(Minghui.org) Salutations, vénérable Maître ! Salutations, compagnons de cultivation !
C’est grâce à la compassion du Maître que je me tiens ici aujourd’hui. J’étais à demi paralysée. Je ne pouvais pas même me retourner sans aide. J’avais besoin d’aide pour m’habiller.
J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa au mois de mai 2014. Depuis mon enfance, on aurait dit que j’attendais toujours quelque chose. J’étais tellement enthousiaste lorsque j’ai ouvert le Zhuan Falun et que j’ai vu la photo du Maître. Je n'arrêtais pas de dire : « Maître, je te connais. » Il m’était comme familier.
Quand j’ai commencé à pratiquer, toutes mes questions ont trouvé une réponse. Le Maître m’a aussi aidée à éliminer le karma derrière mon état. Un jour, j’ai pensé, je vais me coucher tôt et me lever à 4 h pour pratiquer les exercices. Quand l’alarme a sonné, je me suis retournée et me suis assise. Mon mari était surpris et m’a demandé comment j’avais fait. Je lui ai dit que c’était arrivé, juste comme ça. À cette époque, je ne savais pas que la cultivation pouvait éliminer la maladie. Je voulais simplement cultiver, alors le Maître m’a aidée ! J’ai pensé que je devrais m’habiller pour pratiquer les exercices. Mon mari a essayé de m’aider, mais j’ai dit que j’aimerais essayer de le faire toute seule. Il m’était difficile de me plier, mais j’ai réussi à m’habiller.
J’ai eu encore plus de défis lorsque je suis arrivée au site de pratique. Je ne pouvais pas me pencher. Je ne pouvais pas m’asseoir. Je devais m’agenouiller, puis m’asseoir doucement de côté. J’ai remarqué que tout le monde méditait avec leurs jambes en double lotus. Sans trop y penser, je me suis forcée à le faire. Bien que j’étais surprise d’en être capable, c’était tellement douloureux que je n’arrivais pas à arrêter de trembler. Toutefois, je n’ai pas abandonné. Après un an, la douleur a diminué. Ma seule pensée était que j’étais déterminée à être une pratiquante. Deux ans plus tard, mon problème de colonne lombaire avait disparu.
Étudier le Fa était un autre défi. Quand mon père a appris que ma mère attendait deux filles jumelles, mais pas de garçon, il a donné un coup de pied sur son ventre. Quand je suis née, il m’a laissé tomber par terre trois fois. J’ai été chanceuse de survivre. De plus, enfant, ma tête a été blessée dans un accident de voiture. J’avais de la difficulté à me concentrer à l’école. Je n'avais appris que quelques caractères chinois et je pouvais à peine lire. Alors, quand j’ai commencé à étudier Lunyudans le Zhuan Falun, j’ai paniqué. Comment allais-je pouvoir cultiver si je ne comprenais rien ? Quand j’ai regardé de nouveau le livre, le Maître m’a montré comment le corps céleste était fait de couches après couches d’innombrables particules, de la plus petite à la plus grande, avec une vision 3D, directement dans mon livre. Le lendemain, en faisant le deuxième exercice, j’ai vu les couches de mon corps. Elles étaient transparentes et connectées les unes aux autres, devenant de plus en plus grandes. En conséquence, j’ai compris la signification « du petit au grand ».
Le Maître a dit :
« Clarifier la vérité, sauver les êtres, voilà ce que tu dois faire, en dehors de tout cela il n’y a rien que tu doives faire, il n’y a rien que tu doives faire dans ce monde. »(« Enseignement du Fa à la conférence de Fa de New York 2015 »)
Les mots du Maître ont été comme un coup de foudre ! Quand j’étais enfant, je regardais le ciel et disais : « Je ne suis pas de ce monde. » Quelquefois, à l’intérieur de moi, je me répétais : « Sauve les gens. Rembourse ta dette. Sauve les gens ! » Soudain, j'ai su que c’était la réalité ! J’ai compris que nous étions venus ici pour sauver les gens. J'ai trouvé la réponse à toutes mes questions. Je suis venue ici pour Dafa. Je suis venue pour sauver les êtres.
J’avais hâte de savoir comment clarifier les faits et sauver les gens. Cependant, je n’arrivais même pas à lire les caractères chinois simplifiés sur les panneaux d’affichage aux sites touristiques. Je ne pouvais m’empêcher de pleurer en regardant les photos des compagnons de cultivation à qui l’on avait prélevé leurs organes vivants, sans même les anesthésier. Je savais à quel point cela avait dû être douloureux. Quand j’avais eu mon opération pour ma décompression lombaire, la plaie était sérieusement infectée et s’était presque transformée en septicémie. J’étais dans un mauvais état et j’ai failli mourir. Selon mon docteur, il aurait été trop dangereux de m’anesthésier, il a alors décidé de débrider les tissus nécrotiques sans m’anesthésier.
J’ai fait le vœu de me rendre au site touristique quotidiennement, quel que soit le temps. Avec cette pensée, j’ai persuadé un autobus rempli de touristes chinois de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse. En rentrant à la maison, mon cœur était rempli de joie. J’étais tellement heureuse !
Un soir, après avoir clarifié la vérité au site touristique, le Maître m’a montré une grosse fleur de lotus rose dans mon rêve. Les gens que j’avais sauvés marchaient en file vers le lotus dans le ciel. Ils se sont retournés et m’ont souri. Au-dessus du lotus, il y avait cinq grandes roues de la Loi colorées qui brillaient et tournaient. Les roues de la Loi semblaient elles aussi heureuses.
Une autre pratiquante m’a dit qu’on avait besoin d’aide chez Epoch Times. J’ai pensé : « J’irai, peu importe où on a besoin de moi. » J’ai fait équipe avec une jeune pratiquante qui m’a montré comment faire la promotion de Epoch Times. J’ai pensé que ce n’était pas trop difficile. Le directeur m’a dit que je n’allais pas recevoir de salaire. Je lui ai répondu que je venais pour sauver les êtres et non pas pour l’argent. En réalité, je faisais face à une situation financière difficile, mais je ne m’en inquiétais pas. J’ai dit au directeur que j’allais prendre l’emploi.
Un jour, alors que je pratiquais le deuxième exercice, j’ai vu des milliers de soldats à dos de cheval qui galopaient vers moi. Ils attendaient mes ordres. Plus tard ce jour-là, une vieille amie m’a appelée et m’a demandé si on pouvait se voir. J’ai dit en plaisantant qu’elle devait s’abonner à Epoch Times pour ce faire. Elle a donné son accord. Quand son frère s’est joint à nous, il s’est aussi abonné à Epoch Times. Sur le chemin du retour, je me suis rappelé ce que j’avais vu lorsque je faisais les exercices ce matin-là. Je me suis éveillée au fait que ces soldats étaient venus pour m’aider à sauver les gens !
Quand nos abonnements ont augmenté, la distribution est devenue problématique. Il arrivait que les distributeurs qui n’étaient pas pratiquants ne livrent pas le journal à nos abonnés. Alors, je me suis portée volontaire pour livrer les journaux. J’ai marché sur le chemin de la validation de Dafa en faisant la livraison d'Epoch Times.
Je me couche après l’émission de la pensée droite à minuit. Je me lève vers 2 h pour aller chercher les journaux au bureau. Au début, je me perdais toujours. C’était un gros défi pour moi. Pour arriver à livrer Epoch Times à nos abonnés le plus rapidement possible, j’ai dépassé toutes sortes de difficultés, dont de fortes pluies, des inondations, des états de route difficiles, etc. Il est arrivé qu'il pleuve tous les jours pendant un ou deux mois. J’emballais tous les journaux très bien et je les livrais à nos abonnés. Quand il pleuvait fort, j’étais complètement trempée.
Cela fait plus de deux ans que je livre Epoch Times. Voyant à quel point les gens sont heureux de recevoir le journal, je sens que toutes les difficultés en valent la peine. Je dis aux gens qu’ils devraient être bienveillants les uns envers les autres et que chacun peut apporter quelque chose de positif. Certains propriétaires de magasin prennent le journal des deux mains. Certains approchent mon vélo pour avoir leur exemplaire. D’autres m’offrent à déjeuner. L'administrateur d’un immeuble m’a demandé de laisser les journaux à son bureau, qu’il allait les livrer dans les boîtes aux lettres des abonnés, pour que je n’aie pas à marcher aussi loin. En me remémorant les hauts et les bas dans le processus de la livraison d’Epoch Times, mon cœur est rempli de chaleur, de bonheur et de gratitude !
Je sais que nous sommes au stade final de la rectification de Fa. Je vais rester sur le chemin de sauver les êtres. Livrer les journaux Epoch Times est la source de ma joie et de mon bonheur ! Merci au Maître de m’avoir donné des occasions de cultiver ! La fatigue physique n’est rien pour moi. Je sais que j’ai besoin de m’élever lorsque j’ai des conflits avec les autres pratiquants. Tant que nous suivons le Fa, regardons à l’intérieur et continuons à trouver nos attachements, nous pouvons éliminer tous les obstacles.
Le Maître a dit :
« La pression venant de l’extérieur sur les disciples de Dafa est une épreuve et une opportunité d’avancer avec diligence ; le conflit ou la pression venant de l’intérieur des disciples de Dafa est également une épreuve et une opportunité d’avancer avec diligence. » (« Mots de félicitations au Fahui européen »)
J’aimerais aussi profiter de ce moment pour remercier tous les pratiquants qui ont travaillé avec moi. Nous avons suivi notre Maître bienveillant pour descendre jusqu’ici. Nous réincarnant à travers de nombreuses vies, nous sommes venus en ce monde quand Dafa s’est répandu largement. Le Maître nous a trouvés et nous a rassemblés pour étudier le Fa, apprendre les uns des autres et sauver les êtres ensemble ! Quelle relation karmique sacrée ! Soyons tous diligents pour remplir nos missions sacrées en ce stage final de la rectification de Fa.
S’il vous plaît, veuillez avoir la bienveillance de m'indiquer là où je dois m’élever !
Pour terminer, j’aimerais partager avec vous le poème qui suit pour s’encourager mutuellement « L’occasion et affinité en un clin d’œil », Hong Yin(III)
« Chaque vie était pour ce vœu
Ayant souffert pendant des milliers d’années
L’occasion et affinité ne peut pas être prise à la légère
Saisie ou manquée — en un clin d’œil »
Merci, Maître ! Merci, compagnons de cultivation !
(Présenté au Fahui de Taïwan 2019)
Traduit de l’anglais