez nous.

Mon appartement était au deuxième étage et il m'était difficile de monter les escaliers. J'ai dû m'accrocher à la rampe et me traîner en haut. Quand je suis arrivée à mon étage, mon mari est sorti pour me donner un coup de main. Il m'a dit de me reposer et est ensuite sorti chercher la moto avec l'autre pratiquante.

Après avoir pris une douche, je me suis agenouillée devant la photo du Maître et j'ai dit : « Maître, je n'ai pas bien fait et je vous ai fait peur. Le mal a essayé de me prendre la vie. Merci de m'aider à maintenir une pensée droite, de me donner la force et de me protéger pour que je puisse traverser cette épreuve. »

Des larmes me coulaient sur le visage.

Résister aux liens émotionnels avec la famille

Comme je l'ai déjà mentionné, j'ai emmené la jeune génération de notre famille sur la tombe de parents décédés, ce qui montrait que j'étais encore émotionnellement attachée à ma famille.

Le Maître a dit :

« La cultivation et la pratique s’effectuent justement dans les épreuves dues aux démons, c’est pour voir si vous pouvez couper avec les sept émotions et les six désirs et les prendre avec légèreté. Si vous tenez toujours à ces choses, vous ne réussirez pas votre cultivation. Chaque chose s’inscrit dans une relation de cause à effet, pourquoi un être humain peut-il être un être humain ? Précisément parce que les êtres humains ont des émotions. Les êtres humains ne vivent que pour ces émotions. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)

Au total, ma famille est composée de 20 membres qui s'étendent sur plusieurs générations. Après avoir entendu parler de mon incident, ils sont tous venus me voir. Ils ont tout essayé pour m'emmener à l'hôpital, mais je ne bougeais pas.

Quand ils ont réalisé qu'ils ne pouvaient pas me convaincre, certains d'entre eux sont allés à l'hôpital et ont demandé conseil aux médecins. Le médecin a dit que les symptômes semblaient indiquer que j'avais eu un AVC ou une hémorragie cérébrale et que je devais me rendre à l'hôpital immédiatement. Ils ont même envoyé une ambulance pour venir me chercher.

Je savais que c'était une ruse des forces anciennes. J'ai dit à ma famille : « Ne voyez-vous pas que je vais bien maintenant ? Je suis une pratiquante et je suis prise en charge par mon Maître. S'il vous plaît, soyez assurés que tout ira bien. »

Ils ont dit que j'étais égoïste. Mon cœur n'a pas bougé. Ma fille m'a dit qu'elle me conduirait à l'hôpital pour faire un bilan de santé et que je n'aurais pas à y rester. J'ai dit : « Si tu veux vraiment ce qui est bon pour moi, arrête de me forcer à aller à l'hôpital. Tout ira bien pour moi. Ne t'inquiète pas. »

Ma fille ne voulait toujours pas laisser tomber, et ma famille était très inquiète. J'ai dit : « Mon Maître peut tout faire parce que c'est lui qui crée tout. Mon petit malaise n'est rien ! »

Voyant que j'étais si tenace, ils m'ont laissé rester à la maison.

Surmonter les interférences

Le soir suivant l'incident, je me suis regardée dans le miroir et j'ai vu que mon œil droit était affaissé et ne pouvait pas s'ouvrir très grand. Ma vision était encore floue et j'avais des problèmes d'audition. Je n'avais pas de force dans ma jambe droite et je ne pouvais pas tenir debout longtemps.

J'ai émis la pensée droite pendant une demi-heure et j'ai commencé à étudier le Fa. Cependant, les mots étaient déformés. J'ai dit aux forces anciennes : « Vous commettez un péché en ne me laissant pas étudier le Fa. Même si j'ai des lacunes, vous n'avez pas le droit d'interférer avec moi. Tout ce qui m'arrive est la décision de mon Maître ! »

J'ai continué à étudier le Fa sans me soucier de savoir si je reconnaissais les mots ou non. Après une dizaine de minutes, lorsque je suis arrivée à la deuxième page, tout à coup, j'ai pu voir clairement tous les mots.

Après avoir étudié le Fa, j'ai commencé à faire les exercices. Mais je n'étais pas en mesure de faire le deuxième exercice parce que je ne pouvais pas me tenir debout correctement. Alors, je l'ai sauté. Je l'ai sauté le lendemain aussi. J'ai alors réalisé que c'était moi qui prenais les décisions pour mon corps, alors j'ai redressé ma jambe droite avec ma main et je suis restée là pour finir les exercices. J'ai continué à résister à l'ingérence des forces anciennes et j'ai nié les arrangements qu'elles avaient faits.

À partir de ce jour, j'ai fait les cinq séries d'exercices deux fois par jour et j'ai étudié trois conférences du Zhuan Falun par jour. J'émettais fréquemment la pensée droite et je regardais continuellement à l'intérieur.

Ma famille savait qu'ils ne pouvaient pas m'emmener à l'hôpital, alors ils ont demandé à des pratiquants de venir chez moi pour étudier le Fa et émettre la pensée droite ensemble. Ils sont venus pendant trois jours, puis je leur ai dit de ne plus venir parce que je ne voulais pas perturber leurs efforts pour sauver les gens. Je reprenais des forces et mon corps revenait à la normale.

Le quatrième jour, j'ai voulu sortir pour clarifier la vérité. Je suis sortie avec d'autres pratiquants et j'ai aidé deux personnes à démissionner du Parti communiste chinois et de ses organisations pour la jeunesse. Je ne pouvais pas voir loin ou clairement, et les pratiquants m'aidaient à prendre l'autobus tous les jours.

En raison de mon état, les deux premiers jours nous sommes restés seulement dans mon quartier. J'ai pensé que j'irais en moto dans des endroits plus éloignés quand ma vue s'améliorerait.

Mais un jour, puis deux jours passèrent, et ma vue restait la même. Je me suis demandé pourquoi mon corps se remettait si vite, mais pas ma vue. Je me suis demandé : « Dois-je attendre que ma vue s'améliore et alors je pourrai conduire ma moto pour clarifier la vérité ? Est-ce une pensée correcte ? » Dafa est surnaturel. Comment pourrais-je utiliser les conceptions des gens ordinaires pour faire les choses ?

J'ai décidé de conduire ma moto le lendemain.

En préparant la moto, j'ai découvert que je pouvais voir les choses clairement. C'était vraiment comme l'a dit le Maître :

« Changer de conceptions,

Ce qui est pourri est éliminé,

Lumière et éclat apparaissent. »

(« Nouvelle naissance », Hong Yin)

Il m'a fallu dix jours pour retrouver mon état normal. J'ai remercié le Maître du fond du cœur.

Leçons apprises

Après avoir vécu cette épreuve, j'ai calmé mon esprit et j'ai regardé à l'intérieur. Bien que j'aie nié les arrangements des forces anciennes, pourquoi m'imposaient-elles encore leur volonté ? Je dois avoir des lacunes. Outre l'attachement aux émotions et à la complaisance, j'ai aussi trouvé d'autres attachements :

1. J'étais fière de moi pour avoir la sagesse de m'éveiller au Fa et je me suis convaincue d'avoir bien cultivé. Je voulais savoir ce qui se passait autour de moi et obliger les pratiquants à compter sur moi. Cela leur a créé des interférences, les empêchant de prendre le Fa pour Maître et de suivre leur propre chemin.

2. J'ai parlé dans le dos des pratiquants et j'ai souvent trouvé des défauts chez les autres. Je n’étais pas sensible à leurs forces et je manquais de compassion.

3. Je n'aimais pas qu'on me critique et j'ai essayé de les empêcher d'exposer mes faiblesses. Quand ils l'ont fait, je me suis disputée et j'ai fait porter le chapeau aux autres. Parfois, je me mettais en colère, je me plaignais et je blâmais ceux qui me critiquaient.

Je me souviens encore qu'un pratiquant m'avait rappelé mes problèmes. J'aimerais profiter de l'occasion pour m'excuser auprès de ceux que j'ai attaqués. Merci d'être si désintéressés et serviables.

4. J'ai encore des attachements, comme l'agressivité, faire étalage de moi, l'esprit de compétition et la jalousie. Je dois travailler plus dur pour les enlever.

Le Maître a beaucoup enduré pour nous afin que nous ayons plus de temps pour sauver davantage de gens. Je dois chérir cette opportunité et mieux me cultiver. Je veux m'harmoniser avec Dafa et faire tout ce que le Maître demande aux pratiquants.

Traduit de l'anglais